Écrit par Courrier |
Samedi, 18 Janvier 2014 08:35 |
Les
ordures surtout en cette saison de pluie sont devenues un problème
majeur pour la capitale.
En effet, la commune urbaine d’Antananarivo (CUA) ne dispose pas d’assez
de moyens, aussi bien technique que financier, pour accélérer les
travaux de ramassage. Water aid opte ainsi pour le système de triage des
ordures comme solution. Un système déjà connu et mis en œuvre par la
Commune urbaine de Vakinankaratra, financé par un bailleur étranger dans
la ville d’Antsirabe, mais qui n’a pas abouti.
Selon le coordonnateur national de Water aid, Lovy Rasolofomanana, le projet a été voué à l’échec parce que ni les opérateurs ni les foyers n’ont pas senti concrètement les avantages qu’il a apportés. Par ailleurs, il faut établir des structures permettant de mieux gérer les ordures. Faire du triage prend du temps donc il est important de renforcer la sensibilisation surtout au niveau des foyers pour mieux convaincre ces derniers. Bemasoandro et Morondava ville pilote Water aid a choisi Morondava comme ville pilote et a commencé le système de triage dans la commune de Bemasoandro. Il n’était effectivement pas facile de changer le comportement de la population car il a fallu plus d’argument pour lui faire part des avantages et du travail que le projet peut procurer. Néanmoins, les foyers se sont laissés tenter et, selon le coordonnateur, le projet est en bonne marche. Water aid projette de l’étendre dans toute l’île selon leur moyen. « Le triage des ordures consiste à distinguer les produits dégradables à ceux non dégradables. Les foyers devront en effet disposer de bacs intermédiaires et les bacs communaux devront aussi opter le même système. Il suffit de les ramasser et de les transporter dans les lieux de décharge. Mais pour ce qui est du projet de Water aid, nous sommes encore dans la phase où les ménages commencent à s’habituer à trier leurs ordures et à faire en sorte que les bacs communaux en soient appropriés », explique-t-il. Compostage et traitement Le système de triage permet effectivement de mettre en œuvre un projet de compostage et de traitement des ordures. Les ordures peuvent être également traitées pour en tirer du biogaz. Le système de bio digesteur, notamment pour le compostage non dégradable, est déjà exploité à Antananarivo. Pour Water aid, le projet de compostage est en cours d’étude et pourrait être mis en exécution bientôt. La quantité des ordures de la capitale est estimée à plus de 750 tonnes par jour et peut s’élever à plus de 1 000 tonnes pendant la saison des pluies. Une quantité assez importante et dont le travail de ramassage coûte une fortune. Le système de triage peut être envisagé et adopter dans la capitale. Si on peut tirer profit des ordures, pourquoi ne pas les exploiter ?
Dimisoa
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Écrit par Reflet |
Vendredi, 17 Janvier 2014 11:02 |
Autour
de la litanie sur les éternelles ordures ménagères qui débordent des
bacs, quelques semaines voire quelques jours seulement après
l’initiative de la commune urbaine de ratisser large,
avec l’appui de l’Union européenne, la peste guette. C’est que
l’insalubrité revient de plus belle dans plusieurs quartiers de la ville
sinon partout dans la capitale après les fêtes de fin d’année. Autre
coïncidence, la saison des pluies est propice à la survenance de la
peste dont la menace est maximale dans plusieurs régions du pays. La
capitale semble avoir été épargnée mais difficile de se prononcer sur
une véritable immunité de la Ville des Mille. En effet, l’insalubrité
constitue l’un des meilleurs moyens de propagation de la maladie. Les
habitants d’Antananarivo ont récemment lancé un message d’alerte
concernant le dépotoir à ciel ouvert du côté d’Anosipatrana, favorisant
un climat durement viable. Pire, un autre virus a priori porteur de la
diarrhée est détecté par les médecins, justement à cause des odeurs
nauséabondes dégagées par les montagnes d’ordures. Selon le bilan
officiel émanant de l’Institut Pasteur, 75 personnes sont officiellement
recensées comme atteintes de la maladie sur les 319 cas répertoriés.
Chaque année, la saison des pluies apporte son lot de cas de peste,
situation renforcée par la période de crise qui a accru la vulnérabilité
des populations. Pour tout dire, ce sont les opérations de
sensibilisation du ministère de la Santé publique qui manquent pour
endiguer sinon éradiquer jusqu’à la racine la maladie.
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Écrit par Reflet | ||||
Vendredi, 17 Janvier 2014 10:58 | ||||
Embellissement de la ville : des drôles d’initiatives
Des nids de poules, quasiment partout dans la capitale. Et pourtant, à la surprise générale, le projet d’embellissement de la ville, récemment mis en œuvre par la Commune urbaine d’Antananarivo, ne porte pas sur les travaux de réhabilitation des rues qui posent problème à la circulation et aux automobilistes. Qui dit embellissement dit verdure ou encore jardin sans prendre en compte les difficultés que peuvent engendrer de tels « chantiers » pour l’ensemble des usagers de la voie publique. Faute d’avoir suscité un tollé général de la part des riverains, le creusage de trous à même la chaussée pratiqué sur l’axe routier à Ambatomitsangana, lesquels semble-t-il sont destinés à la plantation d’arbres, se poursuit. Cette voie est pourtant déjà exiguë, l’intensité des embouteillages a doublé voire triplé depuis le début de la mise en œuvre du projet. Quid alors des voitures en stationnement et même des riverains de la place ? Les autorités compétentes ont décidé la suspension du projet le temps que les polémiques cessent et dans l’optique de réétudier les travaux d’embellissements à faire. Plusieurs questions ont parallèlement été soulevées concernant notamment les dessous de tels projets en ce début d’année. En effet, la saison des pluies a favorisé la dégradation de plusieurs axes routiers. Mais ceux-ci, malgré leur utilité pour la vie quotidienne, semblent invisibles pour les décideurs, devant le financement injecté dans le projet d’embellissement de l’axe Ambatomitsangana. Les projets d’extension des voies prévus sur l’axe Ankorondrano-Ivandry paraissent, pour leur part, essentiels ne serait-ce que la perspective d’ouverture des voies pour aérer la circulation. Mais un autre son de cloche vient équilibrer les discussions sur le projet. L’initiative entrerait dans la perspective d’un assainissement du parc automobile de la capitale. Caméras Par ailleurs, depuis 2012, un autre projet est en cours d’études pour la capitale : l’installation de caméras de surveillance dans les rues d’Antananarivo. Perspectives annoncées par la police urbaine et la Commune, ces nouveaux aménagements ont pour un temps fait partie de la démarche pour atteindre l’objectif « zéro embouteillage ». Scrutations des véhicules irrespectueux du code de la route et des poids-lourds en circulation en pleine journée pour désengorger les rues mais également balise à toute initiative de manifestations, d’autres questions sont venues se greffer à l’initiative lors de sa relance en début de cette année. Les feux tricolores sont en piteux état et ne fonctionnent plus depuis plusieurs années. Figurant parmi les premières installations électroniques de la capitale, leur destruction suscitent des interrogations sur l’avenir réservé auxdites caméras de surveillance mais encore et surtout sur l’intérêt de ne pas les réactiver pour une meilleure organisation de la circulation urbaine. |
Écrit par Courrier |
Vendredi, 17 Janvier 2014 09:51 |
Natsahatra
vonjimaika ny fanohizana ny asa nifanandrify tamin’ny fanatanterahana
ny tetikasa fanatsarana ny fifamoivoizana an-tanan-dehibe (Pamu),
nataon’ny kaominina Antananarivo-Renivohitra teny Ankadifotsy, tao
amin’ny boriborintany fahatelo.
Vokatry ny fihainoana ny hevitry ny mponina manodidina sy ny mpampiasa làlana amin’ny ankapobeny no nandraisana ny fanapahan-kevitra, araka ny fanazavana nentin’ny talen’ny serasera eo anivon’ny kaominina Antananarivo-Renivohitra, Rahaga Jean-Luc, omaly. Tsy hajanona anefa, hoy izy, ny fanatanterahana ny tetikasa fa hasiana fandinihana kosa ny drafitra hitondrana azy, hanomezana fahafaham-po ny vahoaka.
Nisy kitoatoa ?
Nahavariana, hatrany am-piandohana, ity
tetikasa fanatsarana ny fifamoivoizana an-drenivohitra nokasaina teo
Ankadifotsy ity. Efa tery sy niteraka fitohanana lavareny foana io arabe
teo io, hatramin’izay, nefa saika ho volena hazo indray teo amin’ny
sisiny. Tsy hanatsara ny fifamoivoizana mihitsy, hoy ny mpampiasa
làlana, ny fanerena azy amin’ny fambolena hazo any anaty làlam-be fa
angamba tsy nisy fanadihadiana natao mialoha izao tetikasa izao. “Manaiky ny fanatsarana izahay saingy mitaky ny hanaovana azy araka ny fenitra tokony ho izy”, hoy ireo nitaraina ny fanaovana io fanovana teo Ankadifotsy io.
Tsy hahatafaverina amin’ny laoniny ny fanapotehana efa natao tamin’ny fotodrafitrasa teo an-toerana ny fampiatoana ny asa, hoy ny manodidina, izay mahatsiaro fahavoazana amin’izao hevitra an-taingina itantanana ny tanànan’Antananarivo-Renivohitra izao. Ny zotram-pitateram-bahoaka 160 sy 166, mampitohy an’Antanimena amin’Ankatso no voakasiky ny tetikasa izay iaraha-miasa amin’ny Région Ile-de-France io.
Manou
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Écrit par Les nouvelles |
Jeudi, 16 Janvier 2014 09:18 |
Les prévisions du service de la
météorologie sont toujours maintenues. Le temps pluvieux couvre
actuellement la Grande île à cause de l’influence de la masse nuageuse
dense qui s’est formée dans le canal de Mozambique depuis quelques
jours.
Le mauvais temps accompagné de fortes pluies persiste non seulement
entre Antsiranana et Besalampy mais s’étend aussi dans les régions de
Menabe et Analamanga causant des dégâts sur l’agriculture et les
infrastructures routières, sans oublier les inondations.
Dans la capitale et ses environs, les pluies abondantes ont causé des inondations dans les bas quartiers comme à Besarety, Isotry et Andavamamba. Les nids de poule refont également surface et font souffrir les usagers de la circulation malgré les efforts déployés par la commune urbaine d’Antananarivo dans la réhabilitation des routes. Dans les périphéries, les champs de culture et de rizière sont inondés. Les crues des rivières sont à craindre dans les prochains jours si les pluies persistent. Dans la région Menabe, deux écoles ont été endommagées dans la ville de Morondava et les cours ont été suspendus. Il s’agit de l’école privée Le Diablotin où le bureau et une salle de classe nécessite une réhabilitation d’urgence. Vient ensuite le lycée Immaculée Conception où le mur de l’école s’est effondré. Les responsables font appel aux généreux donateurs d’apporter leur aide pour qu’ils puissent reprendre les activités pédagogiques. A Ambatoboeny, le fleuve de Betsiboka risque de sortir de son lit pour provoquer des inondations. Les routes sont en état de délabrement et le district s’isole car l’accès au district s’avère difficile. Et enfin dans la région Sofia, la vigilance est de mise à cause des pluies incessantes. Les populations des bas quartiers doivent quitter les lieux car la montée des eaux est à craindre. Actuellement, les amas nuageux associés à la perturbation s’étendent sur le nord-ouest de Madagascar. Par conséquent, l’avis de menace ou d’alerte jaune lancé dans les régions de Boeny et Melaky ainsi que dans le district de Kandreho sont maintenus.
Noro Niaina
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Écrit par Taratra |
Jeudi, 16 Janvier 2014 07:31 |
Kaominina
maromaro no hametrahana andrin-jiro mandeha amin’ny herin’ny masoandro
vokatry ny fiaraha-miasa fanjakana malagasy sy sinoa.
Tetikasa novolavolaina ny taona 2013, ho fanampiana ny Malagasy, hoy ry
zareo Sinoa.
Nisy fifanarahana teo amin’ny minisiteran’ny Angovo sy ny fanjakana sinoa ny fiandohan’ny taona 2013, ny amin’izay toerana tokony hametrahana jiro mandeha amin’ny herin’ny masoandro. Nohamafisina tamin’ny fivoriana natao ny volana novambra 2013 izany ary izao notanterahina izao. Nisy fanadihadiana mialoha nataon’ireo teknisianina sinoa amin’izay toerana tokony hametrahana izany andrin-jiro izany, ka eto Antananarivo renivohitra miisa 160, eo Andohatapenaka hatreo Anosizato tetezana. Nandray anjara tamin’izany fivoriana izany koa ny kaominina Antananarivo amin’ny maha tompon’andraikitra azy eto an-drenivohitra.
Tompon’andraikitra ny olom-pirenena rehetra
Mbola misy koa toeran-kafa hametrahana
izany : Ampitatafika–Fenoarivo ; Toamasina ; Mahanoro ; Vatomandry. 600
ny fitambaran’ireo andrin-jiro ireo. Ny eto Antananarivo, vita tanteraka
tamin’ny 14 janoary teo ny fametrahana azy, niarahan’ireo teknisianina
sinoa sy malagasy. Tompon’andraikitra voalohany ny olom-pirenena
tsirairay amin’ny fitandroana ny fitaovana toy ireny. Firifiry ny
halatra tariby an’ny Jirama, fanimbana lakandrano, sns … Isika ihany
no mandrora mitsilany amin’ny tranga toy ireny.
Tsy azo atao amin’ny toerana efa misy Jirama Nahoana tsy eny amin’ny fokontany maro eto an-drenivohitra no nomena fahazavana vaovao ireo ? Misy lalàna mifehy ny famatsian-jiro. « Araka ny lalàna manan-kery, tsy azo atao ny mametraka famatsian-jiro vaovao eny amin’ny toerana efa misy ny Jirama. Varotra ny an’ny Jirama ka tsy azo atao, raha mbola ny lalàna manan-kery, ny miditra amin’ny toerana efa misy azy. Raha ny tokony ho izy, na ny fampiasana ireny milina mamatsy herinaratra ireny, mbola mila fahazoan-dalana avy amin’ny Jirama », hoy ny tale teknika misahana ny fotodrafitrasa kaominina Antananarivo renivohitra, Zo Andriantsilavo.
R.Mathieu
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Écrit par Taratra |
Jeudi, 16 Janvier 2014 07:27 |
« Sarotra ary tsy vita mora ny fanarenana ny lalana simba eto Antananarivo sy ireo fotodrafitrasa hafa »,
hoy ny tale teknika misahana ny
fotodrafitrasa, Zo Andriantsilavo. Ny lalana, efa antitra loatra,
mitombo ny fiarakodia, mahazo vahana ny tsy fanarahan-dalana... Na izany
aza, miasa mandavantaona ny kaominina araka izay fitaovana eo
am-pelatanany. Hita anefa fa ny ankamaroan’ireo fitaovana ireo toy ny
fiara vaventy, efa betsaka ny simba sy antitra, tsy maharaka izay tokony
hatao intsony.
Olana fototra amin’izany rehetra izany ny vola. « Nanomboka ny taona 2010, efa tsy nahazo fanampiana avy any amin’ny fanjakana foibe intsony ny kaominina Antananarivo Renivohitra sy ireo tanàn-dehibe maro. Ny asa anefa, tsy maintsy atao. Koa amin’izao fotoana izao, boriborintany enina, samy misy asa fanamboran-dalana avokoa », hoy Zo Andriantsilavo. Tapaka tamin’ny fivoriana farany fa 22 % hatramin’ny 30 % ny tetibola atokana ho fanarenana ny fotodrafitrasa ho an’ny taona 2014. Efa misy laminasa apetraka mialoha amin’ireny, toy ny fanamboarana eo Ambanidia, vao haingana. Mandeha koa ny fanamboarana eo Antanimena, Analakely, sns. Manao ireo asa ireo ny Colas fa eo koa ny fifanarahana nataon’ny minisiteran’ny Asa vaventy tamin’ireo orinasa nahazo tolotrasa avy amin’ny Fer (Fonds d’entretien routier). Mbola misy tamin’ireo orinasa ireo, tsy nahavita ny asany tamin’ny taona 2012. Tsy fifanarahana tsotra akory no ahazoana ireny fa niainga avy amin’ny tolotrasa avy amin’ny kaominina sy ny Asa vaventy.
Misy hetra avy amin’ny mponina
Efa misy vola avy amin’ny
fandraisan’anjaran’ny mponina amin’ny alalan’ny hetra sy haba mankany
amin’ny Jirama. Ny fanampiana avy any ivelany, toy ny nataon’ny Vondrona
eoropeanina amin’ny fanadiovana ny lakandrano, ny faritra Analamanga
nanampy amin’ny fanalàna ny fako. « Mbola izao ny zava-misy eto
Antananarivo, sahirana ny mponina, koa raha tsy miasa indray andro monja
eto amin’ny kaominina, inona ny zava-mitranga ? », hoy ny tale
teknika. Koa samy tompon’andraikitra ny rehetra, na ny fiara hoentin’ny
tsirairay misy asa andraikitr’izay mitondra azy raha simba ny lalana ka
izay no miteraka fitohanan’ny fifamoizvoizana.
R.Mathieu
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Écrit par Les nouvelles |
Mercredi, 15 Janvier 2014 09:08 |
Vente des stocks de bois de rose – L’appel d’offres international sortira d’ici trois mois
L’appel d'offres international en vue de la vente des stocks de bois de rose saisis par l’État sortira durant les trois premiers mois de cette année, selon le ministère de l'Environnement. A noter que le déclenchement du processus de vente dépend de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (Cites), qui doit définir le quota autorisé.
Analamahitsy – Transfert de l’arrêt de bus
L’arrêt de bus d'Analamahitsy a été déplacé à 30 m après le grand portail du marché afin de permettre une meilleure fluidité de la circulation de ce côté de la ville. Ankadifotsy – Suspension du chantier de plantation d’arbres Le projet de plantation d'arbres à Ankadifotsy pourrait tomber à l'eau ont affirmé des responsables au niveau de la commune urbaine d'Antananarivo (CUA). Depuis le début des travaux, les usagers se plaignent que ces arbres prennent encore plus de place que les voitures qui y stationnent en permanence.
Commune urbaine de Nosy Be – Le poste du PDS reste vacant
Le poste du président de la délégation spéciale dans la commune urbaine de Nosy Be reste inoccupé jusqu'à ce jour. En effet, l'ancien PDS, Tatiano Rakotomanga, a démissionné de son poste pour se présenter aux élections législatives du 20 décembre dernier. |
Écrit par Courrier |
Mercredi, 15 Janvier 2014 08:02 |
Les
policiers de la capitale, municipaux ou nationaux, confisquent chaque
jour au moins 30 papiers de voiture à cause du non-respect des usagers
du code de la route.
Avant la fin de l’année 2013, le bureau de régisseurs au sein de la
commune urbaine d’Antananarivo a reçu plus de 300 papiers. Les
propriétaires de ces derniers ne sont pas manifestés pour les récupérer
qu’après que la commune ait lancé un appel à leur intention.
Actuellement, une centaine de papiers non récupérés sont toujours à
Mahamasina, lieu où se trouve ce bureau.
Ainsi, les propriétaires de ces papiers devront les récupérer, selon les explications du chef de corps de la police municipale, l’officier Harivelo Andrianavalona sinon les sanctions pourraient aller jusqu’à la mise en fourrière de leur voiture. En effet, ces derniers n’ont qu’à payer une amende forfaitaire auprès de ce régisseur, à Mahamasina, s’ils veulent avoir de nouveau les papiers de leur voiture. Les taxis et les taxibe en majorité Selon encore les explications, la majorité des papiers confisqués appartiennent à des taxis ou des taxibe. Dans la majeure partie des cas, ces derniers ont dû être retirés puisqu’ils n’ont pas respecté les arrêts de bus pour faire monter ou descendre un de leur passager. Certains se sont fait attraper puisque le receveur n’a pas fermé la portière. Pour les chauffeurs de taxi-ville et les particuliers, c’est souvent l’irrégularité de leurs papiers qui sont la cause du retrait de leurs papiers. A noter que normalement, les véhicules sans papier ne peuvent pas circuler et si le propriétaire s’entête toujours à le conduire et qu’il se fait attraper, son véhicule risque la fourrière. Un chauffeur doit toujours avoir avec lui son permis de conduire, la carte grise, l’attestation d’assurance, le papier attestant que la visite et la contre-visite a été déjà effectuée, ainsi que la patente et la licence s’il s’agit d’un taxibe ou d’un taxi-ville.
Dimisoa
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