Le potentiel économique et touristique de la place d’Andohalo ne laisse pas les opérateurs indifférents. D’autant plus que c’est un site pilote en termes de tourisme urbain et qui est le seul à avoir une valeur triptyque. C’est-à-dire ayant une valorisation culturelle, économique et éducative. Pas plus tard qu’hier, des associations de jeunes, collégiens et lycéens, l’office régional du tourisme d’Analamanga (Ortana), Eco Tanàna, Madacraft (groupement des artisans designers) se sont donné la main pour redorer l’image du jardin d’Andohalo, souillé par des saletés. L’action de solidarité s’est focalisée sur l’assainissement du jardin et la sensibilisation des jeunes à l’entretien de ce site urbain qui est un fer de lance du tourisme à Antananarivo.
De 2012 à 2013, on évalue à 200 par jour la fréquence moyenne des visites à Antananarivo et ce chiffre est doublé durant les week-ends. D’après Brigitte Elison, chargée de la mission de développement du tourisme durable, 35 % des visiteurs sont des étrangers. « Une enquête effectuée sur un échantillon de 1.200 visiteurs a été menée à l’aéroport d’Ivato pour connaître les attentes des étrangers en matière de tourisme urbain », a-t-elle déclaré. Et de continuer qu’un document cadre régissant la gestion des sites urbains sera élaboré d’ici 2015 pour pérenniser les efforts déployés auparavant.
Rojo N.
Écrit par Les nouvelles |
Samedi, 25 Janvier 2014 08:52 |
Le projet intitulé Trois lignes pilotes est en cours d’exécution. D’ici quatre mois, les axes reliant Ankatso à Antanimena disposeront d’abribus répondant aux normes. Bon nombre de chantiers se réalisent actuellement dans la capitale dont les travaux d’aménagement des trois lignes pilotes 128, 160 et 166. Les travaux ont débuté au mois de décembre 2013 et sont prévus être achevés au mois d’avril au plus tard. Il s’agit d’un projet inscrit dans la poursuite du programme d’amélioration de la circulation urbaine d’Antananarivo dont le coût de réalisation s’élève à 500.000 euros soit l’équivalent de 1,5 milliard d’ariary.
Le projet a été élaboré en 2013 et est mis en œuvre avec l’appui technique et financier de la région Ile de France, en collaboration avec l’Institut des métiers de la ville (IMV). L’objectif est de contribuer à l’organisation et la gestion de la circulation des transports urbains publics, d’une part, et de faciliter la circulation des usagers, piétons et véhicules, d’autre part. Et ce, en vue d’offrir aux usagers un environnement agréable et attrayant.
Les travaux d’aménagement concernent la mise en place d’abris bus répondant aux normes, des totems, ainsi que la plantation d’arbres et la création de passages pour les piétons. Les axes concernés par les travaux relient le primus d’Ankatso jusqu’au terminus d’Antanimena en passant par Ankorahotra, Ampandrana, Andravoahangy Ambony et le pont Ambatomitsangana Ankadifotsy.
Plantation d’arbres pour purifier l’air
En ce qui concerne la plantation d’arbres, elle fait également partie de ce projet lignes pilotes. Au total, 60 arbres seront plantés dans quatre sites de la capitale, à savoir Mahamasina du côté de la boulangerie Gerb’Or (15), Mahamasina du côté de Gastro pizza (15), Amatomitsangana Ankadifotsy (15) et Ankaditapaka (15). Une plante connue sous le nom de frêne sera plantée dans ces sites. Il s’agit d’un grand arbre à croissance rapide, clair, dur et élastique. Cet arbre est réputé pour être un excellent purificateur d’air. Ce qui explique le choix de ces quatre quartiers, étant les plus pollués dans la capitale.
Le frêne sera planté dans des trous déjà creusés depuis quelques jours dans les quartiers concernés ayant suscité des commentaires de la part des riverains. D’après les explications d’un technicien de réalisation des ouvrages, ces trous n’empêchent pas le stationnement des véhicules et ne vont pas créer des embouteillages. Un trou fait 1,50 m de diamètre.
Bref, tous ces travaux d’aménagement urbain ne sont autres que la concrétisation du slogan de la commune urbaine d’Antananarivo, ville ordonnée, sécurisée et propre.
Noro Niaina
Écrit par Taratra |
Samedi, 25 Janvier 2014 07:31 |
Tsy afa-misaraka ny fampandrosoana ny fizahantany sy ny fikajiana ny tontolo iainana. Manoloana izany, hamafisin’ny Ofisim-paritry ny fizahantany eto Analamanga (Ortana) ny fanentanana momba ilay toe-tsaina sy fitondran-tena mikajy hatrany ny fahadiovana sy ny tontolo iainana, rehefa mitety ireo toeram-pizahantany. Tsy inona izany fa ny «Sans trace ». Voizina ao anatin’izany fa tsy tokony hamela marika, na kely aza, ny olona tsirairay amin’ny toerana izay nalehany. Miara-miasa amin’ny sampandraharaha sy fikambanana samihafa ny Ortana amin’izany fanentanana izany. Anisan’izany ny kaominina Antananarivo Renivohitra sy ny Institut des métiers de la ville (IMV). Omaly àry, mpiasan’ny CUA sy mpitarika mpizahatany ary tanora mpianatra manodidina ny zato no niara-namafa ny marika napetraky ny mpandalo, teny amin’ny zaridainan’Andohalo. Ankoatra ny asa mivantana, mifantoka kokoa amin’ny fanovana ny toe-tsaina sy ny fahazaran-dratsy ny fanentanan’ny Ortana. Kendrena voalohany amin’izany ny ankizy sy ny tanora. Tonga teto Madagasikara ny mpikambana amin’ny « Sans trace », avy any Kanada, ny volana novambra teo, ary nanofana mpitarika mpizahatany 14 mianadahy. Ireto indray, avy eo, no nanaparitaka ny toromarika azony. Anisan’ny nahazo izany ny mpikambana ao amin’ny Club Vintsy, eo anivon’ny WWF. Mpianatra manodidina ny 3.000 kosa no kendrena hiantefan’ny fanentanana avy amin’ireto farany, mandritra ity volana janoary sy febroary ity.
Landy R.
Écrit par Taratra |
Samedi, 25 Janvier 2014 07:19 |
Tsy takona afenina ny fahasimban’ny tanànan’Antananarivo, Renivohitr’i Madagasikara. Ankoatra ny fahapotehan’ny lalana sy ny fivangongoan’ny fako, very noho ny halatra ny fitaovana maro, na ireo taloha, toy ireo vy saron’ireny tariby momba ny fifandraisan-davitra ireny, na ny an’ny Jirama. Ireo fotodrafitrasa vaovao, ny andrin-jiro mandeha amin’ny herin’ny masoandro eny Andohatapenaka, vao haingana, misy mandavaka mangalatra ireo batterie, mitahiry fahana ao anatiny. Telo izao no fantatra fa very tamin’ireo batterie ireo. Mifanandrify amin’izany, nanambara ny tompon’andraikitra ao amin’ny kaominina fa efa misy fiaraha-miasa amin’ny polisim-pirenena momba ny fiarovana ny tanàna, amin’ny tsy fandriampahalemana sy miaro ireo fananam-bahoaka ireo. Ny fototr’ireo andrin-jiro vaovao ireo izao, horakofana beton ho fiarovana ny batterie. Taona maro mantsy ny faharetan’izy ireny. Momba izay fiarovana ny fananam-bahoaka izay, nilaza io tompon’andraikitra ao amin’ny kaominina io fa tsy maintsy ilàna tetibola ny asa toy ireny. « Be loatra ny tsy fanarahan-dalàna, ka mampitombo asa, midika ho mampitombo vola mivoaka izay », hoy io mpiasan’ny kaominina io. Koa aorian’ny fifidianana ben’ny Tanàna vaovao eto an-dRenivohitra, tokony hisy fizahana miaraka amin’ny filankevitra vaovao ny tetibola hoentina hiarovana ireny fotodrafitrasa ireny. Manamarina izany ny tokony hametrahana sampandraharaha manokana hisahana izany asa izany. Mifandraika amin’izay, tokony hampitomboana koa ny mpiasan’ny kaominina.
M.C
Écrit par Courrier |
Vendredi, 24 Janvier 2014 09:21 |
Manomboka manaisotra ny afisy rehetra nameno rindrina tamin’ireny fotoan’ny fampielezan-kevitra nialoha ny fifidianana ireny ny avy ao amin’ny kaominina Antananarivo-Renivohitra. Nivadika ho endrika ratsy ho an’ny tanàna mihitsy ny kisarisary sy sora-baventy nampiasaina nandritra ireny fotoana ireny ka tsy maintsy andraisana fepetra. Mariky ny tsy naha-tan-dalàna ny kandidà maro ny fametahany afisy amin’ny toerana tsy natokana ho amin’izany. Tsy nisy nanasazy moa izy ireny, na dia nampangain’ny sariny, naranty teny amin’ny lafin-drindrina maro aza ny fandikany ny lalàm-pifidianana nekeny.
Manou
Écrit par Reflet |
Vendredi, 24 Janvier 2014 09:55
La gestion du cadre de vie d’une société exige comme l’on s’en doute d’entreprendre différentes actions en divers domaines. Entre les plus simples actes que nécessitent le fonctionnement au quotidien jusqu’aux nombreux chantiers de toutes tailles, il existe un dénominateur commun : à la base de toutes les initiatives, l’intérêt général. Dans une collectivité les intérêts aux mille facettes se répartissent dans mille et unes directions. Ces intérêts apparaissent parfois entrer en contradiction les uns en rapport à d’autres. L’intérêt général étant le repère cardinal, toutes les initiatives, du simple acte routinier jusqu’à la conception de tout projet ne sauraient outrepasser un souci de référence à une idée directrice établie voire à un plan directeur adopté voire un programme planifié, afin que tous les efforts se rejoignent dans une cohérence.
La ville une taille idéale pour une visibilité
La gouvernance d’une collectivité, qu’elle concerne le gouvernement d’un pays ou qu’elle ait trait à la gestion d’une petite commune, nécessite de façon constante le besoin dans toute action, à partir de l’acte le plus banal jusqu’au plus grand projet, de répondre à un impératif de cohérence. Même à l’échelle de l’Etat, l’expérience rappelle des exemples patents d’incohérence en raison des inconséquences de certaines initiatives ou des responsables au moment de la prise de décision. Les exemples ne manquent ni ici ni sur le Continent africain concernant des investissements n’ayant pas fait l’objet d’exploitation n’eût été un seul jour, ces investissements on les appelait « éléphants blancs », la mode est passée, tant les motivations pour les entreprendre étaient cousus de fil blanc. Ils représentent des exemples extrêmes, alors qu’au quotidien à Antananarivo comme dans autres villes dans le pays, de menues initiatives laissent entrevoir des improvisations des administrateurs des villes qui ne répondent qu’à une immédiateté même pas toujours heureuse.
La fluidité de la circulation urbaine, une hantiseLes bouchons constituent un cauchemar pour tous les usagers, trouver un remède semble devenir une utopie même si on a le sentiment que c’est devenu une hantise des édiles de la ville. Le problème devient pourtant chaque jour plus épineux, et les sparadraps que l’on adopte en solution ne font que produire parfois des effets contraires. C’est que non seulement on improvise, mais à l’évidence ces gens qui improvisent le font avec un amateurisme rare se coupant de toute collaboration et assistance de professionnel. On en arrive à des points où l’administré manifeste avec insolence une réprobation devant certaines initiatives, ou bien ce sont les décideurs et les exécutants qui deviennent la risée de la cité, style « pour que nous soyons obligés de marcher en pleine chaussée, c’est parce que eux marchent sur la tête ».
Ces remarques sont parfois sévères mais les exagérations populaires ne sont souvent que pour mieux approcher de la vérité. Nombreuses villes à leurs portes accueillent les visiteurs par des slogans qui flattent la cité afin que celle-ci parée de ses plus beaux atours séduise le visiteur. Antananarivo ou Taomasina ou Mahajanga ou d’autres villes du reste, ne sauraient s’autoriser ce luxe sans le risque que ça leur revienne comme un boomerang. A l’entrée de la ville, afin d’éviter toute déconvenue et de taire les critiques, façon de réponde à l’avance « ce n’est pas faute de vous avoir prévenus» les seuls panneaux que mérite la réalité sont des annonces de mise en garde, style : « piétons et automobilistes attention ! Ville gruyère ; un trou béant peut cacher une cavité plus dangereuse, tant sur les trottoirs qu’en plein milieu de la chaussée.»
Alarmés par les rumeurs qui grondent les responsables s’alertent, mais les rustines qu’ils tentent de coller ne constituent ces temps ci que des balafres que l’opinion ne perçoit que dans les effets négatifs contraires aux effets recherchés.
René Cyrille
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Écrit par Courrier |
Jeudi, 23 Janvier 2014 09:24 |
Tsy ananan-javatra tsara ny halatra ataon’ny olona sasany amin’ny fotodrafitrasa iombonana eto amintsika. Lasan’ny mpangalatra sahady ny vatoaratra fanangonana ny hery mampazava ireo takamoa mandeha amin’ny herin’ny masoandro, vao natsatoka manaraka ny làlana digy eo anelanelan’Andohatapenaka sy Anosizato. Vatoaratra enina tamina andrin-jiro telo no very, ny alatsinainy teo, ka efa eo am-pikarohana ny tompon-keloka amin’izany ny manampahefana. “Horaisim-potsiny ny naka an’ireo fitaovana ireo satria miavaka ary tsy misy mitovy aminy ireo vatoaratra ireo”, hoy ny tomponandraikitra.
Arovana mafy
Ho ringana ireto jiro, fanomezana avy amin’ny fanjakana sinoa ireto, raha mitohy izao asa ratsy izao. Nifamory, nidinika ny hamahana ny olana ny tomponandraikitra voakasiky ny tetikasa dia ny minisiteran’ny Angovo, ny teknisianina sinoa, ny avy ao amin’ny Jirama, ny kaominina ary ny mpitandro filaminana, taorian’io. Tapaky ny rehetra fa tsy maintsy holalorina anaty simenitra ny vatoaratra rehetra, manomboka izao, ho fiarovana azy amin’ny mpandroba. Homena andraikitra bebe kokoa amin’ny fiambenana ny andrin-jiro rehetra miorina ao amin’ny faritra iadidiany ny fokontany sy ny fokonolona satria tombontsoa ho an’ny mponina ao ihany ny hazavana entin’ireo fitaovana ireo. Tetikasa vaovao, hiadiana amin’ny asan-jiolahy, andraman-dry zareo Sinoa eto amintsika ity fampiasana jiro mandeha amin’ny herin’ny masoandro ity. Ny làlam-pirenena voalohany sy ny làlana eny amin’ny digy ary ny làlana Ampitatafika- Fenoarivo no nisantarana azy teto Antananarivo fa efa misy ihany koa any amin’ny faritanin’i Toamasina. Tanjona ny hanitarana azy manerana ny Nosy, saingy mampanahy ihany izao tranga miseho sahady eto an-dRenivohitra izao.
Manou
Écrit par Courrier |
Jeudi, 23 Janvier 2014 09:22 |
Nandiso ny kajin’ny tomponandraikitra ara-teknika miandraikitra ny fiarovana ny lemak’Antananarivo amin’ny tondra-drano, Apipa, ny zava-misy amin’izao fotoana izao. Dibo-drano ihany, fa tsy araka ny vinavina nampahafantaran’io sampandraharaham-panjakana io, ny fokontany maro eto an-dRenivohitra, indrindra ny toerana iva. Betsaka ny tokantrano tafiditry ny rano ary efa lakana no ahafahan’ny fianakaviana maro, monina eny, mivezivezy. “Ny mpianatra sy ny ankizy madinika no tena atahorana amin’ny toe-javatra toy izao”, hoy ny traboina satria samy mety hampidi-doza azy ireo avokoa na ny aretina vokatry ny filalaovana sy filomana rano maloto na ny fianjerana amin’ny lavaka any anaty rano. Tsy hatahorana ny fiakaran’ny rano satria voadio avokoa ny lakandrano manary ny rano eto an-drenivohitra, araka ny fanambaran’ny teknisianina. Misy fahamarinany izany, saingy tsy voajery tao anatin’io ny olana ateraky ny fanotofana tany amina fokontany maro, tato anatin’ny taona vitsy. Lasa gaboraraka ny fanaovana ny fanotofana tany nefa iankinan’ny fisondrotan’ny rano amin’ny faritra onenan’ny vahoaka maro noho izy manampina ny làlana fivoahan’ny rano avy any anaty tanàna. Hitera-pahavoazana tsy hita noanoa amin’ny fiainam-bahoaka anefa ny tsy fisian’ireo honahona sy farihy handray ny rano miakatra eto Antananarivo intsony, noho izany. Takina, manomboka izao, hoy ny mponina dibo-drano lava eny amin’ireo faritra iva ireo, ny hampahafantaran’ny tomponandraikitra isan-tsokajiny ny velaran-tany sisa azo totofana eto an-dRenivohitra. Tsara koa, hoy ny fokonolona, raha mipetraka mazava sy ampahafantarina ny besinimaro ny lalàna mifehy io fanotofana tany io, ny fepetra ahafaha-manatanteraka izany ary ny manampahefana mpanome alàlana amin’ny fanaovana azy. “Te handray andraikitra, hiaro ny tanànany amin’ny fanotofana tany tsy ara-dalàna mantsy ny fokonolona”, hoy izy ireo, hisorohana ny fahavoazana amin’ny tondra-drano.
Manou
Écrit par Courrier |
Jeudi, 23 Janvier 2014 09:07 |
Récemment, le ministère de l’Energie et la commune urbaine d’Antananarivo, en collaboration avec le gouvernement chinois, ont mis en place des lampadaires solaires sur le long de la route digue d’Anosizato ainsi que sur la route nationale numéro 1 (RN 1) qui relie Ampitatafika et Fenoarivo. Quelques semaines après leur mise en place, six batteries alimentant trois poteaux d’éclairages ont été dérobées par les malfaiteurs lundi dernier alors qu’il s’agit d’un bien commun qu’il faut préserver puisque c’est l’intérêt de tout qui est en jeu notamment la sécurité durant la nuit. Une réunion d’urgence a été effectuée mardi dernier à Ampandrianomby entre les responsables, dont la CUA, la police nationale et municipale, la Jirama, les techniciens chinois ainsi que le ministère de l’Energie.
Encastrées dans du ciment
Suite à cette réunion, il a été décidé de renforcer la sécurité de ces éclairages pour que de telle situation ne se produise plus. Ainsi, ces batteries seront encastrées dans des blocs de ciment afin que l’on ne puisse plus les enlever facilement. Grâce à cela, ces batteries seront en sécurité pour au moins cinq ans, selon les explications du directeur des déplacements urbains au sein de la commune urbaine d’Antananarivo, le Colonel Razafimahefa Jocelyn. « Comme il s’agit d’un bien commun, chacun doit prendre ses responsabilités afin de les préserver. La situation est condamnable puisqu’à chaque fois que l’on fait quelque chose de bien en faveur de la commune, certains se précipitent à détruire les efforts entrepris » a-t-il poursuivi. Lui de conclure que les habitants des alentours où sont installés ces matériaux devront en prendre soins puisque ce sont eux qui sont les premiers bénéficiaires.
Un projet novateur
Pour rappel, ces lampadaires solaires, fruits d’un projet novateur, ont été placés sur ces routes depuis le mois de décembre dernier. La RN 1 en a été équipée de 166 tandis que sur la route digue on a installé 134 lampes solaires. Par ailleurs, 300 autres poteaux vont également être équipés de ces matériels dans la commune urbaine de Toamasina prochainement. Cette solution devrait ainsi aider la population à échapper aux problèmes de délestage ainsi qu’au manque d’ampoule sur les éclairages de la Jirama. Ce genre de projet devrait être mis en œuvre dans tout Madagascar afin de pérenniser la sécurité notamment dans les quartiers considérés comme à risque.
Dimisoa
Écrit par Taratra |
Jeudi, 23 Janvier 2014 08:44 |
Feno mpivarotra ny fokontany rehetra eto an-dRenivohitra. Mpivarotra enta-madinika no betsaka indrindra, mitombo isa haingana. Ao ihany koa ireo mpivarotra sakafo masaka. Misy ny manana ny karatra amin’ireo, fa betsaka koa ny tsy ara-dalàna. Singa mampiseho ny fahantrana avokoa izany. Mitombo isa hatrany ireo mpivarotra enta-madinika. Ao anatin’izany ireo manana karatra ara-dalàna sy ireo tsy manana, mpivarotra amoron-dalana. Singa iray mampiseho ny fahantrana eto amin’ny firenena izany, rehefa be loatra ny mpivarotra. Tamin’ny taona 2013, isam-bolana, tsy latsaky ny 500 ireo mangataka taratasy ara-dalàna ho mpivarotra eto Antananarivo sy ny manodidina. Ny volana mey 2013, ohatra, tafakatra 1800 ny isan’izy ireo. Raha ny fanadihadiana natao, 100.000 Ar hatramin’ny 600.000 Ar ny tombam-bidin’ireo entana any amin’ireo tsena madinika anelakela-trano any amin’ny fokontany maro, ahitana fari-piainan’ny mponina latsaka ambany.
Tena varotra antsinjarany
Misy ireo karazana mpivarotra ireo ny fokontany maro eto an-dRenivohitra. Any amin’ireny toerana ireny, betsaka ny tena varotra antsinjarany, tsy mandeha amin’ny kilao intsony, satria tsy zakan’ny mpanjifa. Manampy ireo ny fitombon’ireo mpivarotra sakafo masaka. Ity fivarotana hani-masaka ity no maro indrindra tsy ao anatin’ny ara-dalàna, manerana an’Antananarivo. Ao ihany anefa ireo tsenam-barotra lehibe, izay mitombo isa ihany koa. Olana eto Antananarivo ny fahateren’ny toerana fivarotan’ny maro. Tsara ho fantatra fa misy lalàna sy fepetra mahakasika ny toeram-pivarotana. Ao anatin’izany ny fizahana ny tontolo manodidina, ny fisian’ny jiro sy rano, misy kajy ihany koa ny famaritana ny velaran’ny efitrano ivarotana araka izay entana amidy. Raha ny lalàna, tsy tokony hahazo fahazoan-dalana hivarotra raha tsy feno ireo fepetra ireo. Iaraha-mahita anefa ny zava-misy any anivon’ny fokontany maro. Eto Antananarivo sy ny manodidina ihany, tato anatin’izao krizy izao, hita misongadina ny firoboroboan’ny fifandraisan-davitra. Ny fampiasana finday sy ny fahamaroan’ireo « cyber ». Araka ny fitombon’ny mpampiasa finday anefa, manerana ny Nosy, mitombo manaraka izany koa ny saram-pifandraisana. Mifanohitra amin’ny lalànan’ny tolotra sy ny tinady.
R.Mathieu
Écrit par Taratra |
Jeudi, 23 Janvier 2014 07:38 |
Hijanona hatreo amin’izay angamba ny fimenomenomantsika eto an-drenivohitra amin’ity resaka fako ity. Raha ny hita omaly mantsy, nanao angaredona sy tsy nitsitsy aina mihitsy ireo mpiasan’ny Samva tamin’ny fandraofana ny loto nisavovona eran’ny kihon-dalana, teto afovoan-tanàna. Nahomby ny fanairana nataon’ny mpampahalala vaovao, toy ny lohateny lehiben’ny gazety Taratra, nivoaka omaly ? Asa… Tsy fifandrifian-javatra fotsiny koa anefa ity fanadiovana tampotampoka ity. Handray vahiny ny Malagasy, amin’ity faramparan’ny herinandro ity, ka iza no hifanala baraka eto ? Ry zareo vahiny, rahateo, no nanome ny vola handraofana ny fakon’Antananarivo. Ideran’ny any ivelany antsika Malagasy ny fahaizana mandray vahiny, saingy tsy mba toy izany kosa ny fifandraisana sy ny fifanajan’ny Malagasy samy Malagasy. Sanatria ve, raha tsy ho avy ny vahiny, tsy nodiovina ny tanàna ? Toa mihaingo ambony tsikoko ihany isika mianakavy, miezaka manadio ny ivelany, nefa ny toe-tsaina, mirefarefa amin’ny tany. Nahafinaritra sy nahavariana ery ny nahita ny jiro mandeha amin’ny herin’ny masoandro, napetraka manomboka eny Ampasika ka hatreny Fenoarivo. « Toy ny any andafy », hoy ireo mandalo amin’iny lalana iny, sendra tratra alina. Misy aza ireo mivoaka maka rivotra sy mitsangatsangana amin’iny toerana iny mihitsy noho ny hakantony. Indrisy anefa, noho izay toe-tsaina maloto ananan’ny sasany izay, efa nisy nangalatra sahady ny sasany tamin’ireo batery mampandeha ireo « panneaux solaires », andro vitsy monja taty aorian’ny nametrahana azy. Mailaka ery isika mimenomenona noho ny firongatry ny asan-jiolahy, manararaotra ny haizina. Rehefa hita sy tanterahina anefa ny vahaolana, toa tsy misy sarotiny sy tena manam-pahavononana hiaro izany.
Landy Ratsimanetrisoa.
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