dimanche 12 janvier 2014

Semaine du 06 janvier 2014 // articles parus dans Newsmada.com

Fonds d'Entretien Routier : une structure en mal de moyens

Écrit par Les nouvelles   
Samedi, 11 Janvier 2014 09:40
Les routes nationales se dégradent à vue d’œil. Avec le peu de moyens disponible, le fonds d’entretien routier (Fer) ne peut être efficace dans l’entretien de ces routes. En fait, jusqu’à maintenant, il attend encore les arriérés datant de 2011.

Avec le maintien de l’administration des prix à la pompe pour cette nouvelle année, le fonds d’entretien routier (Fer) risque d’être encore pénalisé pour un moment. En effet, avec l’indisponibilité de la totalité des ressources d’entretien routier (RER) composées essentiellement des taxes venant des compagnies pétrolières, le Fer ne peut travailler qu’à 25% de sa capacité.
« Nous ne pouvons pas travailler correctement avec si peu de moyens. Du coup, nous nous débrouillons avec les moyens du bord. Les volumes des travaux ont été réduits mais nous avons compensé cela par davantage de présence sur le terrain. Néanmoins, les entretiens ne sont pas effectués comme il le faudrait mais suivant le financement disponible », déclare le secrétaire général de l’entité, Benitany Mandimby.
Les arriérés sont en cours de paiement
A ce jour, les compagnies pétrolières doivent au Fer près de 60 milliards d’ariary d’arriérés au titre de l’année 2012 et le paiement serait en cours. Un protocole d’accord a été conclu entre les parties concernées, c’est-à-dire les compagnies pétrolières ainsi que les responsables de tutelle. Un accord qui stipulerait que les compagnies pétrolières bénéficieraient d’une compensation de 29 milliards d’ariary sur les arriérés de cette année-là. En ce qui concerne ceux de 2013, il semblerait que les pétroliers se soient acquittés de leur dû mais avec un léger retard.
Selon les explications de notre interlocuteur, la décision de prioriser l’entretien d’une route nationale revient au ministère des Travaux publics et à l’autorité routière de Madagascar (ARM). « Le Fer ne fait qu’exécuter les travaux à faire ». Le Fer jouerait juste ainsi le rôle de caissier qui débloque les financements.
Interrogé sur l’état des routes de la capitale, à notre interlocuteur de préciser que l’entretien de celles-ci revient à la commune urbaine d’Antananarivo (CUA). « La première tâche du Fer est d’intervenir sur les routes nationales qui ont besoin d’entretien et, accessoirement, on finance l’entretien de certaines routes communales. Pour Antananarivo, nous n’intervenons qu’exceptionnellement et suivant la requête de la CUA auprès de l’ARM et du ministère des Travaux publics », précise-t-il.

Perspectives pour 2014
L’on espère que la crise va se résoudre rapidement. Nous espérons trouver d’autres sources de financement que le RER pour avoir plus de mobilité. Si le Fer manque de financement, alors la réhabilitation des routes nationales verra du retard. 6 mois sans réhabilitation des routes c’est très cher payé. Il faudrait que le nouveau gouvernement sache engager une nouvelle négociation avec les compagnies pétrolières pour améliorer la situation actuelle.
« A terme, il faudrait que le Fer soit autonome tant sur dans son financement que dans sa structure pour plus d’efficacité de ses interventions », conclut-il.

Noella Rakoto

Régulation de la circulation : l’Unité mixte de contrôle prend ses responsabilités

Écrit par Les nouvelles   
Samedi, 11 Janvier 2014 09:24
D’ores et déjà, la balle est dans le camp de l’Unité mixte de contrôle (UMC) dès lors qu’il s’agit de la régulation de la circulation au niveau de la capitale. Cette nouvelle institution va renforcer l’application des lois régissant le monde du transport urbain et suburbain par des contrôles plus stricts.

Officialisée hier par un arrêté communal à l’Institut des métiers de la ville (IMV) à Tsimbazaza, l’UMC est désormais opérationnelle. Composée des représentants de la commune urbaine d’Antananarivo (CUA), du ministère de l’Intérieur, de l’Union des coopératives de transport urbain et suburbain (UCTU et UCTS) ainsi que le syndicat des usagers, elle affiche de répondre à une mission ambitieuse, notamment de mettre de l’ordre dans le monde de la circulation au niveau de la capitale.
En effet, les usagers de la voie publique doivent respecter la loi qui régit la circulation comme le cahier des charges ainsi que le code de la route en général.
Pour ce faire, les membres de l’UMC vont effectuer des descentes inopinées sur terrain, évidemment après quelques semaines de sensibilisation de masse en guise de rappel à l’ordre destiné aux transporteurs et aux passagers. A ce propos, le directeur du développement urbain (DDU) au niveau de la CUA, le commandant Jocelyn Razafimahefa, a déclaré que, « Autant que faire se peut, l’intervention de l’UMC sera précédée d’une éducation de la population afin de ne pas prendre des décisions outrancières. Ces activités de sensibilisation seront effectuées dans les deux semaines qui viennent avant de procéder au contrôle proprement dit».
Pour pouvoir honorer cet engagement, les membres de cette unité ont suivi une formation d’une semaine à l’IMV Tsimbazaza.

Il faut mettre les pots-de-vin au rancart
Parmi ses ambitions, l’UMC prétend limiter voire éliminer le payement de pots-de-vin aux agents de contrôle de la circulation. En collaboration avec le Bianco, ceux qui seront pris en flagrant délit, tant les policiers que les chauffeurs, vont être sanctionné.
Pour le chauffeur, la peine va d’une simple contravention forfaitaire à la mise en fourrière de son véhicule. Quant au policier corrompu, ce dernier sera puni selon le règlement intérieur qui régit la police nationale ou la police municipale.
Pas plus de 2 minutes dans les arrêts intermédiaires
Selon toujours notre source, le respect du cahier des charges par les chauffeurs de taxibe sera également contrôlé de près. Ces derniers doivent par exemple respecter les arrêts en ne faisant ni monter ni descendre un passager hors des arrêts. Sur ce, des sanctions peuvent également êtres prises contre les passagers qui incitent, de gré ou de force, les chauffeurs à les prendre ou à les faire descendre à des endroits inappropriés.
Les véhicules qui n’ont pas de papiers en règle, comme l’attestation de la visite technique ou encore le paiement de l’assurance seront mis en fourrière. Par ailleurs, la surcharge des passagers est aussi passible de cette peine. La mise en fourrière s’accompagne d’une contravention de 600 ariary par cheval et par jour, avec une durée qui va de 3 à 10 jours. Une somme jugée minime, qui ne motive pas les usagers des voies publiques à respecter les normes !

Fahranarison

Ville des mille : la réhabilitation des infrastructures continue

Écrit par Les nouvelles   
Samedi, 11 Janvier 2014 09:23
La commune urbaine d’Antananarivo (CUA) projette de relever le défi de redorer l’image de la ville des Mille cette année en faisant régner l’ordre, la sécurité et la salubrité. Et ce, en axant ses priorités sur des travaux de réhabilitation d’infrastructures afin d’offrir un environnement agréable aux Tananariviens.

Les premiers travaux consistent à réhabiliter les infrastructures de base comme les routes dont la majorité est actuellement en état de dégradation non seulement à cause de l’abondance des pluies mais de sa vétusté. Des efforts ont déjà été déployés pour réhabiliter l’axe des 67 ha jusqu’à Andohatapenaka du côté de Coco plastique ou encore pour réparer une chaussée affaissée sur l’axe Ambanidia, a expliqué le secrétaire général de la CUA. Outre les nids de poule qui prolifèrent dans la capitale, ce responsable de reconnaître également la vétusté de certaines chaussées en pavé qui risquent de causer des accidents aux usagers de la circulation comme celle de la descente de Faravohitra vers Antaninandro ou d’Ambatonakanga vers Andohan’Analakely. 

Parmi les infrastructures à réhabiliter figurent également les canaux d’évacuation qui ne sont plus opérationnels actuellement, étant obstrués par des déchets et de boue surtout en cette saison de pluies. Tout cela, sans négliger la recrudescence des constructions illicites et des remblayages. Les inondations font souffrir les Tananariviens, surtout ceux des bas quartiers qui vivent dans un environnement insalubre avec des odeurs nauséabondes qui se dégagent dans l’atmosphère.

Le SG de la CUA d’annoncer que la mairie dispose d’un budget s’élevant à 33,9 milliards d’ariary, une hausse de 6 milliards d’ariary par rapport à l’année 2013 mais il semble insuffisant pour réaliser ces projets. D’où la nécessité de reprendre l’application du droit de circuler et de la vignette automobile pour que les usagers puissent aussi participer à ces travaux de réhabilitation en tant que contribuables.

Noro Niaina

Transport : l’unité mixte de contrôle mise en place

Écrit par Courrier   
Samedi, 11 Janvier 2014 08:24
Afin de remettre l’ordre dans la capitale dans le monde du transport, une unité mixte de contrôle a été mise en place depuis hier. En effet, les usagers des voies publiques doivent respecter la loi qui régit la circulation comme le respect des cahiers de charge ainsi que le code de la route en général. Les membres de cette unité ont reçu une formation d’une semaine à l’institut des métiers de la ville, à Tsimbazaza, depuis jeudi dernier.
Cette unité mixte de contrôle est composée des représentants du ministère de l’Intérieur et ceux des transporteurs, tant urbains que suburbains, ainsi que ceux issus du syndicat des consommateurs. Par ailleurs, la commune urbaine d’Antananarivo y est représentée par les policiers municipaux.

Lutter contre la corruption

La lutte contre la corruption dans le domaine de la circulation figure parmi les attributions de cette unité mixte de contrôle. Ainsi, ceux qui seront pris en flagrant délit, tant les policiers que les chauffeurs, vont être sévèrement sanctionnés. Pour le chauffeur, la peine va d’une simple contravention forfaitaire à la mise en fourrière de son véhicule. Pour le policier corrompu, ce dernier sera puni selon le règlement intérieur qui régit la police nationale ou la police municipale.
Par ailleurs, le respect du cahier des charges sera également contrôlé de près pour les chauffeurs de taxibe. Ces derniers doivent, par exemple, respecter les arrêts en ne faisant ni monter ni descendre un passager à des endroits autres que ceux qui ont été mis en place à cet effet. La mise en fourrière sanctionnera les véhicules dont les papiers ne sont pas en règle. La surcharge et le surnombre de passager sont également passibles de cette peine. Cette sanction s’accompagne du paiement de 600 ariary par cheval et par jour. Sa durée va de trois à 10 jours maximum.

L’égal des policiers


A noter que cette unité de contrôle mixte existait déjà depuis l’année 2010 mais c’est seulement hier que son existence a été officialisée, afin que les transporteurs ne soient pas surpris de leur présence sur terrain à partir de maintenant. « Elle aura le même pouvoir que la police nationale. A ce titre, ses éléments ont le droit de sanctionner immédiatement en cas de constatation flagrante d’infraction au code de la route », a expliqué le directeur du déplacement urbain au sein de la commune urbaine d’Antananarivo, le Commandant Razafimahefa Jocelyn. Lui de poursuivre que même les particuliers contrevenants au code de la route seront sanctionnés.

Dimisoa

Escalier d’Antaninarenina : les marchands ont dû vider les lieux

Écrit par Courrier   
Samedi, 11 Janvier 2014 08:22
Depuis toujours, des commerçants vendent leurs marchandises tout au long de l’escalier d’Antaninarenina. Cet escalier et celui d’Ambondrona ayant été rénové l’année dernière, la commune urbaine d’Antananarivo a décidé de les en chasser depuis hier. La commune avance comme motif que cet endroit réhabilité devrait être conservé puisqu’il fait partie de notre patrimoine national car sa construction date de l’époque royale.
« Ces commerçants, qui envahissent les lieux, vendent illégalement leur marchandise sur cet escalier. Leur nombre s’est multiplié depuis quelque temps. Par ailleurs, ils gênent les passants dont certains se sont même plaints auprès de la commune », a déclaré le chef de corps de la police municipale, l’officier Harivelo Andrianavalona.
Par contre, les commerçants qui effectuent leur commerce sur l’escalier d’Ambondrona ne sont pas concernés par cette expulsion notamment les grossistes. En effet, selon encore les explications de ce responsable, ces derniers ont une entente avec la direction des affaires économiques et c’est cette dernière qui se charge de régler leur cas.

Deux poids, deux mesures ?


Une situation qui n’a pas manqué de susciter l’étonnement des commerçants qui ont été chassés de l’escalier d’Antaninarenina. « Ces deux escaliers ont été rénovés en même temps l’année dernière, alors pourquoi ce traitement de faveur envers les commerçants de l’escalier d’Ambondrona », ont-ils clamé. Ils demandent ainsi un traitement égalitaire de la part de la commune urbaine d’Antananarivo. Ils s’interrogent également sur le laxisme des responsables communaux à l’égard des marchands illicites d’Analakely. « Assainissement pour assainissement, pourquoi la CUA procède-t-elle ainsi en laissant d’autres continuer leurs commerces et interdire certains ? », ont-ils fustigé.
Quoi qu’il en soit, l’assainissement de la ville d’Antananarivo va être effectué bientôt, selon les explications du chef de corps de la police municipale. En effet, prochainement sera mise en place la police de l’assainissement qui se changera de déloger du centre-ville tous les commerçants illicites.

Dimisoa

Fifamoivoizana : mikorontana ny fitaterana, lasibatra ny mpanjifa

Écrit par Taratra   
Samedi, 11 Janvier 2014 07:41
Nisongadina, nandritra ny fihaonan’ireo mpikambana rehetra ao amin’ny sampana miara-manara-maso ny fizotran’ny fitateram-bahoaka eto Antananarivo sy ny manodidina (UMC), fa olana goavana sedrain’ny fitateram-bahoaka ny fifanitsahan’ny zotra. Miteraka savorovoro eo amin’ireo samy kaoperativa izany ary mampanjaka ny gaboraraka.
Betsaka ireo zotra ao anatin’ny faritr’Antananarivo no manita-dalana ka mitohy mivoaka ivelan’Antananarivo. Toraka izany ireo taxi-be ivelan’Antananarivo izay tafiditra eto an-tanàn-dehibe. Tsy mbola voafehy io fifanitsahana io ankehitriny. Anisan’ny soso-kevitra ny hamerana ny lalan’ireo zotra mba tsy hisian’ny fifanitsahana.
Ho an’ny fitohanan’ny fiara, nilaza ny mpitatitra fa vokatry ny gaboraraka eo amin’ireo sarety sy posiposy mibahana ny lalana no tena olana. Ankoatra izany ny fisian’ireo fiantsonan’ny fiara amin’ny zotra nasionaly tafiditra aty an-tanàna.
Lasibatry ny gaboraraky ny fitaterana ny mpanjifa. « Fitaterana manaja fotoana, manaja lalàna ary manaja ny mpanjifa  no takianay », hoy Rabarison Tina, solontenan’ny mpanjifa. Tokony hihatra avy hatrany ny sazy hentitra ho an’ireo tsy manara-dalàna. Soso-kevitra entin’ny mpanjifa ny fampihatoana ny mpamily sy ny mpanampy azy ao anatin’ny telo andro raha manao fandikan-dalàna. Mivoatra arakaraky ny fitohizan’ny stsy fanarahan-dalàna izany.
Mikasika ny mpitandro filaminana, milaza ny mpanjifa fa mbola manjaka ny tsolotra ka mahatonga ny gaboraraka. Misy ireo mpitatitra faizina rehefa mandika lalàna ary misy ireo tsy sahin’ny mpitandro filaminana omena sazy satria mahavita manolotolotra azy ireo.

Hiasa ny « etsy babeko »

Hentitra ny tompon‘andraikitra ao amin’ny polisin’Antananarivo izay ahitana ny polisy monisipaly sy ny polisy nasionaly fa ho bataina sy entina miditra “fourrière “ avokoa ireo fiara mijanona amoron-dalàna izay manelingelina kanefa tsy esorin’ny tompony. “Hiasa tsy ho ela ilay fiara lehibe “vantouse” na ilay antsoin’ny olona hoe : “etsy babeko”, hoy ny Lehiben’ny polisy monisipaly , ny Officier de police, Andrianavalona Harivelo Roland.
Tatiana A

Sapeurs pompiers : l’effectif ne répond pas aux normes

Écrit par Les nouvelles   
Vendredi, 10 Janvier 2014 11:26
Actuellement, l’on compte près de 200 sapeurs pompiers en exercice pour servir plus de 2 millions d’habitants de la capitale, soit un sapeur pompier pour 10.000 habitants. Or, un pompier doit couvrir 800 habitants, selon les normes internationales. Ce n’est pas le cas pour la ville des Mille malgré les efforts déployés par la mairie d’Antananarivo dans l’organisation de formations une fois par an en vue d’augmenter l’effectif des soldats du feu.

Toutefois, les sapeurs pompiers peuvent très bien assurer les opérations de sauvetage mais les éléments semblent encore insuffisants pour exercer la profession. Ces éléments doivent aussi acquérir plus de connaissances non seulement sur le secourisme en cas de catastrophes mais surtout sur les activités environnementales. Ainsi, 17  sapeurs pompiers ont bénéficié d’une formation de six mois sur l’environnement au centre culturel et éducatif à l’environnement (CCEE).

La sortie de la promotion dénommée « Loharano » s’est déroulée hier à l’Hôtel de ville Analakely lors de laquelle le chef de corps des sapeurs pompiers, Augustin Rakotoniaina, a expliqué que malgré l’insuffisance de l’effectif, « nos éléments ne se plaignent pas en assumant leur mission qui est de servir les Tananariviens 24h sur 24 en cas de besoin, surtout en cette saison des pluies et des cyclones». Durant cette période, les sapeurs pompiers interviennent fréquemment en cas de glissement de terrain ou d’éboulement, d’effondrement des maisons d’habitation, de noyade lors des inondations et de la crue des rivières. Ils contribuent également à l’organisation d’un plan de secours (Orsec) avant la saison cyclonique afin d’amoindrir les risques d’aléas naturels.

La capitale dispose de 220 bouches d’incendie pour les six arrondissements et les casernes de Tsaralalàna, d’Anosivavaka et d’Andravoahangy. Les casernes d’Analamahitsy et d’Ambohipo sont en cours de construction.

Noro Niaina

Budget de la Commune urbaine d’Antananarivo : une hausse de 6 milliards d’ariary par rapport à l’année 2013

Écrit par Courrier   
Vendredi, 10 Janvier 2014 08:55
La fermeture officielle de la session ordinaire du Conseil municipal de la commune urbaine d’Antananarivo consacrée en particulier à l’étude du budget 2014 s’est déroulée mercredi dernier à l’Hémicycle de l’Hôtel de Ville (HDV), dirigée par le président du conseil municipal (PCM), Sahoby Ranaivoarimanga, en présence du vice-président de la délégation spéciale de la ville d’Antananarivo (CUA), Olga Rasamimanana avec son staff, et des membres du Conseil Municipal (CM).

Ce conseil a donc avalisé le budget 2014 de la commune urbaine d’Antananarivo d’un montant de plus de trente-trois milliards d’ariary (33 994 734 180 ariary) après la proposition et le changement de l’organigramme interne de la CUA. Une décision qui a été prise en 15 jours de réunion avec les membres du conseil municipal. Selon le directeur des affaires financières (DAF-CUA), Mamy Rasoanaivo, « Ce budget 2014 a connu une hausse de 6 milliards d’ariary par rapport à celui de l’année 2013 ».
A cet effet, 6 milliards 300 millions d’ariary seront destinés à l’investissement, 14 milliards d’ariary pour le fonctionnement et 14 milliards d’ariary réservés au solde. Les investissements 2014 concernent des travaux de réhabilitation et de réparation des casernes des sapeurs-pompiers, des écoles primaires publiques de la capitale, la réparation des routes et des bâtiments administratifs de la CUA ainsi que les éclairages publics. Pour la gestion des ordures dans la capitale, Mamy Rasoanaivo a souligné que la CUA fera plus d’efforts cette année grâce à ce budget afin d’éviter le problème de ramassage des ordures, surtout en période de pluie.

Dimisoa

Mission de sauvetage dans la capitale : les 187 sapeurs-pompiers sont toujours prêts

Écrit par Courrier   
Vendredi, 10 Janvier 2014 08:53
Toujours prêts pour servir l’intérêt de la population tananarivienne, les sapeurs-pompiers travaillent jour et nuit, surtout en cette période de pluie où de nombreux dangers menacent. Les matériels et le personnel de permanence sont suffisants pour couvrir la ville d’Antananarivo, selon les explications du chef de corps des sapeurs-pompiers, Augustin Rakotoniaina. Le seul problème, c’est qu’ils ne sont pas avertis à temps, notamment en cas d’incendie.
Actuellement, il y a 187 sapeurs-pompiers en exercice dans la capitale. Certes, cet effectif ne suit pas la norme internationale mais il peut très bien assurer les opérations de sauvetage, a expliqué le chef de corps des sapeurs-pompiers.
Les sapeurs-pompiers de Tsaralalàna peuvent être joignables au numéro 118 à toute heure. Ainsi, en cas de besoin, ces derniers devraient être mis au courant le plus tôt possible. En effet, en cette période, les accidents les plus fréquents sont les incendies, les éboulements de terrain ou les écroulements de maison.
Selon les explications du chef de corps des sapeurs-pompiers, durant l’été, les incendies des maisons, notamment celle qui ne sont pas construites suivant les normes, sont de plus en plus fréquents. Par ailleurs, c’est durant cette période également que les noyades se multiplient et nécessitent ainsi l’intervention des pompiers.

Le nombre des casernes renforcé


Toujours d’après ce responsable, il existe 220 bouches d’incendie pour les six arrondissements d’Antananarivo Renivohitra. Par ailleurs, la mise en place de casernes de pompiers dans les arrondissements se poursuit. En effet, à part celle de Tsaralàlana pour le premier Arrondissement, celle d’Anosivavaka pour le 6e Arrondissement et celle d’Andravoahangy pour le 3e Arrondissement, celles d’Analamahitsy et d’Ambohipotsy sont en cours de construction, respectivement pour le 5e et le 2e Arrondissement suivant le budget 2014 de la CUA.
Afin de renforcer encore plus les connaissances de ces sapeurs-pompiers, 17 d’entre eux ont suivi durant six mois une formation sur l’environnement au niveau du centre culturel et éducatif à l’environnement. A noter que ce centre est sous la tutelle de la direction régionale de l’éducation nationale (Dren) Analamanga. Il s’agit de la première promotion dénommée « Loharano ». Leur sortie de promotion a été effectuée hier à l’hôtel de ville, à Analakely.

Dimisoa

Bonne gouvernance à Madagascar : les obstacles dénoncés dans un livre sorti récemment

Écrit par Courrier   
Vendredi, 10 Janvier 2014 08:42
Emmanuel Jovelin, Maître de conférence à l'Université de Lille, et Lala Rarivomanantsoa, Professeur à l'université d'Antananarivo, dans le livre qu’ils ont écrit en commun et intitulé « Opinion publique et bonne gouvernance à Madagascar », a délivré leurs analyses de la situation politique dans la Grande île, dont sur le rapport entre gouvernés et gouvernants.
Les deux spécialistes ont relevé que les obstacles pour l’accomplissement de la bonne gouvernance à Madagascar sont de trois ordres, le premier d’ordre politique et institutionnel, le second, d’ordre financier et organisationnel, et le dernier, d’ordre culturel et comportemental.
Ainsi, d’après ce livre, sur le plan politique et institutionnel, les obstacles sont nés de la lutte entre politiciens et partis politiques, de la politisation de l’administration, la confusion des pouvoirs (exécutif, judiciaire et législatif), sans oublier le népotisme, l’autoritarisme politique, la discrimination d’ordre politique apparentée au tribalisme ou au régionalisme.

Laisser-aller, lenteur…


A cela s’ajoutent le laisser-aller, le manque de discipline et de rigueur, la faiblesse des moyens (technique, financier, salaire), sans oublier le manque de suivi des travaux de développement ainsi que l’absentéisme, la paresse et l’incompétence, la lenteur en tout genre dans la vie publique et enfin la bureaucratie excessive dans le domaine financier et organisationnel.
Si les situations évoquées ci-dessus sont connues depuis fort longtemps sans que personne n’ose bouger le petit doigt pour y remédier, les obstacles d’ordre culturel et comportemental  suscitent la curiosité étant donné qu’on en parle moins.
Ce domaine concerne le non-respect de la parole donnée, une logique peu compatible avec la bonne gouvernance, la faible maîtrise des langues de communication autres que la langue nationale, sans parler de l’autoritarisme, l’individualisme, le clanisme ou encore la confusion entre la tradition, la religion chrétienne ou autres religions, l’occidentalisation et le progrès entre autres.

Naisa

Philippe Rateloson : « Le grand nettoyage avance à grand pas »

Écrit par Les nouvelles   
Jeudi, 09 Janvier 2014 10:11
Les travaux de nettoyage des canaux d’évacuation confiés à l’Autorité pour la protection des inondations de la plaine d’Antananarivo (Apipa) sont sur la bonne voie. Les détails avec son directeur général, Philippe Rateloson.
* Les Nouvelles : Pouvez-vous nous fournir des explications sur les tenants et aboutissants du nettoyage ?

- Philippe Rateloson : Le nettoyage consiste à enlever les jacinthes d’eau dont les travaux ont été répartis sur quatre lots, à savoir le canal d’Andriantany et sa branche C3, le canal d’irrigation du génie rural GR ainsi que le bassin stabilisateur ou de retenue. Concernant ce dernier, il s’étale sur une superficie totale de 105 hectares et constitué du marais Masay, du lac Anosy, et deux autres à Andrefan’Ambohijanahary. Ce sont des travaux d’urgence qui ont débuté le 12 décembre dernier et emploient près de 1.000 ouvriers de chantier en système de haute intensité de main d’œuvre et qui sont recrutés par quatre entreprises. Ils reçoivent des rémunérations de la part des entreprises jusqu’à l’achèvement des travaux d’ici trois mois.

* Comment se déroulent les travaux de nettoyage ?
- Les travaux de nettoyage sont réalisés grâce au financement de l’Union européenne s’élevant à 1,8 milliard d’ariary sans oublier la contribution de l’Etat. Actuellement, l’on procède seulement à l’enlèvement des jacinthes d’eau dans ces quatre canaux d’évacuation de 12 km, allant d’Antohomadinika jusqu’à Ambodivonkely. Cette semaine, le nettoyage concerne le canal du côté du Cenam aux 67ha. Une quinzaine de camions sont prévus pour transporter les jacinthes d’eau à la décharge d’Andralanitra mais seule la moitié est mobilisée à cause de l’état délabré des routes menant vers le site où les voies d’accès sont impraticables.
* Pourquoi l’Apipa a mis du retard à se lancer dans ces grands travaux ?
- En fait, l’Apipa ne dispose que d’environ 6 milliards d’ariary de budget annuel lesquels semblent insuffisants pour se concentrer à sa mission qui est d’assurer la maintenance des infrastructures d’évacuation touchant 35 communes d’Antananarivo bordant les rivières Mamba, Sisaony et Ikopa afin d’éviter la rupture de la digue de protection. Tout cela, sans oublier les autres charges administratives et le budget de fonctionnement de l’Apipa. Mais ces deux dernières années, les tâches de l’Apipa ont été très lourdes vu les dégâts considérables occasionnés par le passage des cyclones et les inondations. Et les déchets s’accumulent d’année en année dont les jacinthes d’eau qui ont été emportés par les eaux venant de l’amont et déversées en aval durant la saison des pluies.
* Ensuite, que va-t-il se passer après l’enlèvement des jacinthes d’eau ?
- L’Apipa procèdera au curage à fond des canaux d’évacuation bouchés durant huit ans. Cette fois-ci, les travaux, s’étalant sur six mois, consistent à enlever les boues et les déchets, nécessitant la mobilisation des gros engins mécaniques. Je tiens à vous préciser que le curage se fait tous les huit ans et les travaux s’avèrent difficiles. L’objectif de tous ces travaux est non seulement d’offrir un environnement viable aux populations d’Antananarivo mais aussi de les protéger des risques d’inondations.
* Un mot à dire sur la montée des eaux ?
- Pour le moment, la montée des eaux n’a rien d’alarmante. L’Apipa tient à rassurer que les dispositifs de protection sont renforcés et les infrastructures nécessaires sont prêtes aux éventuelles interventions.
Propos recueillis par Noro Niaina

Antananarivo Renivohitra : les nids de poule se multiplient

Écrit par Courrier   
Jeudi, 09 Janvier 2014 09:20
Depuis un certain temps, la dégradation des routes de la capitale a été constatée. En effet, les nids de poule se sont multipliés au détriment des usagers de la route comme les transporteurs publics et les particuliers qui possèdent des véhicules. En effet, le mauvais état des routes empire les embouteillages déjà insupportables dans la capitale. La pluie de ces derniers jours a empiré la situation et a aggravé la détérioration.
Normalement, c’est à la commune urbaine d’Antananarivo de s’occuper de leur remise en état mais il semblerait que cette dernière, et depuis un certain temps, a un problème financier. En effet, 50 % du budget de la commune urbaine d’Antananarivo sont affectés au ramassage des ordures qui constitue sa priorité de la commune actuellement, selon les informations reçues.
Toutefois, certaines rues sont actuellement en cours de réparation. Il en est ainsi des travaux de réarrangement des pavées effectué à Ambatonakanga, de Faravohitra et d’Antsahavola. Le rétablissement des routes d’Andraisoro, d’Ambohitrakely ou encore d’Analamahitsy.
Par ailleurs, le fonds d’entretien routier ou Fer devrait également contribuer dans la réhabilitation de ces routes de la capitale.
Quoi qu’il en soit, les responsables doivent prendre l’initiative de les réparer avant que les dégâts ne s’aggravent et que les routes deviennent impraticables.

Dimisoa

Anosipatrana : la décharge d’ordures sera bientôt un mauvais souvenir

Écrit par Courrier   
Jeudi, 09 Janvier 2014 09:17
Suite à l’abondance des pluies dans la capitale, les camions transportant les ordures vers la décharge d’Andralanitra ne pouvaient y accéder à cause de la route devenue glissante. C’est pour cette raison que la commune avait décidé de stocker temporairement ces déchets à Anosipatrana. Selon les informations reçues auprès de la commune, la situation est en train d’être régularisée car Andralanitra est de nouveau accessible.
Ce n’est pas la première fois que la commune a eu recours à cette organisation. Pourtant, ces derniers jours, les habitants d’Anosipatrana se sont plaint des mauvaises odeurs provoquées par ces ordures. Selon leurs explications, six habitants sur 10 des environs de cette décharge ont dû consulter un médecin à cause de maladies qu’ils ont attrapées, notamment des affections respiratoires. Ce sont les enfants et les personnes âgées qui en sont les plus affectés. Ces habitants ont ainsi suggéré que la commune trouve un autre endroit à l’avenir.

Désinfectée et recouverte de terre
Pour sa part, la commune d’expliquer par l’intermédiaire de son directeur de la communication, Jean Luc Rahaga, que les habitants n’ont rien à craindre d’une éventuelle propagation d’une quelconque épidémie puisque le service en charge de la santé publique au sein de la commune urbaine d’Antananarivo va désinfecter les lieux où ont été stockées les ordures. De plus, l’endroit va être recouvert de terre bientôt pour que les habitants ne soient plus exposés au risque d’une quelconque maladie.
Par ailleurs, on a remarqué depuis quelques jours que les bacs à ordures de la capitale ne débordent plus. La situation s’est ainsi améliorée et les mauvaises odeurs dans chaque coin de rue de la capitale avant les fêtes ne sont plus constatées. Toutefois, des efforts doivent encore être effectués, d’une part, par les habitants qui doivent respecter les heures de dépôts pour éviter le débordement et, d’autre part, par la commune qui doit s’organiser pour une meilleure collecte des ordures.

Dimisoa

Antananarivo : 6.000m² de nids de poule à réparer

Écrit par Les nouvelles   
Mercredi, 08 Janvier 2014 09:33
Les nids de poule qui se créent dans tous les quatre coins de la capitale notamment dans les quartiers populeux et défavorisés font souffrir les usagers de la circulation depuis le début de la saison des pluies au mois de novembre. Ils sont aussi parmi les premières causes des embouteillages dans le centre-ville car ces trous favorisent aussi les inondations des rues dans certains quartiers quand la pluie tombe à verse.

Les informations fournies par le premier responsable de la communication au sein de la commune urbaine d’Antananarivo ont permis de savoir que 6.000 m² de nids de poule ont été identifiés dans la capitale. En ce mauvais temps accompagné de pluies incessantes, la réparation des trous demeurerait inutile, voire inefficace. Il s’avère indispensable d’attendre la cessation des pluies pour réparer les dégâts à travers le système de pointe à temps. Les grands travaux de réhabilitation se feront seulement à partir de la saison sèche, a communiqué le service de la communication de la CUA.

Quant au curage des canaux d’évacuation qui a vu la participation d’une centaine de jeunes volontaires, en collaboration avec l’équipe de la CUA et le Service autonome pour la maintenance de la ville d’Antananarivo (Samva), les travaux d’assainissement sont en cours. Avec l’appui financier du Pnud d’un montant de 1,2 milliard d’ariary, les travaux de curage s’étaleront sur cinq mois sous la supervision de l’ONG Làlana. Pour sa part, l’Autorité pour la protection des inondations de la plaine d’Antananarivo (Apipa) se chargera du curage du canal d’Andriantany. Les travaux consistent à enlever les jacinthes d’eaux selon le système haute intensité de main d’œuvre (Himo).

Noro Niaina

Montée des eaux : les bas quartiers toujours victimes

Écrit par Courrier   
Mercredi, 08 Janvier 2014 08:54
Actuellement, nous sommes en pleine période de pluie à Madagascar. C’est durant cette période également que les habitants des bas quartiers se plaignent de leur situation car ils subissent la montée des eaux et les mauvaises odeurs dégagées par les eaux usées. Le Samva (Service Autonome de Maintenance de la Ville d'Antananarivo) et l’Apipa (Autorité pour la Protection contre les Inondations de la Plaine d'Antananarivo) sont actuellement en train d’œuvrer pour que ces quartiers ne soient plus obligés de vivre avec ces désagréments.
En effet, le travail de l’Apipa consiste plus concrètement à nettoyer et à curer les 80 km que constituent les canaux de drainage se déversant dans le canal d’Andriantany, dont 115 ha de bassin tampon. Par la suite, il s’agit pour elle d’évacuer les déchets extraits de ces canaux vers la décharge d’Andralanitra. Néanmoins, ces derniers jours, ces déchets sont amassés sur les rives de ces canaux, provoquant le mécontentement des riverains.
Selon l’Apipa, les camions qui doivent les transporter ne peuvent pas accéder à la décharge d’Andralanitra actuellement à cause du mauvais temps qui rend glissante la route qui y mène.
A noter que l’Apipa travaille actuellement avec quatre sociétés qui emploient une main-d’œuvre de 1 000 personnes pour effectuer l’assainissement des canaux, et le curage en profondeur de ces derniers va débuter prochainement.

Les stations de pompage opérationnelles

Par ailleurs, les équipements mécaniques et électriques de cinq stations de pompage ont été déjà réparés et sont actuellement prêts pour une éventuelle inondation dans la ville d’Antananarivo, selon les explications du directeur général de cette institution, Philippe Ratelison.
Rappelons que cette institution a récemment obtenu de l’Union Européenne un financement à hauteur de 1 828 346 425 Ariary, soit environ 602 462 euros, pour effectuer la maintenance des infrastructures du système de drainage de la ville. Le Samva, quant à lui, s’est vu octroyer la somme de 1 202 041 532 ariary, soit 396 087 euros, pour le curage des bassins de collecte des eaux pluviales et des eaux usées des bas quartiers.  En effet, le Samva va assurer l’hygiène dans ces fokontany avant, durant et après la saison des pluies. Espérons que l’utilisation de ces moyens financiers va grandement contribuer à améliorer la condition de vie des habitants des bas quartiers, notamment durant cette saison de pluie.

Dimisoa

Fiatrehana ny fiakaran’ny rano : diovina ny lakandrano

Écrit par Taratra   
Mercredi, 08 Janvier 2014 08:01
Efa miroso amin’ny fanadiovana ny lakandranon’Andriantany ny mpiasan’ny Apipa, amin’izao fotoana izao, araka ny fanazavan’ny mpitantana voalohany, Rateloson Philippe. Nohamafisiny fa vonona avokoa ny fotodrafitrasa hiatrehana ny fotoam-pahavatra fiakaran’ny renirano : paompy ao Ambodimita, lakandrano mitondra ny fivarinan’ny rano amin’ireo renirano telo.
Miara-miasa ny kaominina Antananarivo Renivohitra, Samva ary ny Apipa amin’ny fikojakojana ny lakandrano, am-perinasa ireo mpilatsaka an-tsitrapo 100 mahery manadio ny lakandrano madinika ao anatin’ny telo volana. Fanohanana avy amin’ny Pnud ny tetikasa ary manara-maso ny fizotry ny asa ny ONG Lalana. 
Mahakasika ny lalana kosa, mbola miandry ny fitsaharan’ny orana vao hiroso amin’ny fanampenana ny lavaka mitotaly 6 000 m toradroa eto amin’ireo lalana mamakivaky ny Renivohitra ny tomponandraikitra.

Vonona amin’ny fiatrehana ny voina ny BNGRC


Rafitra iray manana ny anjara andraikitra lehibe koa ny BNGRC rehefa fotoana firotsahan’ny orana tahaka izao. Nanamarika ny mpandrindra nasionaly fa vonona izy ireo, miandry ny fiavian’ny rivodoza na loza voajanahary hafa. Misy ny drafitrasa napetraka hiatrehana ny loza ary voafaritra ao avokoa ny anjara asan’ny mpiantsehatra rehetra. Manana sarintany mirakitra ny toerana samihafa ahitana fitaovana na sakafo fiandry ny BNGRC ahafahana mihetsika haingana rehefa tonga ny voina.

Vonjy






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