 La commune urbaine d’Antananarivo obtiendra un financement de la part de l’Union Européenne le 13 décembre prochain pour le curage du canal d’Andriantany. Ce financement sera géré par l’Apipa (Autorité pour la protection contre les inondations de la pleine d'Antananarivo) et le Samva (Service autonome de maintenance de la ville d’Antananarivo) pour effectuer ces travaux. Tous les canaux au sein des fokontany vont également être nettoyés.
Le curage du canal d’Andriantany va pouvoir enfin se faire sept ans après. Cette nouvelle devrait réjouir les riverains de ce canal qui sont chaque année victime de la montée des eaux. Selon les explications du premier vice président de la délégation spéciale d’Antananarivo Olga Rasamimanana, cette action s’inscrit dans le cadre du projet de sécurité humaine de la commune urbaine d’Antananarivo. C’est précisément pour cette raison que l’Union européenne a accepté d’aider financièrement la commune puisque l’Apipa, qui est le premier responsable du curage du canal d’Andriantany, s’est déclaré dans l’incapacité de le faire faute de moyen financier.
Ainsi, la commune urbaine d’Antananarivo et l’Apipa vont unir leur force pour l’assainissement de ce canal. Durant des mois, ils vont travailler de jour comme de nuit pour que les habitants des bas quartiers ne soient plus obligés de vivre au sein des saletés apportées par la montée des eaux usées.
Dimisoa
| Écrit par Courrier |
| Vendredi, 06 Décembre 2013 08:42 |
 Les marchands ambulants qui squattent particulièrement certains endroits du centre-ville comme Analakely, Behoririka ou Mahamasina , ont augmenté en nombre ces derniers jours puisque les fêtes de fin d’année vont bientôt arriver. La présence de ces derniers cause des conséquences sur la vie des Tananariviens.
Malgré que la commune urbaine d’Antananarivo procède à la saisie de leurs marchandises tous les jours, cela ne les empêche pas de revenir le lendemain sur les mêmes lieux. Ils envahissent les trottoirs et les piétons sont obligés de descendre sur la chaussée. Voitures et piétons se bousculent ainsi causant quelquefois des accidents. Par ailleurs, les embouteillages remarqués ces derniers temps sont également le fruit de cette situation car outre le rétrécissement de la chaussée du fait de la présence des piétons, les automobilistes sont obligés de doubler de prudence et de rouler moins vite pour ne pas causer d’accident.
Les marchés communaux désertés
Pourtant, la commune urbaine d’Antananarivo a fait construire des marchés communaux afin que ces derniers puissent avoir un endroit pour vendre leurs marchandises. C’est le cas du marché « fihavanana », à la petite vitesse, qui a été déserté par les marchands. Ces derniers préfèrent vendre sur les trottoirs sous prétexte qu’ils y écoulent mieux leurs marchandises.
La commune urbaine d’Antananarivo organisera à partir du 15 décembre prochain le traditionnel bazar de Noël à Mahamasina. Environ 1 400 marchands sont attendus. A noter que l’inscription est déjà ouverte dès maintenant pour ceux qui sont intéressés. Mais même si la commune organise le bazar de Noël, les marchands ne s’y intéressent pas beaucoup car ils préfèrent rester dans leur endroit habituel.
Dimisoa
| Écrit par Courrier |
| Jeudi, 05 Décembre 2013 08:35 |
 Andrasana izay ho tohin’ny raharaha ady tany, nadravana trano sy nandroahana ny mpivarotra sy ireo fiarabe mpitondra entana, niantsona tao amin’ny faritra iray anatin’ny tsenan’Ambodivona, amin’izao fotoana izao.
Nisy nanana taratasy ara-panjakana fahazoana io tany io, nampidina vadintany sy mpitandro filaminana teny, tamin’ny herinandro teo, hanala izay rehetra nampiasa io ampahan-tany io. Nifanenjana teo ihany ny an-daniny sy an-kilany ary saika hiafara tamin’ny savorovoro mihitsy aza raha tsy tonga nandamina teny ny filoha lefitry ny vaomieran’ny fananan-tany ao anivon’ny CST Alain Ramaroson.
Tsy misy intsony anefa ireo fefy narafitra hamaritan’ny nahazo azy io tany io, ankehitriny. Noravan’olon-tsy fantatra tamin’ny andro alina, araka ny fanazavan’ireo tovolahy nampiandraiketina ny fiambenana, ny fefy hazo sy vifotsy natao teo. Saika tafaverina ao avokoa ireo rehetra noroahin’ny vadintany nefa, nomarihin’ny vadintany, fa tsy mahazo miverina na mikasika io tany io intsony ireo efa nalana tao, raha tsy misy didim-pitsarana vaovao mamerina azy ao.
Mety mbola ho raharaha sarotra ity ao amin’ny tsenan’Ambodivona ity. Nilaza ny hanokatra fanadihadiana mikasika ny fomba nahazoana io tany io rahateo moa ny vaomiera mpanadihady ao amin’ny CST nohon’y fahitana antontan-taratasy nilaza ny fahefan’ny kaominina Antananarivo-Renivohitra amin’io toerana io.
Manou
| Écrit par Courrier |
| Mercredi, 04 Décembre 2013 08:30 |
 Etant donné le nombre d’irrégularités perpétrées par les usagers de la route, notamment les transports publics, la police nationale, l’ATT, les coopératives ainsi que la police municipale ont effectué hier une descente inopinée dans les rues de la capitale afin d’y remettre de l’ordre. Ce sont particulièrement les taxibe et les taxis-brousses qui ont été sanctionnés pour non-respect des arrêts.
La plupart des taxibe ont été surpris par cette opération car comme d’habitude, ils ont continué dans leur mauvaise habitude en ne respectant pas le code de la route. Certains taxibe ont pris en flagrant délit de non-respect du circuit alors que cela est un acte strictement interdit. D’autres faisaient monter ou descendre leurs passagers un peu partout mais surtout pas aux arrêts.
Par ailleurs, certaines voitures qui desservent la zone Antananarivo-Antsirabe ont été également prises en flagrant délit puisque certains d’entre eux ont effectué le ramassage de leurs passagers en dehors de la gare routière, notamment à Anosy.
Des taxis ville clandestins
Cette opération a également permis l’assainissement au niveau des taxis ville. Ainsi, 319 papiers de voitures ont été retirés à leur propriétaire ne sont pas encore récupérés par ces derniers. La police nationale suppose ainsi que les propriétaires de ces papiers travaillaient clandestinement. Ce genre d’opération est ainsi le meilleur moyen pour les forcer à respecter la loi.
Dimisoa
| Écrit par Taratra |
| Mardi, 03 Décembre 2013 11:05 |
 Ela ny ela, misy mandimby ihany ny PDS teo aloha eto Antananarivo Renivohitra. Voatendry ho filoha lefitra voalohany Rasamimanana Olga. Ny sekretera jeneralin’ny kaominina Antananarivo Renivohitra (CUA) teo aloha, Rasamimanana Olga, no notendren’ny minisiteran’ny Atitany, ny faran’ny herinandro teo, ho mpikamban’ny delegesiona manokan’ny CUA, ary filoha lefitra voalohany amin’ny fiadidiana ny tanànan’Antananarivo Renivohitra.
Nandray ny asany avy hatrany izy, omaly, tamin’ny fitarihana fivoriana niaraka tamin’ireo mpiara-miasa aminy akaiky eo anivon’ny CUA. Nodinihina tamin’izany ny laharam-pahamehana amin’ny asa eto Antananarivo Renivohitra. Ny fanohizana ny asan’ny PDS teo aloha no heverin’izy ireo fa maika.
Maika ny fanalana fako
Ho an’ny vahoakan’Antananarivo, ao anatin’izao fahavaratra izao: ny fanalana ny fako sy ny fanadiovana ny tanàna izao no maika. Eo koa ny fanadiovana sy fanarenana ireo tatatra, izay mahatonga tondra-drano raha vao mirotsaka kely foana ny orana. Anisan’ny mitondra faisana amin’izany ny faritra iva.
Mbola hisy ve izany ny fanendrena izay tena ho filohan’ny delegasiona manokana? Tsy tamin’ny filankevitry ny minisitra no nandraisana ny fanapahan-kevitra, fa fanapahan’ny minisitry ny Atitany manokana. Efa zary mandeha ho azy ny tsy fanarahana fombafomba ara-panjakana tato ho ato?
R. Nd.
| Écrit par Les nouvelles |
| Mardi, 03 Décembre 2013 08:34 |
Le tonnage d’ordures de la capitale a augmenté de plus de 38% durant cette période de fruits de saison et à l’approche des fêtes de fin d’année. Faute de moyens, la commune urbaine d’Antananarivo (CUA) a du mal à maîtriser la situation car elle n’arrive plus à ramasser les 1.300 tonnes d’ordures journalières de la capitale.
Les bacs à ordures débordent. Une source auprès de la CUA a avoué que le travail de ramassage n’est pas du tout facile surtout en cette saison de pluie. Une telle quantité nécessite une quarantaine de camions pour le ramassage et pourtant la CUA ne dispose que de la moitié dont une bonne partie est non opérationnelle et nécessite des réparations.
Par ailleurs, il faut également faire face au problème de carburant. Normalement, les camions opérationnels nécessitent environ 2.500 litres de carburant par jour. Pourtant, la CUA éprouve des difficultés à payer 1.500 litres par jour. « Pour dire que rien n’est facile et nous travaillons autant que faire se peut» a expliqué hier le directeur de communication de la CUA, Jean Luc Rahaga.
Ce dernier de continuer que le budget alloué au ramassage d’ordures de la capitale est déduit de la redevance sur les ordures ménagères. Pour mieux financer le travail et de faire d’Antananarivo une ville saine, tous ceux qui font des constructions illicites sont incités à entrer dans le secteur formel et de payer leur taxe.
Fahranarison
| Écrit par Courrier |
| Lundi, 02 Décembre 2013 08:35 |
 Lalina loatra ity fitohanan’ny fiarakodia manerana ny làlan’Antananarivo-Renivohitra eto ity ka miteraka hevi-petsy sy fanararaotana koa, indraindray. Nampiaiky volana ny mpampiasa azy hatramin’izay ny fitohanana amin’ny andaniny roa amin’iny làlana mizara roa mandalo amin’ny faritry ny Cenam eny atsimon’ny 67Ha iny.
Saika tafahitsoka tao ny fiara mahafa-dàlana nentina zandary roalahy, tamin’ny sabotsy antoandro teo. Nanita-tsaina iretsy mpitandro filaminana, nampiasa ny saina naha-miaramila azy, hamahany ny olana. Novelominy avy hatrany ny anjombona tamin’ny fiara nentiny, nampirehetiny ny jiro manga tao ambony tafo ary lasa ry zareo, nanitsy tery amin’ny làlana ilany. Samy tsy azo ifanenana ireo an-daniny roa amin’ity lalàna ity nefa nitsofoka tamin’ny lalàna nizoran’ny fiara avy avaratra ireto zandary ireto. Nitsofan’ny iray kiririoka, hanerena azy hikisaka any ampovoamboan’arabe kokoa ny laharana fiara taty amin’ny sisiny havian’ny arabe nianatsimo iny, hahafahany mizotra. Tsy nampaninona an’ireto mpampihatra lalàna ireto ny nampisabaka ny fiarany tamin’ny arabe sy ny sisin-dàlana nandehanan’ny mpandeha an-tongotra, nanomboka teny am-pitan’ny biraon’ny Jirama, hatreny amin’ny sampanana ho any Andohatapenaka, izay nisy polisy nandrindra fifamoivoizana.
« Tsy voatohintohina hatramin’ny farany ireto mpandika lalàna ireto satria izy no tompony ka mahazo manitsakitsaka azy », hoy ny nahatsikaritra ity tranga tamin’ny sabotsy ity. Zandary nandeha tsotra tamin’izao, ireto nanararao-pahefana ireto, saingy efa fanao mahazatra ankehitriny ny mampiasa ny fitaovana manone zo eny am-pelatànana, amin’ny fotoana heverina hilana azy… Arovan’ny lehibeny sady ahitany fanazavana hanadiovana azy foana moa ny mpitandro filaminana rehefa hita manao ny tsy mety toy ireny satria izy no izy…
Manou
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