lundi 16 décembre 2013

Semaine du 09 décembre // paru dans NewsMada


Prévention des inondations : l’Union européenne a injecté 3,3 milliards d’Ariary
Écrit par Les nouvelles   
Samedi, 14 Décembre 2013 09:25
Un ouf de soulagement pour la population tananarivienne. En fait, le partenariat conclu entre la commune urbaine d’Antananarivo et l’Union européenne lui permet de se mettre à l’abri des risques d’inondation, surtout celle demeurant dans les bas quartiers, durant cette saison des pluies. La situation est critique. « C’est pourquoi il est aussi urgent d’intervenir », a fait valoir hier l’ambassadeur de l’Union européenne à Madagascar, Leonidas Tezapsidis. Ce dernier a été présent à la cérémonie de signature officielle du contrat de subvention de la CUA, à l’hôtel de ville à Analakely. «Nous avons toujours priorisé l’appui relatif aux causes humanitaires et aux cas d’urgence, malgré les mesures restrictives d’octroi de financement durant le contexte de crise politique dans le pays », a-t-il souligné.

Cette subvention, qui s’élève à hauteur de 3,3 milliards d’Ariary, consiste à assurer les actions d’urgence de maintenance des infrastructures du système de drainage et de curage des canaux de la capitale. Mises en œuvre par le Service autonome de maintenance de la ville d’Antananarivo (Samva) et l’Autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d’Antananarivo (Apipa) pour une durée de 8 mois, ces actions d’urgence, qui commenceront la semaine prochaine, contribuent à réduire les risques d’inondation dans les bas quartiers.

Concrètement, il s’agit de nettoyer et de curer 80 km de canaux de drainage se déversant dans le canal Andriantany, dont 115 ha de bassins tampon. Les travaux comprennent également l’évacuation des déchets vers la décharge d’Andralanitra ainsi que la réparation des équipements mécaniques et électriques de 5 stations de pompage. 

L’objectif étant de renforcer l’hygiène dans le fokontany avant, pendant et après la saison de pluie. Parallèlement à ces travaux, effectués avec le système haute intensité de main d’œuvre (Himo), des actions d’information et de sensibilisation des riverains seront au programme. A ce propos, ils seront sensibilisés sur le respect des réseaux de drainage et aux actions d’assainissement. Des responsabilités qui incombent, dans le cadre de ce projet, à l’ONG Lalana, qui assurera également le contrôle technique des travaux.

Un problème pérenne qui se répète chaque année

L’inondation dans la ville d’Antananarivo ne date pas seulement d’aujourd’hui. Depuis des années, certains quartiers se trouvent submergés par les eaux de ruissellement après seulement quelques heures de pluie. Après le fort orage de lundi dernier, l’eau a envahi le rez-de-chaussée des maisons situées du coté d’Andravoahangy, de Besarety, d’Ambodivona, d’Ankazomanga, d’Andavamamba, d’Ambodin’Isotry…

« Le même problème se répète à chaque saison des pluies et pour y remédier, il faut penser à réhabiliter les réseaux d’assainissement existants et même d’en créer de nouveaux », a lancé le premier vice-PDS de la CUA, Olga Rasamison.

A ce sujet, elle a informé qu’une étude menée en collaboration avec le ministère de l’Eau est actuellement en cours pour dresser le bilan de l’état des voies et réseaux divers dans la capitale. Mais, faute de moyens financiers, une telle belle initiative a le même effet qu’un coup d’épée dans l’eau.
Fahranarison

Assainissement de la ville d’Antananarivo : 3, 3 milliards d’ariary de la part de l’union Européenne
Écrit par Courrier   
Samedi, 14 Décembre 2013 08:19
Pour réduire les risques d’inondation dans la ville d’Antananarivo, de l’Union européenne vient de débloquer la somme de 3 300 000 000 Ariary en faveur de la commune urbaine d’Antananarivo pour réaliser des actions d’urgence de maintenance des infrastructures et du système de drainage et de curage des canaux. Un contrat de subvention a été signé hier dans à l’hôtel de ville d’Analakely entre l’Union européenne et les trois entités qui vont se charger de la mise en œuvre de ce projet, dont l’autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d'Antananarivo (Apipa), le service autonome de maintenance de la ville d'Antananarivo (Samva) ainsi que l’ONG Lalana.
Durant huit mois, les 88 fokontany considérés comme étant les plus vulnérables des bas quartiers de la ville d’Antananarivo vont pouvoir bénéficier de ces travaux.
80 km de canaux à curer
Les travaux vont débuter la semaine prochaine. Ces derniers consistent plus concrètement à nettoyer et à curer 80 km des canaux de drainage se déversant dans le canal d’Andriantany, dont 115 ha de bassins tampons, ainsi qu’à évacuer les déchets vers la décharge d’Andralanitra. Par ailleurs, les équipements mécaniques et électriques de cinq stations de pompage vont également être réparés.
L’Apipa aura donc un financement à hauteur de 1 828 346 425 Ariary, soit environ 602 462 euros, pour effectuer la maintenance des infrastructures du système de drainage de la ville. Outre le curage des canaux comme le canal d’Andriantany, l’Apipa se chargera également du curage du lac Anosy et du marais Masay.
Pour le Samva, il a obtenu la somme de 1 202 041 532 ariary, soit 396 087 euros, pour le curage des bassins de collecte des eaux pluviales et des eaux usées des bas quartiers. L’ONG Lalana, pour sa part, recevra 341 135 608 ariary, soit 112 408 euros environ, pour assurer le suivi de l’effectivité des travaux et la sensibilisation des riverains,
Dimisoa

Vondrona eoropeanina : 3,3 miliara Ar hiarovana an’Iarivo tsy ho dibo-drano
Écrit par Taratra   
Samedi, 14 Décembre 2013 07:19
Notanterahina, omaly tetsy amin’ny biraon’ny kaominina Antananarivo renivohitra ny fifanaraham-piaraha-miasa teo amin’ny vondrona Eôropeanina sy ny kaominin’Antananarivo Renivohitra. Nanolotra vola mitentina 3,3 miliara Ar ny Vondrona eoropeanina hiarovana an’Antananarivo tsy ho dibo-drano amin’izao fotoan’ny fahavaratra izao. Hifampizaran’ireo sampan-draharaha telo tonta ao amin’ny kaominina ny vola. Anisan’izany ny Apipa, Samva  ary ny ONG Lalana.
Haharitra valo volana ny faharetan’ny asa ho an’ny Samva miandraikitra ny firindran’ny fakon’Antananarivo sy ny Apipa misahana ny fitantanana ny lakandrano eto Antananarivo. Ho an’ny Apipa, Mitentina 1. 828.346.428 Ar ny anjaran’izy ireo. Mirefy 80 km ny lakandrano hodiovina. Nampitomboina hatramin’ny 1.500, araka izany, ny olona miasa (Himo) hanafainganana ny asa. Entina hanatsarana ireo paompin-drano dimy ihany koa ny vola. Ho an’ny Samva, laharam-pahamehana ny fitaomana haingana ny fako ho eny Andralanitra.
Raofin’ny vahiny ny fako
Nambaran’i Leonidas Tezapsidis, nitarika ny delegasion’ny Vondrona eoropeanina, omaly, fa anjaran’ny fanjakana malagasy ny manampy ny kaominina amin’ny fanadiovana ny tanàna. Tsy tokony hanampy mivantana ireny fikambanana ireny ihany koa ny Vondrona eoropeanina, saingy noho ny hamehana dia manao izany izy ireo tamin’ity indray mitoraka ity.
Niandry ny vahiny, araka izany, ny fandraofana ny fakon’ny Malagasy ary nitazam-potsiny ny fanjakana nanoloana ny fako be nivangongo.
Tatiana A

Reflets de la quotidienneté
Écrit par Reflet   
Vendredi, 13 Décembre 2013 09:50
Commune Urbaine d’Antananarivo : les fêtes au milieu des conséquences du dysfonctionnement
Tous les indicateurs sont au rouge. La nomination du vice-président de la Délégation Spéciale de la capitale en la personne d’Olga Rasamimanana a rapidement mis à jour les lacunes des suites de l’absence d’un dirigeant à la tête de la ville des Milles. Les ordures qui s’amoncèlent partout, les routes qui se dégradent à vue d’œil ou encore les canaux d’évacuation bouchées qui n’ont jamais autant été au centre de toutes les attentions. Trois mois d’absence de mesures n’auront pas été sans impact, une situation que la nouvelle responsable tente de gérer. Dès son accession à la tête de la commune, un état des lieux a été dressé avant de remédier à tous les problèmes. Un appel au secours a été lancé à l’Etat et à toutes les unités collaboratrices pour essayer de  freiner la dégradation flagrante de toutes les infrastructures. Selon les explications fournies, les caisses communales semblent effectivement vides, sinon insuffisantes pour répondre aux attentes des riverains. Moins que quelques milliards, la somme disponible ; mais elle ne permettra pas grand-chose en faisant le calcul : plusieurs centaines de litres de carburants doivent être trouvées quotidiennement pour se débarrasser des déchets et là encore, la liste des priorités n’est pas exhaustive.Récemment, une entente a été trouvée pour une augmentation du nombre de voyages des camions bennes. Mais des endroits ne sont toujours pas servis comme il se doit. Il y a des lieux dans la capitale où les ordures ont largement dépassé le bac et le périmètre autour jusqu’à
atteindre la moitié de la chaussée. L’Union européenne et la région sont elles aussi venues à la rescousse pour que certaines activités se poursuivent en permanence.  Autre conséquence de ce vide à la tête de la commune : les nids de poule un peu partout en ville. Seuls les grands travaux peuvent être effectués à l’instar de ceux qui ont nécessité l’interruption de la circulationdu côté de 67ha vers Andohatapenaka. De façons ponctuelles, certaines réfections sont entreprises mais les chantiers réels à mettre en place tardent à voir le jour, un autre décalage à gérer. Dans le climat d’ensemble, la tâche s’avère encore plus difficile, puisque la période est aussi mise en cause : les fruits de saison sont nombreux au même titre que les préparatifs liés aux fêtes de la Nativité et du Nouvel An. Evidemment, en pleine saison de pluies. Ces derniers entraînent automatiquement l’augmentation des véhicules dans le flot de circulation, celle des marchands ambulants et celle des piétons qui arpentent les rues de la capitale. Une spirale en marche favorable à la menace des épidémies et autres formes d’intoxication. La peste elle, revient en force pour avoir fait plusieurs dizaines de morts dans la ville de Mandritsara.

Ville d’Antananarivo : gros problèmes d’hygiène publique
Écrit par Reflet   
Vendredi, 13 Décembre 2013 09:48
La capitale de Madagascar souffre d’un gros problème de ramassage d’ordures. Presque tous les bacs à ordures, du moins ce qu’il en reste dans la ville, débordent sans que le service de ramassage parvienne à les vider. D’ailleurs, dans certains quartiers, notamment périphériques, les habitants jettent au bord de la chaussée leurs ordures faute de trouver des bacs qui ne soient pas encore pleins. Face à cette situation, des responsables du ministère de la Santé s’inquiètent fortement de l’apparition d’épidémies notamment la dysenterie et les maladies respiratoires.
En effet, parallèlement à l’entassement de ces ordures surtout ménagères, la Ville d’Antananarivo connaît actuellement une situation climatique exceptionnelle qui pourrait favoriser la recrudescence de diverses maladies. D’abord, ces derniers jours, la capitale fait face à une pluviométrie importante. Presque chaque après-midi et souvent la nuit, il pleut dans la ville et souvent pendant des heures. Etant donnée la vétusté des infrastructures d’évacuation d’eau, le trop-plein d’eau s’évacue difficilement. D’ailleurs, à cause des ordures, plusieurs canalisations sont bouchées notamment dans les bas-quartiers de la ville. Il en résulte une montée des eaux plus ou moins importante provoquant la formation de « petits étangs » où prolifèrent moustiques et microbes. « Le plus inquiétant est que certains enfants jouent dans ces mares d’eau sale et attrapent des maladies de la peau ou encore une dysenterie dans ses formes les plus aiguës et graves », confie un médecin libre à Andranotapahana, un des quartiers populaires de la capitale.
L’autre facteur aggravant est la température. Selon le service de météorologie malgache, depuis près de deux semaines, la température moyenne dans l’agglomération tananarivienne atteint les 30°C. Pour une ville qui se situe à plus de 1.000 mètres d’altitude et qui a l’habitude d’une température assez douce, une telle « canicule » provoque des malaises chez les personnes sensibles surtout les enfants et les femmes enceintes. « Le problème est que la température suffocante provoque certaines réactions chimiques dans les ordures. Cela présente un danger réel pour la santé publique dans la ville », s’inquiète encore un autre médecin.
Dans tous les cas, la mairie de la capitale a promis de prendre les mesures nécessaires. Depuis deux jours, elle a enfin eu un responsable à sa tête depuis la démission du Président de la Délégation spéciale (PDS), Edgard Razafindravahy – suite à sa candidature à l’élection présidentielle. Olga Rasamimanana a en effet été nommé vice-PDS et à ce titre, il lui revient de gérer les affaires courantes de la capitale. Celle-ci a indiqué que sa priorité est l’assainissement dont le ramassage des tonnes d’ordures qui s’entassent un peu partout dans la ville.

Plaine d'Anatananarivo : la montée des eaux n’est pas encore à craindre
Écrit par Les nouvelles   
Jeudi, 12 Décembre 2013 09:32
Les pluies incessantes et les averses orageuses accompagnées parfois de grêles ont déjà causé des dégâts matériels et des pertes en vie humaine dans la capitale et ses périphéries ces derniers jours. Pourtant, la montée des eaux n’est pas encore à craindre pour la plaine d’Antananarivo. 

Pour le moment, les crues ne semblent pas encore inquiétantes dans la capitale et ses périphéries malgré les lourdes pluies et les orages incessants. Selon les explications du directeur général de l’Autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d’Antananarivo (Apipa), Philippe Rateloson, « le seuil d’alerte de la montée des eaux des trois rivières, à savoir Ikopa, Sisaony et Mamba n’a pas encore été franchi. Pour dire que le risque d’inondation dans la plaine d’Antananarivo n’est pas encore à craindre ».

Et le numéro un de l’Apipa de rassurer que le danger des crues est déclaré suite à des pluies incessantes jour et nuit durant au moins une semaine. A ce jour, rien d’alarmant concernant les trois rivières arrosant de la plaine d’Antananarivo. Par contre, cette saison de pluies est propice aux riziculteurs pour le repiquage du riz « manetsa », surtout dans les hauts plateaux. Mais il se pourrait que les champs de rizière et de culture soient inondés si les pluies persistent.

Dégâts matériels et perte en vie humaine

Sur ce sujet, il est important de signaler que les pluies incessantes de ces derniers jours ne cessent de causer des dégâts matériels. Nous pouvons citer les cas d’affaissement des murs de soutènement, comme à Betongolo et à Ampasampito pour la journée d’hier seulement, et les cas d’éboulement dans divers endroits de la capitale. Notons que l’affaissement de maisons d’habitation à Mandialaza a causé la perte de trois personnes d’une même famille, dans la nuit du10 décembre.

Les habitants des bas quartiers ne sont pas en reste comme à Besarety, Isotry et Andavamamba où ils vivent dans des eaux insalubres et dans la boue. Le DG de l’Apipa de rappeler que les riverains doivent être vigilants face aux éventuelles catastrophes. Et de profiter de la rencontre avec la presse, mardi dernier, pour dire que dans les prochains trois mois, l’Apipa procèdera au curage des canaux d’évacuation dont le canal d’Andriantany qui est bouché non seulement par les ordures mais aussi par les jacinthes d’eau. « Les travaux de curage seront réalisés d’après le procédé haute intensité de main-d’œuvre « Himo » au profit des riverains du canal d’Andriantany », a poursuivi le DG Philippe Rateloson.

Ce projet d’assainissement et de curage des canaux d’évacuation bénéficie d’une aide financière de l’Union européenne. Il arrive à point nommé en vue d’offrir, du moins, un environnement agréable, viable, salubre et sain aux Tananariviens.
Noro Niaina


Construction illicite à l’université d’Ankatso : enième interpellation des étudiants
Écrit par Les nouvelles   
Jeudi, 12 Décembre 2013 08:31
Depuis quelques années, les constructions illicites ne cessent d’augmenter au sein de la propriété de l’université. Les étudiants, impuissants face à cette situation, ont déjà  interpellé les autorités compétentes. Les squatters occupent surtout les terrains à proximité des cités universitaires en y bâtissant des constructions en dur.
Ceux qui s’entêtent à effectuer ces constructions ne font pas les choses à moitié puisqu’on constate qu’ils investissent énormément d’argent. On pourrait conclure de ce fait que ces derniers n’ont nullement l’intention de vider les lieux et comptent se battre pour y rester en faisant prévaloir la mise en valeur comme motif pour gagner au niveau du tribunal, si procès il y a. Les étudiants craignant que ces actes ne se prolifèrent dans tous les domaines appartenant à l’université, lancent ainsi un appel aux responsables étatiques afin que ces derniers prennent une décision dans les meilleurs délais, pour que cette situation n’empire davantage.
Les squatters portent plainte
Par ailleurs, selon les explications de la représentante des étudiants résidants dans ces cités universitaires, Domoina Randrianarisoa, ce sont eux et le personnel administratif au niveau du centre régional des œuvres universitaires d’Antananarivo (Croua) qui sont actuellement victimes de plainte déposée à leur encontre par ces squatters.
Pour sa part, le nouveau président de cette université, le professeur Panja Ramanoelina, a promis, lors de la campagne sur l’élection de président de l’université, qu’il va défendre la propriété de l’université s’il accède à la présidence. La question se pose ainsi de savoir ce que fait cette responsable actuellement face à cette menace qui pèse sur l’université.
Dimisoa

Résurgence de la peste : de grands risques pour Antananarivo
Écrit par Courrier   
Jeudi, 12 Décembre 2013 08:28
La peste, s’il est vérifié qu’il s’agit effectivement de cette maladie, a fait des dizaines de mort dans la région Atsinanana et Analanjirofo ces derniers jours. Actuellement, les tananariviens se plaignent de Eu égard à l’abondance des ordures ménagères dans tous coins de rue de la capitale ainsi que ces bacs à ordures qui débordent un peu partout, il est à craindre cette maladie fasse des victimes à Antananarivo même. Si cette maladie arrive dans la capitale, il serait très difficile de la maîtriser. C’est avec la propreté que l’on puisse le prévenir en faisant l’assainissement de notre entourage.
Le retour de cette épidémie est ainsi considéré comme une honte pour Madagascar. Cette situation aura sans doute des effets dans plusieurs domaines si la maladie se propage dans toute l’île, pour ne citer que le secteur du tourisme. La Grande île pourrait devenir une destination à risque puisque cette situation pourrait aggraver les choses, en plus de l’insécurité qui règne depuis quelques années.
Quoi qu’il en soit, c’est à tout un chacun de prendre en main sa santé et de prévenir les maladies en respectant la propreté puisque si on devait attendre une mobilisation des autorités, les risques pourraient s’accentuer de jour en jour.
A noter que cette maladie est provoquée par l’insalubrité de l’endroit où l’on habite. La peste se transmet facilement par le biais de la piqûre d’une puce provenant d’un rat contaminé. Cette maladie date du début XIXe siècle et elle a été éradiquée dans la majorité des pays du monde.
Dimisoa


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