Embouteillage à Analamahitsy : Dispositions flexibles, pour la fluidité des trafics
« Mieux vaut une circulation fluide même si cela implique un trajet plus long ! », c’est par ce principe que la Commune Urbaine d’Antananarivo (CUA) a procédé pour la recherche de solution aux embouteillages monstres d’Analamahitsy. Depuis cette semaine, des dispositions ont été prises, selon les explications du commandant Jocelyn de la CUA. « Nous avons défini la meilleure façon de réduire les embouteillages à Analamahitsy. Il faut reconnaître que la circulation sur cette zone est un peu complexe. Nous avons donc mis des agents de circulation, pour indiquer aux automobilistes ce qu’ils doivent faire. En effet, plusieurs mesures ont été prises. Si auparavant, les véhicules venant d’Ambatobe étaient prioritaires à l’entrée d’Analamahitsy, ils doivent aujourd’hui marquer un arrêt obligatoire. Par ailleurs, plusieurs points d’arrêt des taxis-be ont été déplacés à cause des gênes qu’ils engendrent à la circulation. Par ailleurs, la route qui mène de la station Galana vers la station Total est à double voie le matin. Pour le soir, c’est parfois l’inverse car les voitures qui descendent sont plus nombreuses. Bref, nous avons définis plusieurs solutions et leurs applications dépendent de la situation sur terrain. Nos agents y sont toujours présents, pour appliquer la solution optimale », a informé le commandant Jocelyn.
Antsa R.
« Mieux vaut une circulation fluide même si cela implique un trajet plus long ! », c’est par ce principe que la Commune Urbaine d’Antananarivo (CUA) a procédé pour la recherche de solution aux embouteillages monstres d’Analamahitsy. Depuis cette semaine, des dispositions ont été prises, selon les explications du commandant Jocelyn de la CUA. « Nous avons défini la meilleure façon de réduire les embouteillages à Analamahitsy. Il faut reconnaître que la circulation sur cette zone est un peu complexe. Nous avons donc mis des agents de circulation, pour indiquer aux automobilistes ce qu’ils doivent faire. En effet, plusieurs mesures ont été prises. Si auparavant, les véhicules venant d’Ambatobe étaient prioritaires à l’entrée d’Analamahitsy, ils doivent aujourd’hui marquer un arrêt obligatoire. Par ailleurs, plusieurs points d’arrêt des taxis-be ont été déplacés à cause des gênes qu’ils engendrent à la circulation. Par ailleurs, la route qui mène de la station Galana vers la station Total est à double voie le matin. Pour le soir, c’est parfois l’inverse car les voitures qui descendent sont plus nombreuses. Bref, nous avons définis plusieurs solutions et leurs applications dépendent de la situation sur terrain. Nos agents y sont toujours présents, pour appliquer la solution optimale », a informé le commandant Jocelyn.
Antsa R.
Nouveaux logements universitaires: Les associations d’étudiants demandent leur attribution
Les nouveaux logements universitaires à Ankatso présentent déjà quelques signes de dégradation, alors qu’ils n’ont encore accueilli aucun étudiant depuis l’achèvement de leur construction.
Les travaux de construction des logements neufs destinés aux étudiants de l’Université d’Antananarivo, ont déjà été achevés depuis deux ans, mais aucune attribution de ces logements aux étudiants n’a encore eu lieu jusqu’à aujourd’hui. L’équipement des chambres qui n’a pu encore être réalisé, est le motif avancé pour expliquer cette longue attente. A l’approche de la prochaine rentrée universitaire, rien ne bouge. Les associations pédagogiques d’étudiants ont réagi face à cette situation et réclament l’attribution de ces logements universitaires aux étudiants à la prochaine rentrée universitaire. Sinon avant. « Il est temps que les étudiants bénéficient enfin de ces infrastructures car dans l’état actuel des choses, celles-ci risquent de se dégrader ou d’être vandalisées », affirment-ils.
Corruption. Les nouvelles infrastructures construites sous la période de transition, étaient destinées à soulager les conditions de vie des étudiants à l’université dont les parents ne vivent pas dans l’agglomération d’Antanarivo. L’autorité chargée de leur attribution a déjà enregistré plusieurs milliers de demandes émanant des étudiants, alors que les places disponibles pour le bâtiment à Ankatso II se chiffrent à moins d’un millier. Le retard accusé dans l’attribution de ces logements augmente le risque de corruption, affirment les étudiants, lesquels estiment, par ailleurs avoir, par le biais des associations, leur mot à dire dans la répartition des logements.
C’est certain, les infrastructures nouvellement construites ne suffiront pas pour abriter tous les étudiants en quête de logements. Quant à l’état actuel des cités universitaires, celles-ci totalement délabrées et insalubres, ne sont plus assimilables depuis des décennies à des logements décents.
Hanitra R.
Les nouveaux logements universitaires à Ankatso présentent déjà quelques signes de dégradation, alors qu’ils n’ont encore accueilli aucun étudiant depuis l’achèvement de leur construction.
Les travaux de construction des logements neufs destinés aux étudiants de l’Université d’Antananarivo, ont déjà été achevés depuis deux ans, mais aucune attribution de ces logements aux étudiants n’a encore eu lieu jusqu’à aujourd’hui. L’équipement des chambres qui n’a pu encore être réalisé, est le motif avancé pour expliquer cette longue attente. A l’approche de la prochaine rentrée universitaire, rien ne bouge. Les associations pédagogiques d’étudiants ont réagi face à cette situation et réclament l’attribution de ces logements universitaires aux étudiants à la prochaine rentrée universitaire. Sinon avant. « Il est temps que les étudiants bénéficient enfin de ces infrastructures car dans l’état actuel des choses, celles-ci risquent de se dégrader ou d’être vandalisées », affirment-ils.
Corruption. Les nouvelles infrastructures construites sous la période de transition, étaient destinées à soulager les conditions de vie des étudiants à l’université dont les parents ne vivent pas dans l’agglomération d’Antanarivo. L’autorité chargée de leur attribution a déjà enregistré plusieurs milliers de demandes émanant des étudiants, alors que les places disponibles pour le bâtiment à Ankatso II se chiffrent à moins d’un millier. Le retard accusé dans l’attribution de ces logements augmente le risque de corruption, affirment les étudiants, lesquels estiment, par ailleurs avoir, par le biais des associations, leur mot à dire dans la répartition des logements.
C’est certain, les infrastructures nouvellement construites ne suffiront pas pour abriter tous les étudiants en quête de logements. Quant à l’état actuel des cités universitaires, celles-ci totalement délabrées et insalubres, ne sont plus assimilables depuis des décennies à des logements décents.
Hanitra R.
Sortie de l’annexe B : Une évaluation de l’Union européenne bientôt
Finalement, c’est au mois de mars prochain que l’on sera fixé sur la question de la sortie de Madagascar de l’annexe B de l’Union européenne. Après l’évaluation faite par une mission effectuée par des techniciens de l’Union européenne la semaine dernière, un rapport sera publié incessamment. Ce rapport donnera le « Finding », une sorte de comparaison entre les normes européennes de l’aviation civile, aussi bien en matière de sûreté que de sécurité aérienne, et la situation réelle sur terrain. S’il y a encore trop d’écarts entre les normes et l’existant, la sanction peut encore subsister et Madagascar restera encore dans l’annexe B. Dans le cas contraire, c’est-à-dire si des améliorations sont constatées, ce sera enfin la sortie de Madagascar de cette fameuse annexe B.
R.Edmond
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