dimanche 17 novembre 2013

Semaine du 11 novembre // paru dans l'Express Madagascar

Immobilier
Début morose du Salon de l'Habitat
Elia Ravelomanantsoa, ministre de la Culture et du Patrimoine (à g.), souriante, par rapport à Michel Domenichini Ramiaramanana, promoteur de l’évènement, plutôt déconfit
Elia Ravelomanantsoa, ministre de la Culture et du Patrimoine (à g.), souriante, par rapport à Michel Domenichini Ramiaramanana, promoteur de l’évènement, plutôt déconfit
L'évènement économique a été éclipsé par la politique, hier lors de l'ouverture officielle du Salon de l'Habitat. Les opérateurs économiques gardent espoir.
Le parking, les 1000 m2 de superficie réservés aux exposants et les 2km d'allée pour les visiteurs semblaient trop grands, hier lors de l'ouverture de la 15e édition du Salon de l'Habitat, à la zone Forello Tanjombato. L'absence de l'ouverture habituelle en grande pompe de cet événement international par les autorités aurait également donné l'impression que l'économie reste encore en berne dans la Grande île.
« Nous remercions le ministre de la Culture et du Patri­moine, Elia Ravelomanantsoa, une amie de longue date, les représentants du premier ministre, Jean Omer Beriziky, du vice-premier ministre chargé de l'Économie et de l'Industrie, Pierrot Botozaza, ainsi que ceux des corps diplomatiques d'avoir assisté à cette ouverture officielle », a lancé Michel Dome­nichini Ramia­ramanana, organisateur du Salon de l'Habitat.
Malgré ce début assez timide de cette 15e édition, quelques nouveaux opérateurs économiques étrangers tentent de percer le marché national comme l'opérateur singapourien, spécialisé dans le domaine de l'électroménager, le 21 Century Mada­gascar, une société d'envergure internationale dans le secteur immobilier et les trois branches internationales de sociétés multinationales.
Tendances actuelles
« Trois cents invitations ont été retirées par des opérateurs économiques réunionnais durant ce Salon. C'est un signe positif de cette édition », a avancé une source auprès des organisateurs.
Pour cette 15e édition, la tendance serait l'utilisation de la matière en aluminium dans la construction du
bâtiment. Les stands tenus par les opérateurs dans ce domaine en aluminium seraient les plus imposants. L'écologie, pour lutter contre le changement climatique, est également à l'honneur durant ce salon. « L'écologie et le design sont la tendance dans les pays développés. C'est ainsi que nous mettons à la disposition de notre clientèle nos meubles en résine », a expliqué une hôtesse du stand de JAVA. Le prêt immobilier attire aussi les visiteurs. « Les crédits immobiliers sont de plus en plus vulgarisés. Les banques deviennent ainsi plus souples et s'adaptent aux contextes. Le délai de remboursement de prêt peut ainsi aller jusqu'à dix sept ans », a fait savoir Vololona Razemera, responsable communication de la BFV/SG.
Vonjy Radasimalala
FAHADIOVANA
Nihena ny fakon' Anosibe
Ezaka tsy ampy. Nanom­boka nanala ny fako teo Anosibe ny sampandraharaha misahana ny fanangonana ny fako eto an-drenivohitra (Samva), ny talata alina teo. Ny taty alohan'ny tsena izay efa nisavovona be sy ny tao ambadikin'ny tsena, izany hoe eo amin'ny fiantsonan'ireo fiara be no nezahina nesorina tamin'izany, saingy mbola tsy vita hatramin'ny farany anefa izany.
« Nahatratra 70 taonina teo no nesorina tety alohan'ny tsena, izany hoe, in-11 niverina tamin'ireny fiara mpitatitra fako lehibe ireny. Manodidina ny 30 taonina kosa no nalàna tao ambadikin'ny tsena : inefatra niverina tamin'ny ireny fiara mpaka fako ireny », hoy Rasoloarijao Nestor, lehiben'ny sampandraharahan’ny Samva.
Tsy ampy anefa izany ezaka izany satria sady nandraoka ny eny amin'ny vaki-paritra sahaniny ireo fiara be niasa ireo, no niandraikitra ihany koa ny fako teny Anosibe ka mbola nisy ny ambiny tavela. « Miandry ny fandaminana manaraka indray izahay ahafahana manala hatramin'ny farany ireo fako sisa tavela ao Anosibe ireo, ka vinavinaina ho vita amin'ity herinandro ity izany », hoy hatrany Rasoloarijao Nestor.
Fa isan'ny olana sedrain'ny mpaka fako ny fanarian'ny olona sasany diky avy nesorina tany amin'ny lava-piringy any anaty dabam-pako.

Ihony Rasolomalala
ANKORONDRANO
L'extension de la route nuit aux privés
Les chaussées dans les deux sens auront une largeur de 12 mètres après l'extension
Les chaussées dans les deux sens auront une largeur de 12 mètres après l'extension
Des maisons, clôtures, panneaux publicitaires seront enlevés pour l'extension de la route à Ankorondrano. Ceux qui sont concernés crient au scandale. 
Aménagement sur la route des hydrocarbures. La tranche de route depuis la logistique pétrolière, jusqu'au rond point près de l'OMERT, vers Alarobia fera l'objet d'extension. Les travaux qui débuteront au plus tard à la fin de ce mois obligent l'enlèvement des infrastructures et des biens, surtout privés. C'est ce qu'a annoncé, hier, Olga Rasaminana, secrétaire générale de la commune urbaine d'Antananarivo (CUA). « Une quinzaine de maisons, illicites et/non, pour ne parler que celles en face de la Gallerie Eden Ivandry, la clôture devant Bhoura, sept marchands de fleurs à Ivandry, tout le jardin du centre commercial La City Alarobia, des panneaux publicitaires de l'Injet seront enlevés. D'autres, comme les poteaux de la Jirama, les panneaux de Doma pub, Mad et ceux qui se trouvent au pont d'Ivandry seront reculés », a t-elle lancé, avant d'ajouter que « les chefs fokontany, les régisseurs de publicité ou les propriétaires des panneaux publicitaires, les particuliers concernés ont reçu les avertissements y afférents depuis le 22 octobre, ils doivent alors faire le nécessaire pour ne pas déranger le bon déroulement des travaux ». L'extension sera de six mètres sur chaque chaussée et les travaux dureront trois mois, sans que la circulation y soit coupée.
Indemnisation
Les travaux d'aménagement de la route des hydrocarbures suscitent des réactions divergentes. Les usagers de cet axe, notamment les opérateurs économiques se réjouissent de la fluidité de la circulation qui s’ensuivra. Alors que les petits commerçants qui devront cesser leurs affaires prennent mal la nouvelle. « L'extension de cette route profite uniquement aux opérateurs économiques. Pourquoi ne pas élargir la route de Magro Behoririka vers Soarano, celle d'Ando­han'Ana­lakely ou encore d'Ambo­dimanga Besarety jusqu'à Andravoahangy ambony où l'embouteillage dure près
d’ une heure », s'insurge Rafily qui devra fermer sa boucherie à Ivandry.
D'autres concernés craignent de se retrouver chômeurs et sans-abri. La secrétaire générale de la mairie rassure que les constructions légales qui seront enlevées bénéficieront d'une indemnisation. Les travaux sont financés à hauteur de 1,600 milliards d'ariary par l'association des riverains de la route des hydrocarbures et de ses prolongements (ARRHP), en collaboration avec la CUA et la Vice-Prima­ture chargée du Dévelop­pement et de l'Aménagement du Territoire. 
Michella Raharisoa
IAVOLOHA
La Jirama punit ses abonnés
Pour les habitants d'Iavoloha, le droit fondamental qui est de « boire de l'eau » est bafoué
Pour les habitants d'Iavoloha, le droit fondamental qui est de « boire de l'eau » est bafoué
Les ménages du côté d'Iavoloha sont privés d'eau, depuis six jours, alors qu'il n'y a eu aucun préavis. La Jirama esquive le sujet. 
Et cela continue. Depuis six jours, avec la chaleur torride qu'il fait, les habitants d'Iavoloha et de ses environs n'ont pas d'eau courante. Selon leurs explications, la Jirama (société fournisseur d'eau et d'électricité) n'aurait lancé aucun préavis de coupure. Pire, le numéro du service dépannage a cessé de fonctionner rendant impossible tout recours aux réclamations.
« C'est lamentable. Et dire que c'est un soi-disant service public », fulmine Henriette Rasoanin­driana, récemment installée à Ambohibao du fait justement que le quartier n'a jamais connu de problèmes d'eau. Mal lui en prit. Elle ne sait plus comment laver son linge. « À ce rythme, il va falloir procéder à la privatisation de la Jirama. Il est inutile de s'accrocher au nationalisme, alors que les problèmes dépassent les capacités de la société et ce sont toujours les abonnés qui en bavent », suggère Roger Randrianasolo mieux loti avec son fourgon qu'il va charger de bidons d'eau ailleurs. « On se croirait à Ambovombe. Il faut rectifier les chiffres des organismes internationaux sur les objectifs du millénaire de développement, en matière d'accès à l'eau potable. Il y a ceux qui ont le branchement mais qui ne sont pas approvisionnés », philosophe Rémy Ramanantoanina, résigné. Le plus cocasse justement c'est que la Jirama procède en ce moment même à de nouveaux branchements aux
nouvelles constructions. Allez comprendre quelque chose.
Menaces
Les malheureux qui n'ont ni puits, ni piscine ou encore le moyen financier de s'acheter un paquet d'eau embouteillée, n'ont d'autre option que d'attendre la goutte d'eau qui va couler du robinet. Ce qui met le plus en rogne les abonnés de la Jirama c'est la hausse des factures, voire la coupure quand l'échéance de paiement est dépassé. Plus il y a des coupures, plus l'argent qui sort de leur poche augmente. Face à cette situation, les responsables de la Jirama préfèrent garder le silence. Ils esquivent toute question concernant le problème d'approvisionnement en eau et électricité.
Au mois d'octobre, la coupure d'eau s'est répartie dans d'autres quartiers d'Atsimondrano, notamment à Itaosy. Cepen­dant, le problème était lié au surpresseur mais la Jirama avait assuré que ceci allait être résolu prochainement, mais en vain. Las de ce qu'ils considèrent comme une « lourde punition », les habitants d'Iavoloha vont jusqu'à menacer de saccager les bureaux de la Jirama comme ce qui s'est produit dans certaines régions, pour que celle-ci leur témoigne un minimum de respect et considération.
Michella Raharisoa
Ankorondrano
Une portion de la route des hydro­carbures à élargir
Une demi-nouvelle pour les usagers de la route des hydrocarbures. L'association des riverains de la route des hydrocarbures et la vice-Primature de l'Aménagement du territoire ont annoncé hier de prolonger le réaménagement de cette route. Aussi la route à quatre voies d'Antanimena au rond point du Masay sera prolongée jusqu'au rond point d'Ala­robia. « Le réaménagement de cette route va coûter un milliard cinq cent millions d'ariary. Il sera financé entièrement par les riverains de cette route des hydrocarbures », a expliqué Tiana Randria­nasoloarimina, directeur général de l’Amé­nagement du territoire.
Quant au début des travaux, aucune information n'a été obtenue. Ils seront seulement entamés cette année et vont durer trois mois et demi. Les réactions divergent face à ce réaménagement. « Les activités écono­miques sur cette portion de route augmentent le flux des voitures. L'élargissement de la route semble ainsi une bonne nouvelle », a réagi un opérateur économique sur cet axe. Tandis qu'un chauffeur de taxi-be de la coopérative 194 accueille cette information avec déception.
Vonjy Radasimalala
ANOSIBE
Un incendie ravage quatre pavillons
L’un des pavillons endommagés au marché d’Anosibe
L’un des pavillons endommagés au marché d’Anosibe
Les flammes se sont emparées de quatre pavillons de l'aile Sud-Est du marché d'Anosibe, samedi aux alentours de 21h30. « La cause de cet incendie titille l'esprit du fait que personne n'est autorisé à passer la nuit dans ces locaux commerciaux. De plus, ces derniers ne sont pas électrifiés », déclare Randria­manantena, l'une des victimes.
Selon les informations recueillies sur place, les responsables de la sécurité ont été les premiers à intervenir, lorsque l'embrasement s'est déclaré. Avec les moyens du bord, ils ont tant bien que mal tenté de circonscrire l'incendie, mais celui-ci s'est propagé très vite.
Ayant éclaté dans un premier pavillon, il s'est répandu sur les commerces voisins en l'espace de quelques minutes. Les portes se sont enflammées très facilement.
Coïncidence
Un incendie des plus dévastateurs a été en revanche évité de justesse. Sitôt alertés, les sapeurs-pompiers de la caserne de Tsaralalàna ont dépêché des fourgons d'intervention sur les lieux du sinistre. Les soldats du feu ont très vite circonscrit l'embrasement. En revanche, ils sont restés sur place pour effectuer un déblayage des gravats.
L'un des pavillons est littéralement calciné. Les marchandises qui s'y trouvaient et la construction en elle-même ont été anéanties par les flammes. En revanche, les dégâts sont moins importants pour les trois autres commerces.
D'après les commerçants qui en ont fait les frais, de l'argent serait parti en fumée avec leurs marchandises.
« On ne sait plus à quel saint se vouer. Lorsqu'on garde de l'argent chez soi, on se fait attaquer par les bandits. Lorsqu’on le met là où les voleurs s'y attendent le moins, voilà qu'un incendie se produit », se désole Randriamanantena.
Interrogée, cette victime rappelle des coïncidences qui mettent la puce à l'oreille.
« Le 14 novembre 2006, les flammes avaient déjà dévasté des pavillons sur le marché d'Anosibe. Ce fut une période de propagande. Et voilà que le même sinistre revient sept ans plus tard en pleine période électorale », relève-t-il.
Hier, les victimes ont commencé à rafistoler leurs commerces.
Seth Andriamarohasina
Hygiène
Iavoloha privé d'eau
Une lourde punition. Les habitants d'Iavoloha et de ses environs sont privés d'eau courante depuis cinq jours. La coupure est tombée sans crier gare. Aucun préavis de la part de la Jirama qui se moque visiblement de ses malheureux abonnés. 
« Aucune explication n'a été fournie par le service dépannage de la Jirama qu'il faut appeler dix foix ou plus pour que quelqu'un décroche. La réponse est d'ailleurs sèche tout en étant assortie de promesse comme quoi les techniciens seraient sur place. On peut bien sûr attendre une eternité », fulmine Raniry, une ménagère qui doit recourir au puits des voisins moyennant finances, pour pouvoir cuire et se laver.
« C'est lamentable. Cinq jours sans eau sans la moindre excuse ni explication, il faut peut-être saccager les bureaux de la Jirama à l'instar de certaines régions pour que ce traitement s'arrête. Les abonnés sont trop gentils et paient toujours la facture », renchérit Richard Ravelonary, autre abonné qui a du annuler une fête familiale prévue le week-end, de peur de voir les invités manger avec des mains sales. Pour le moment, les habitants prennent leur mal en patience en attendant la goutte d'eau qui fera déborder le vase.
Michella Raharisoa
ANTOHOMADINIKA IIIG HANGAR
L'insalubrité favorise le palu
La saleté dans le quartier Antohomadinika III G Hangar menace la santé des enfants
La saleté dans le quartier Antohomadinika III G Hangar menace la santé des enfants
L'insalubrité, liée à l'obstruction du canal Andriantany, affecte la santé des habitants, surtout celle des enfants. L'assainissement de ce canal tarde à se réaliser.
Relâche de la prévention du palu. « Toutes les nuits, en moyenne trente moustiques piquent mon bébé de huit mois si je ne ferme pas les portes et fenêtres à 16h30. Maintenant, ma fille aînée a de la fièvre et le médecin dit qu'il est probable qu'elle soit atteinte du palu », a confié Marie Florine Randrianarisoa, une mère de famille qui habite dans le fokontany Antohomadinika III G Hangar. Selon le docteur Patrice Rakotobe, médecin du quartier, les larves de moustiques, vecteurs du
paludisme, dans le canal Andriantany obstrué, représentent en effet un danger pour les habitants. Il ne cache pas ainsi les symptômes de palu dont sont atteints plus du tiers des enfants qu'il consulte tous les jours. La lutte contre le palu semble être difficile parce que la majorité des ménages de ce bas-quartier vivent dans des maisons en bois, trouées et seuls quelques-uns disposent de latrines.
Pour la plupart, ils payent 50 à 100 ariary dans les toilettes publiques, sinon ils utilisent un vase de nuit et le versent dans le canal obstrué de jacinthes d'eau et d'ordures ménagères.
Boucher le nez
L'on peut imaginer ainsi les mauvaises odeurs qui y émanent amenant les passants dans cette rue à se boucher le nez. Ni les habitants également auteurs de l'insalubrité, ni l'autorité responsable de la protection contre les inondations de la plaine d'Antananarivo (Apipa) ne bougent le petit doigt pour assainir le canal. Les premiers accusent la deuxième de ne pas faire son travail tandis que la deuxième se cache derrière son problème de financement pour faire le curage qui devrait se faire continuellement, sauf un ou deux mois pendant lesquels les eaux montent. Philippe Rateloson, directeur général de l'Apipa affirme que, malgré la flagrante insalubrité du canal Andriantany, ses agents travaillent. « Le curage du canal Andriantany avance. On travaille avec notre budget de fonctionnement et non un budget supplémentaire. L'État a octroyé 600 millions d'ariary pour la réparation de la digue à Belanitra, mais non pour le curage des canaux d'évacuation d'eau », a t-il conclu.
Michella Raharisoa

1 commentaire:

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