Antananarivo – Olga Rasamimanana reste évasive sur les actions concrètes
« La commune urbaine d’Antananarivo a des dirigeants. Je suis la Mère de tous les citoyens de cette ville ». Ce sont les premières phrases lancées par la vice-présidente de la délégation spéciale de la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA), Olga Rasamimanana, hier, lors de sa rencontre avec la presse, à l’hôtel de ville d’Antananarivo.
La première magistrate de la ville semble ainsi prête à prendre le taureau par les cornes, pour résoudre tous les maux qui minent la capitale. Mais dès que les questions tournent sur, quand est-ce que les ordures de la capitale seront toutes enlevées ? Quand est-ce que la CUA bouclera les travaux de réhabilitation des rues ? Quelles actions allez-vous entreprendre pour résoudre les embouteillages ? Quid de l’éclairage public ? Les réponses demeurent imprécises.
Mes priorités, selon Olga Rasamimanana, sont la bonne gouvernance, le renforcement du civisme, de l’État de droit, des ressources financières de la cité des Mille, de l’assainissement et l’amélioration des services publics.
Ce manque de planification des actions à entreprendre dans le court terme, aurait été justifié par le peu de moyens disponibles. « Il est vrai que gouverner, c’est prévoir. Mais nous n’avons pas les moyens d’acheter 30 camions de plus, pour récupérer les ordures dans les 337 bacs à ordures de la capitale chaque jour. Chaque année, la CUA n’a que 10 000 ariary par habitant pour satisfaire les services publics », a t-elle indiqué.
Même refrain
Cette injustice subie par la CUA, est ainsi flagrante jusqu’à aujourd’hui. « Plus de 40% du produit intérieur brut de Madagascar est généré dans la capitale. Plus de 80% des voitures dans la Grande île passent à Tanà. À part les 1 500 000 résidents de la capitale, il y a 1 000 000 de personnes venues de tous les 4 coins de Madagascar, qui effectuent des allées et venues chaque jour dans la ville des Mille. La capitale accueille aussi chaque année, plus de 500 000 nouveaux résidents. Pourtant le peu de subventions financières reçues par la CUA, pour faire face à tous ces flux, ont été suspendues depuis 2011 », s’indigne la première magistrate de la ville.
Malgré cette difficulté financière, la vice-présidente de la délégation spéciale de la CUA a avancé, que son équipe va faire des efforts, pour améliorer les ressources financières à travers les impôts, les taxes, ainsi que les redevances, pour remplir leurs fonctions.
La première magistrate de la ville semble ainsi prête à prendre le taureau par les cornes, pour résoudre tous les maux qui minent la capitale. Mais dès que les questions tournent sur, quand est-ce que les ordures de la capitale seront toutes enlevées ? Quand est-ce que la CUA bouclera les travaux de réhabilitation des rues ? Quelles actions allez-vous entreprendre pour résoudre les embouteillages ? Quid de l’éclairage public ? Les réponses demeurent imprécises.
Mes priorités, selon Olga Rasamimanana, sont la bonne gouvernance, le renforcement du civisme, de l’État de droit, des ressources financières de la cité des Mille, de l’assainissement et l’amélioration des services publics.
Ce manque de planification des actions à entreprendre dans le court terme, aurait été justifié par le peu de moyens disponibles. « Il est vrai que gouverner, c’est prévoir. Mais nous n’avons pas les moyens d’acheter 30 camions de plus, pour récupérer les ordures dans les 337 bacs à ordures de la capitale chaque jour. Chaque année, la CUA n’a que 10 000 ariary par habitant pour satisfaire les services publics », a t-elle indiqué.
Même refrain
Cette injustice subie par la CUA, est ainsi flagrante jusqu’à aujourd’hui. « Plus de 40% du produit intérieur brut de Madagascar est généré dans la capitale. Plus de 80% des voitures dans la Grande île passent à Tanà. À part les 1 500 000 résidents de la capitale, il y a 1 000 000 de personnes venues de tous les 4 coins de Madagascar, qui effectuent des allées et venues chaque jour dans la ville des Mille. La capitale accueille aussi chaque année, plus de 500 000 nouveaux résidents. Pourtant le peu de subventions financières reçues par la CUA, pour faire face à tous ces flux, ont été suspendues depuis 2011 », s’indigne la première magistrate de la ville.
Malgré cette difficulté financière, la vice-présidente de la délégation spéciale de la CUA a avancé, que son équipe va faire des efforts, pour améliorer les ressources financières à travers les impôts, les taxes, ainsi que les redevances, pour remplir leurs fonctions.
Vonjy Radasimalala
Glanures
Tarif fixe
Les taxibe de la capitale tentent d’appliquer le tarif fixe après la hausse des prix du carburant, la semaine dernière. Aujourd’hui, ils n’acceptent plus le frais de 200 ariary d’un arrêt à un autre, mais soit 300 ariary, soit 400 ariary. L’UCTU a quand même affirmé, qu’une hausse de frais au delà de 400 ariary, ne sera envisageable que, quand le litre du gasoil dépassera 3000 ariary.
Les taxibe de la capitale tentent d’appliquer le tarif fixe après la hausse des prix du carburant, la semaine dernière. Aujourd’hui, ils n’acceptent plus le frais de 200 ariary d’un arrêt à un autre, mais soit 300 ariary, soit 400 ariary. L’UCTU a quand même affirmé, qu’une hausse de frais au delà de 400 ariary, ne sera envisageable que, quand le litre du gasoil dépassera 3000 ariary.
Le directeur de l’IMV décoré.
Le directeur de l’Institut des Métiers de la ville (IMV), rattaché à la Commune urbaine d’Antananarivo, et représentant de la Région Île-de-France, Jean-Jacques Helluin, a été décoré Chevalier de l’ordre national malgache hier, à l’hôtel de ville Analakely. Il a pu débloquer
15 OOO OOO OOO d’ariary pour la capitale, en 4 ans.
Le directeur de l’Institut des Métiers de la ville (IMV), rattaché à la Commune urbaine d’Antananarivo, et représentant de la Région Île-de-France, Jean-Jacques Helluin, a été décoré Chevalier de l’ordre national malgache hier, à l’hôtel de ville Analakely. Il a pu débloquer
15 OOO OOO OOO d’ariary pour la capitale, en 4 ans.
Déviation.
L’unité mixte opérationnelle (UMC) qui regroupe la direction du déplacement urbain, la police de Tana, le ministère de l’Intérieur, et celui de la Sécurité intérieure, envisage de mettre en œuvre la déviation à Analamahitsy, mardi prochain, pour résoudre le problème de l’embouteillage.
L’unité mixte opérationnelle (UMC) qui regroupe la direction du déplacement urbain, la police de Tana, le ministère de l’Intérieur, et celui de la Sécurité intérieure, envisage de mettre en œuvre la déviation à Analamahitsy, mardi prochain, pour résoudre le problème de l’embouteillage.
Fonenan’ny FIloha – Nisy fiovana ny tanànan’i Tsimbazaza
Misy tombony sy lafy ratsiny ho an’ny tanànan’i Tsimbazaza ny fisian’ny fonenan’ny Filoha Rajaonarimampianina Hery eny an-toerana. Misy ireo mponina no faly, misy ny mitaraina.
Nisy fanavaozana ny tànanan’ny Tsimbazaza izay misy ny toeram-ponenan’ny Filoham-pirenena vaovao Rajaonarimampianina Hery hatramin’ny nahalany azy. Misy ny tombony ho an’ireo mponina manodidina saingy misy ihany koa anefa ny lafy ratsiny.
« Isan’ny tombony ho anay monina manodidina ohatra ny fahavitan’ny ankamaroan’ny làlana ety aminay. Ny tsy fisian’ny delestazy intsony ary ny fandriam-pahalemana izay inoanay fa ho azo antoka tanteraka amin’izay » hoy Razaiarivelo Aline renim-pianakaviana monina eny Tsarafaritra Tsimbazaza efa an-taonany maro.
Ahitana mpitandro ny filaminana tsy tapaka tokoa aloha manodidina ny tranon’ny filoha ary misy
fotoana ahitana azy ireo mivezivezy mitety tanàna, indrindra taorian’ny nipoahan’ilay grenady tetsy Anosy. Ankoatra izay dia tsapa ho somary milamindamina ihany koa ny manodidina taorian’ny nanisahana ny fiantsonan’ireo taksibe manoloana ny sampanana ho metatra vitsivitsy miala amin’ny teo aloha.
Lafy ratsiny
« Efa tafiditra ao anatin’ilay fandaharan’asa PAMU ho fanatsarana ny renivohitra sy ireo fiantsonan’ny taksibe ny famindrana io fiantsoanana eo Tsimbazaza io, saingy tafara-dàlana amin’ny fanavaozana ny tanànan’ny Tsimbazaza noho ny fisian’ny trano fonenan’ny Filoha ihany koa », raha ny nambaran’ny tompon’ andraikitra iray eo anivon’ny IMV (Institut des métiers de la ville) izay mpiara- miombon’antoka amin’ny kaominina Antananarivo Renivohitra. Tanjona amin’ izany ny hialana amin’ny tabataba aterak’ireo mpitatitra.
« Ny kiririoka mialoha ny fandalovan’ny Filoha no somary manelingelina kely anay. Eo ihany koa ny fitohanan’ny fifamoivozana mandritra izay fotoana izay », hoy hatrany Razaiarivelo Aline. Nafindra eny akaikin’ny CEG Tsimbazaza ihany koa ny dabam-pako lehibe teo amin’ny manodidina ka manano sarotra kely ireo mpanary fako izany. Fa ireo mpivarotra amoron-dàlana misy ireo tsena kely manodidina kosa no tena nahenoana fitarainana. « Naheno resaka izahay fa ho esorina eto. Hatreto aloha nefa mbola tsy nisy ny fanalana anay », araka ny voalazan’ny mpivaro-boankazo iray teo amin’ny tsena.
Samy nilaza ho tsy misy mahafantatra mahakasika izany anefa na ny eo anivon’ny kaominina na ny tompon’andraikitry ny seraseran’ny Filoha nandritra ny fampielezan-kevitra.
Rasolomalala Ihony
Nisy fanavaozana ny tànanan’ny Tsimbazaza izay misy ny toeram-ponenan’ny Filoham-pirenena vaovao Rajaonarimampianina Hery hatramin’ny nahalany azy. Misy ny tombony ho an’ireo mponina manodidina saingy misy ihany koa anefa ny lafy ratsiny.
« Isan’ny tombony ho anay monina manodidina ohatra ny fahavitan’ny ankamaroan’ny làlana ety aminay. Ny tsy fisian’ny delestazy intsony ary ny fandriam-pahalemana izay inoanay fa ho azo antoka tanteraka amin’izay » hoy Razaiarivelo Aline renim-pianakaviana monina eny Tsarafaritra Tsimbazaza efa an-taonany maro.
Ahitana mpitandro ny filaminana tsy tapaka tokoa aloha manodidina ny tranon’ny filoha ary misy
fotoana ahitana azy ireo mivezivezy mitety tanàna, indrindra taorian’ny nipoahan’ilay grenady tetsy Anosy. Ankoatra izay dia tsapa ho somary milamindamina ihany koa ny manodidina taorian’ny nanisahana ny fiantsonan’ireo taksibe manoloana ny sampanana ho metatra vitsivitsy miala amin’ny teo aloha.
Lafy ratsiny
« Efa tafiditra ao anatin’ilay fandaharan’asa PAMU ho fanatsarana ny renivohitra sy ireo fiantsonan’ny taksibe ny famindrana io fiantsoanana eo Tsimbazaza io, saingy tafara-dàlana amin’ny fanavaozana ny tanànan’ny Tsimbazaza noho ny fisian’ny trano fonenan’ny Filoha ihany koa », raha ny nambaran’ny tompon’ andraikitra iray eo anivon’ny IMV (Institut des métiers de la ville) izay mpiara- miombon’antoka amin’ny kaominina Antananarivo Renivohitra. Tanjona amin’ izany ny hialana amin’ny tabataba aterak’ireo mpitatitra.
« Ny kiririoka mialoha ny fandalovan’ny Filoha no somary manelingelina kely anay. Eo ihany koa ny fitohanan’ny fifamoivozana mandritra izay fotoana izay », hoy hatrany Razaiarivelo Aline. Nafindra eny akaikin’ny CEG Tsimbazaza ihany koa ny dabam-pako lehibe teo amin’ny manodidina ka manano sarotra kely ireo mpanary fako izany. Fa ireo mpivarotra amoron-dàlana misy ireo tsena kely manodidina kosa no tena nahenoana fitarainana. « Naheno resaka izahay fa ho esorina eto. Hatreto aloha nefa mbola tsy nisy ny fanalana anay », araka ny voalazan’ny mpivaro-boankazo iray teo amin’ny tsena.
Samy nilaza ho tsy misy mahafantatra mahakasika izany anefa na ny eo anivon’ny kaominina na ny tompon’andraikitry ny seraseran’ny Filoha nandritra ny fampielezan-kevitra.
Rasolomalala Ihony
Déplacement des arrêts de bus
L’élargissement des lignes pilote touche une grande partie de la circulation automobile dans la capitale. Ceci entre dans le programme d’amélioration de la mobilité urbaine qui avance.
Le relooking des axes pilote, dont les lignes 119 qui relient 67 ha à Ankatso, 160, 166, depuis Antanimena à Ankatso, et 128, qui partent de Mahamasina à Ankatso, en passant par Ambohijatovo ou de Tsimbazaza, entraîne quelques changements. Certains arrêts de bus qui figurent dans ces axes, sont déplacés de quelques mètres, voir supprimés, c’est ce qu’a annoncé hier, le directeur du déplacement urbain (DDU), le commandant Jocelyn Razafimahefa.
Pour les lignes 160-166, d’Ankatso vers Antanimena par exemple, l’arrêt du bus à l’école primaire publique (EPP) Vohibola à Bel’air, fait l’objet de réaménagement. Ainsi, le trottoir est élargi, afin d’y mettre un abribus.
L’arrêt à Andravoahangy Ambony menant au pont Behoririka, est également relooké. Malgré le sens unique de cet axe, le nouveau trottoir qui détermine l’arrêt du bus, s’étend au bord de la chaussée.
De la même source, il serait probable que les arrêts intermédiaires sur le pont Behoririka, soient supprimés et déplacés aux environs de la station service Total à Ankaditapaka. Les gens voulant rejoindre Behoririka doivent ainsi descendre, soit à Andravoahangy Ambony, soit à Ankaditapaka.
Contestation
Concernant le projet de plantation au bord de la rue à Ambatomitsangana, il a affirmé que rien n’est abandonné malgré la contestation des usagers de cette rue.
« On va y planter des frêles pour lutter contre la pollution de l’air que provoquent les fumées. Le projet a été suspendu, mais il sera bientôt concrétisé, mais correspond aux normes de l’infrastructure routière », enchaîne le commandant Jocelyn Razafimahefa.
Du côté de Tsimbazaza pour la ligne 128, quelques arrêts de bus sont également déplacés, comme c’est le cas de celui de Tsarafaritra Tsimbazaza qui est déplacé en face du portail de l’Assemblée nationale, et celui du parc Tsimbazaza est reculé près du restaurant La Marais.
À Mahamasina, l’arrêt au Gerb’or fait même l’objet d’extension avec un abribus en projet. Tout ceci entre dans le cadre du programme d’amélioration de la mobilité urbaine (PAMU), initié par l’Institut des métiers de la ville (IMV).
Selon le DDU, l’extension des lignes pilotes sera accompagnée de la réhabilitation ou la réfection des rues concernées ainsi que les marquages au sol.
Le relooking des axes pilote, dont les lignes 119 qui relient 67 ha à Ankatso, 160, 166, depuis Antanimena à Ankatso, et 128, qui partent de Mahamasina à Ankatso, en passant par Ambohijatovo ou de Tsimbazaza, entraîne quelques changements. Certains arrêts de bus qui figurent dans ces axes, sont déplacés de quelques mètres, voir supprimés, c’est ce qu’a annoncé hier, le directeur du déplacement urbain (DDU), le commandant Jocelyn Razafimahefa.
Pour les lignes 160-166, d’Ankatso vers Antanimena par exemple, l’arrêt du bus à l’école primaire publique (EPP) Vohibola à Bel’air, fait l’objet de réaménagement. Ainsi, le trottoir est élargi, afin d’y mettre un abribus.
L’arrêt à Andravoahangy Ambony menant au pont Behoririka, est également relooké. Malgré le sens unique de cet axe, le nouveau trottoir qui détermine l’arrêt du bus, s’étend au bord de la chaussée.
De la même source, il serait probable que les arrêts intermédiaires sur le pont Behoririka, soient supprimés et déplacés aux environs de la station service Total à Ankaditapaka. Les gens voulant rejoindre Behoririka doivent ainsi descendre, soit à Andravoahangy Ambony, soit à Ankaditapaka.
Contestation
Concernant le projet de plantation au bord de la rue à Ambatomitsangana, il a affirmé que rien n’est abandonné malgré la contestation des usagers de cette rue.
« On va y planter des frêles pour lutter contre la pollution de l’air que provoquent les fumées. Le projet a été suspendu, mais il sera bientôt concrétisé, mais correspond aux normes de l’infrastructure routière », enchaîne le commandant Jocelyn Razafimahefa.
Du côté de Tsimbazaza pour la ligne 128, quelques arrêts de bus sont également déplacés, comme c’est le cas de celui de Tsarafaritra Tsimbazaza qui est déplacé en face du portail de l’Assemblée nationale, et celui du parc Tsimbazaza est reculé près du restaurant La Marais.
À Mahamasina, l’arrêt au Gerb’or fait même l’objet d’extension avec un abribus en projet. Tout ceci entre dans le cadre du programme d’amélioration de la mobilité urbaine (PAMU), initié par l’Institut des métiers de la ville (IMV).
Selon le DDU, l’extension des lignes pilotes sera accompagnée de la réhabilitation ou la réfection des rues concernées ainsi que les marquages au sol.
Michella Raharisoa
Bilan 2013 – Baisse de 22% des arrivées touristiques
Résultats moroses. Comme il fallait s’y attendre, l’année 2013 a été difficile pour le secteur tourisme. Le nombre des arrivées touristiques a accusé une baisse de l’ordre de 22% par rapport à l’année 2012. Ce qui représente au total une perte de près de 56 000 touristes. Selon les professionnels, la crise politique, les évènements de Nosy-Be, les attaques contre les touristes dans les parcs nationaux et la qualité des produits touristiques constituent les principales causes de cette situation.
« L’année 2013 était une année catastrophique pour nous à cause de la baisse du nombre des touristes. D’ailleurs, cela a affecté fortement nos recettes », a fait savoir Rita Ravelojaona, présidente de la Fédération des hôteliers et restaurateurs de Madagascar (FHORM).
Malgré cette situation, les investissements dans l’hôtellerie ont continué de s’accroître dans la Grande île. 149 hôtels ont été construits, rien qu’en 2013. Ce qui représente près de 1005 nouvelles chambres et 1064 nouveaux emplois créés. Des chiffres qui illustrent la confiance des investisseurs malgré les effets néfastes des cinq années de crise.
Rija Ratovomahefa
« L’année 2013 était une année catastrophique pour nous à cause de la baisse du nombre des touristes. D’ailleurs, cela a affecté fortement nos recettes », a fait savoir Rita Ravelojaona, présidente de la Fédération des hôteliers et restaurateurs de Madagascar (FHORM).
Malgré cette situation, les investissements dans l’hôtellerie ont continué de s’accroître dans la Grande île. 149 hôtels ont été construits, rien qu’en 2013. Ce qui représente près de 1005 nouvelles chambres et 1064 nouveaux emplois créés. Des chiffres qui illustrent la confiance des investisseurs malgré les effets néfastes des cinq années de crise.
Rija Ratovomahefa
Mihasimba isan’andro ny tsenan’Anosibe
Mponina sy mpivarotra tsy mitandrina. Hita ho miharatsy sy mihasimba andro aman’alina ny tsenan’Anosibe raha oharina tamin’ny niandohany.
« Ny tena hita misongadina aloha dia ny loto sy ny fofona maimbo vao miditra fotsiny ny tsena amin’izao. Eo ihany koa ny petsapetsa vokatry ny rano maloto miparitaka noho ny fahatsetsenan’ny ankamaroan’ny lalan-drano », hoy ity renim-pianakaviana monina eny Anosibe Angarangarana izay mpiantsena ao isan’andro.
Isan’ny manaratsy ary manimba endrika ny tsenan’Anosibe ihany koa anefa ny fako ety ivelany fa indrindra ny ao anatiny izay miparitaka etsy sy eroa vokatry ny tsy fitandreman’ireo mpivarotra.
« Efa misy ny manadio saingy mbola betsaka aminay mpivarotra no tsy miraharaha sy tsy mitandrina. Izahay ihany anefa no mizaka ny vokatry ny loto sy ny fahasimbana », araka ny nambaran’ny mpivarotra legioma iray.
Fa isan’ny nanome endrika ihany koa ny tsena ny fisian’ny tetezana avy eny ambony nahafahana nifamezivezy saingy lasa haingony fotsiny sisa izany satria nisy nangalatra avokoa ny ankabeazan’ny hazo sy ny bilao ka tsy misy andehanana intsony.
Araka izany dia vitsy sisa ny hazo tazana eo izay lasa fatoriana sy fakàn’ny ankamaroan’ireo mpitatitra entana aina efa am-bolana maro izay.
« Ny tena hita misongadina aloha dia ny loto sy ny fofona maimbo vao miditra fotsiny ny tsena amin’izao. Eo ihany koa ny petsapetsa vokatry ny rano maloto miparitaka noho ny fahatsetsenan’ny ankamaroan’ny lalan-drano », hoy ity renim-pianakaviana monina eny Anosibe Angarangarana izay mpiantsena ao isan’andro.
Isan’ny manaratsy ary manimba endrika ny tsenan’Anosibe ihany koa anefa ny fako ety ivelany fa indrindra ny ao anatiny izay miparitaka etsy sy eroa vokatry ny tsy fitandreman’ireo mpivarotra.
« Efa misy ny manadio saingy mbola betsaka aminay mpivarotra no tsy miraharaha sy tsy mitandrina. Izahay ihany anefa no mizaka ny vokatry ny loto sy ny fahasimbana », araka ny nambaran’ny mpivarotra legioma iray.
Fa isan’ny nanome endrika ihany koa ny tsena ny fisian’ny tetezana avy eny ambony nahafahana nifamezivezy saingy lasa haingony fotsiny sisa izany satria nisy nangalatra avokoa ny ankabeazan’ny hazo sy ny bilao ka tsy misy andehanana intsony.
Araka izany dia vitsy sisa ny hazo tazana eo izay lasa fatoriana sy fakàn’ny ankamaroan’ireo mpitatitra entana aina efa am-bolana maro izay.
Ihony Rasolomalala
Ankorondrano – La solution de l’embouteillage monstre souhaitée
La route des hydrocarbures devient infréquentable, depuis plus d’une semaine. Aussi, il faut dépenser en moyenne une quarantaine de minutes, pour relier Antanimena à Alarobia, aux heures de pointe.
« C’est le mode de gestion des allées et venues des véhicules dans les centres commerciaux, et les locales des différentes entreprises qui auraient causé ce bouchon. La réhabilitation de la portion de route des hydrocarbures, n’a pas encore affecté la circulation sur cette route », a analysé Hervé Randriamarozanany, chauffeur du taxis-be, reliant Soavimasoandro à Analakely.
Cette analyse semble attestée par les travaux de canalisation sur le trottoir, qui n’ont pas encore eu un grand impact sur la circulation. Il faut pourtant patienter au moins 03 mois, avant de bénéficier de l’élargissement de cette rue à 04 voies.
L e pire est ainsi à craindre, quand le bitumage de la portion de route débutera. Jocelyn Razafimahefa, directeur de déplacement urbain, au sein de la commune urbaine d’Antananarivo, tente de sauver la face devant l’ampleur prise par l’embouteillage sur cette route des hydrocarbures.
« Nous avons aperçu la difficulté de circulation sur cette rue. Aussi, nous allons effectuer une descente sur terrain demain (aujourd’hui) pour trouver une solution, ce, après la matérialisation de la déviation d’Andranobevava afin d’atténuer l’embouteillage à Analamahitsy », conclut-il.
Vonjy Radasimalala
« C’est le mode de gestion des allées et venues des véhicules dans les centres commerciaux, et les locales des différentes entreprises qui auraient causé ce bouchon. La réhabilitation de la portion de route des hydrocarbures, n’a pas encore affecté la circulation sur cette route », a analysé Hervé Randriamarozanany, chauffeur du taxis-be, reliant Soavimasoandro à Analakely.
Cette analyse semble attestée par les travaux de canalisation sur le trottoir, qui n’ont pas encore eu un grand impact sur la circulation. Il faut pourtant patienter au moins 03 mois, avant de bénéficier de l’élargissement de cette rue à 04 voies.
L e pire est ainsi à craindre, quand le bitumage de la portion de route débutera. Jocelyn Razafimahefa, directeur de déplacement urbain, au sein de la commune urbaine d’Antananarivo, tente de sauver la face devant l’ampleur prise par l’embouteillage sur cette route des hydrocarbures.
« Nous avons aperçu la difficulté de circulation sur cette rue. Aussi, nous allons effectuer une descente sur terrain demain (aujourd’hui) pour trouver une solution, ce, après la matérialisation de la déviation d’Andranobevava afin d’atténuer l’embouteillage à Analamahitsy », conclut-il.
Vonjy Radasimalala
Les annales sur l’indépendance et la migration
Les numéros 15 et 16 de la revue Annale, de la faculté des Lettres et des sciences humaines (Flsh), viennent de paraître. Le premier porte sur Les Actes du colloque international, « Madagascar: 50 ans d’indépendance ». Le second tourne autour du thème de « Migration et développement ».
Dans le numéro 15, des sujets comme « Ny teny malagasy tao anatin’ny 50 taona nahaleovan’i Madagasikara tena : ny satany arapanjakana sy ny zava-misy » de Lakoarisoa Andriamise et Jeannot Ranaivoson, ou de Dominique Tiana Razafindratsimba sur le « Coût et efficacité en éducation. Études comparatives de quatre îles de l’océan Indien ».
Dans le numéro 16, le lecteur retrouvera entre autres un texte de Lucie Rabaovololona Raharinirina sur la « Migration saisonnière et économie souterraine : une recherche interdisciplinaire sur la violence symbolique à Madagascar ».
Le prix du numéro s’élève à 20 000 ariary. Les intéressés peuvent dès à présent en faire la commande auprès du secrétariat du doyen de la Flsh de l’université d’Antananrivo, porte 128.
Maminirina Rado
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