Changements climatiques : Madagascar épargné par les mesures d’atténuation
L’essentiel serait pour le pays d’instaurer une économie capable de résister aux changements climatiques afin d’instaurer un développement durable.
Etant encore classé parmi les Pays Moins Avancés (PMA), Madagascar a été épargné par les mesures d’atténuation des changements climatiques. C’est effectivement ce qui aurait été décidé lors de la 19e Conférence des parties à la Convention (COP 19) et à la 9e réunion des Parties au Protocole (CMP 9) qui se sont déroulées à Varsovie – Pologne du 11 au 22 novembre dernier. Des conférences qui entrent dans le cadre de la mise en œuvre des deux instruments mis en place au niveau international pour traiter les questions relatives au changement climatique à savoir la Convention Cadre des Nations-unies sur le changement climatique et le Protocole de Kyoto (convention sur l’émission des gaz à effet de serre. Une sorte de négociations internationales donc, impliquant tous les Etats ayant ratifié ledit Protocole. En effet, selon les explications de la directrice Générale de l’Environnement, Christine Ralalaharisoa Edmée, non moins la représentante de Madagascar durant ces conférences, l’essentiel pour le pays en faisant partie des PMA, ayant une économie vulnérable aux impacts des changements climatiques, serait tout d’abord de construire une économie capable résister aux changements climatiques, afin de pouvoir instaurer un développement durable. Ce qui implique selon cette dernière, que les priorités pour le pays, sont de mettre en place une politique d’adaptation nationale (PANA) pour pouvoir se développer face aux changements climatiques, tout en faisant des activités qui luttent contre ce fléau international. Selon toujours les explications, l’Adaptation (surtout pour les PMA), les mesures d’atténuation (en particulier les pays développés), les financements des projets d’atténuation des changements climatiques (en particulier les pays en voie de développement), les transferts de technologies, renforcement des capacités,… ont été notamment les principaux sujets débattus lors de ces conférence de Varsovie.
+1°C. Soulignons toutefois que Madagascar n’est pas épargné par ce réchauffement climatique. Un problème international. D’ailleurs, Germain Randriasandratana, Directeur du Changement Climatique au sein du ministère de l’Environnement de dire que la température à Madagascar a connu une hausse en moyenne de 1°C. « Cela dépend toutefois des régions. Il y a des régions qui ont dû rencontrer des hausses allant jusqu’à 3°C », poursuit-il. Et ce, en affirmant que la montée en moyenne de la température au niveau international est de 0,8°C. Selon lui, les principales causes de ce réchauffement climatique pour Madagascar seraient les émissions de gaz à effet de serre causées par les feux de brousse en particulier. Mais également, lui de dire que l’une des conséquences directes de ces changements climatiques serait cette instabilité enregistrée durant la saison des pluies. Soulignons que le COP 20 se tiendra au Pérou en 2014 et la COP21 en France en 2015. Des occasions pour les pays participants (en particulier les Pays développés) de rendre les rapports de leurs efforts sur la lutte contre le réchauffement climatique.
Arnaud R.
L’essentiel serait pour le pays d’instaurer une économie capable de résister aux changements climatiques afin d’instaurer un développement durable.
Etant encore classé parmi les Pays Moins Avancés (PMA), Madagascar a été épargné par les mesures d’atténuation des changements climatiques. C’est effectivement ce qui aurait été décidé lors de la 19e Conférence des parties à la Convention (COP 19) et à la 9e réunion des Parties au Protocole (CMP 9) qui se sont déroulées à Varsovie – Pologne du 11 au 22 novembre dernier. Des conférences qui entrent dans le cadre de la mise en œuvre des deux instruments mis en place au niveau international pour traiter les questions relatives au changement climatique à savoir la Convention Cadre des Nations-unies sur le changement climatique et le Protocole de Kyoto (convention sur l’émission des gaz à effet de serre. Une sorte de négociations internationales donc, impliquant tous les Etats ayant ratifié ledit Protocole. En effet, selon les explications de la directrice Générale de l’Environnement, Christine Ralalaharisoa Edmée, non moins la représentante de Madagascar durant ces conférences, l’essentiel pour le pays en faisant partie des PMA, ayant une économie vulnérable aux impacts des changements climatiques, serait tout d’abord de construire une économie capable résister aux changements climatiques, afin de pouvoir instaurer un développement durable. Ce qui implique selon cette dernière, que les priorités pour le pays, sont de mettre en place une politique d’adaptation nationale (PANA) pour pouvoir se développer face aux changements climatiques, tout en faisant des activités qui luttent contre ce fléau international. Selon toujours les explications, l’Adaptation (surtout pour les PMA), les mesures d’atténuation (en particulier les pays développés), les financements des projets d’atténuation des changements climatiques (en particulier les pays en voie de développement), les transferts de technologies, renforcement des capacités,… ont été notamment les principaux sujets débattus lors de ces conférence de Varsovie.
+1°C. Soulignons toutefois que Madagascar n’est pas épargné par ce réchauffement climatique. Un problème international. D’ailleurs, Germain Randriasandratana, Directeur du Changement Climatique au sein du ministère de l’Environnement de dire que la température à Madagascar a connu une hausse en moyenne de 1°C. « Cela dépend toutefois des régions. Il y a des régions qui ont dû rencontrer des hausses allant jusqu’à 3°C », poursuit-il. Et ce, en affirmant que la montée en moyenne de la température au niveau international est de 0,8°C. Selon lui, les principales causes de ce réchauffement climatique pour Madagascar seraient les émissions de gaz à effet de serre causées par les feux de brousse en particulier. Mais également, lui de dire que l’une des conséquences directes de ces changements climatiques serait cette instabilité enregistrée durant la saison des pluies. Soulignons que le COP 20 se tiendra au Pérou en 2014 et la COP21 en France en 2015. Des occasions pour les pays participants (en particulier les Pays développés) de rendre les rapports de leurs efforts sur la lutte contre le réchauffement climatique.
Arnaud R.
Ambohitrakely : Eboulement et rue coupée à la circulation
L’éboulement d’un mur de soutènement à Ambohitrakely a failli coûter la vie à une passante, hier matin. Une jeune fille se trouvant justement en contrebas de ce mur au moment de l’éboulement, a failli être écrasée par les gravats. Surprise par l’éboulement, elle a traversé la rue et a été fauchée par un taxi arrivé en sens inverse. En effet, le chauffeur du taxi, lui aussi surpris par l’éboulement, a accéléré pour éviter les gravats en train de tomber et a accidentellement fauché la jeune fille. Présentant quelques blessures, celle-ci a dû être transportée par le même taxi à l’hôpital. Ce mur de soutènement se trouve précisément sur un côté de la rue séparant Ambohitrakely et l’enceinte de la gendarmerie à Betongolo. La rue est ainsi coupée à la circulation depuis hier. Nombre d’usagers l’ont encore ignoré, hier, les panneaux de signalisation n’étant placés qu’à quelques dizaines de mètres du site endommagé. Les automobilistes venant d’Avaradoha doivent, de ce fait, faire un détour vers Ambohitrakely tandis que ceux venant du sens opposé doivent tout simplement rebrousser chemin.
Hanitra R.
L’éboulement d’un mur de soutènement à Ambohitrakely a failli coûter la vie à une passante, hier matin. Une jeune fille se trouvant justement en contrebas de ce mur au moment de l’éboulement, a failli être écrasée par les gravats. Surprise par l’éboulement, elle a traversé la rue et a été fauchée par un taxi arrivé en sens inverse. En effet, le chauffeur du taxi, lui aussi surpris par l’éboulement, a accéléré pour éviter les gravats en train de tomber et a accidentellement fauché la jeune fille. Présentant quelques blessures, celle-ci a dû être transportée par le même taxi à l’hôpital. Ce mur de soutènement se trouve précisément sur un côté de la rue séparant Ambohitrakely et l’enceinte de la gendarmerie à Betongolo. La rue est ainsi coupée à la circulation depuis hier. Nombre d’usagers l’ont encore ignoré, hier, les panneaux de signalisation n’étant placés qu’à quelques dizaines de mètres du site endommagé. Les automobilistes venant d’Avaradoha doivent, de ce fait, faire un détour vers Ambohitrakely tandis que ceux venant du sens opposé doivent tout simplement rebrousser chemin.
Hanitra R.
Sapeurs-Pompiers : Deux nouveaux véhicules et plus de 100T matériels
La coopération entre le Corps des Sapeurs Pompiers de la ville d’Antananarivo et le Département de la Vendée en France a encore donné ses fruits. Une Coopération décentralisée qui a déjà existé depuis plus d’une décennie, selon les explications. En effet, l’on a assisté hier à la caserne des soldats des feux de Tsaralalàna, à la cérémonie de remise des dons de deux nouveaux véhicules (un véhicule d’incendie FPTL et un véhicule de commandement VLOD) et plus de cent tonnes de petits matériels. Une activité issue de la cinquième convention entre l’Etat malgache et la République française à travers ce Département de la Vendée, si la première aurait été établie depuis 1998, à la demande des autorités malgaches, juste après l’incendie du Palais de la Reine. Ainsi, à travers ces différentes conventions, de nombreuses activités entre les deux Etats auraient été établies, entre autres, l’amélioration des qualités des interventions, des créations de nouvelles antennes, la structuration d’un Etat-major et des formations spécialisées, etc. Par ailleurs, à travers cette 5e convention qui va s’étaler jusqu’à l’année prochaine, des formations spécifiques ont été également menées par cinq instructeurs de la Vendée. Ce, durant plus de trois semaines et qui avaient pour but de renforcer les capacités professionnelles des cadres du Corps de ces soldats du feu d’Antananarivo, ainsi d’augmenter la maîtrise des fonctions des responsables des interventions, sur le plan matériel et technologique. Dans ce sens, des attestations ont été délivrées ce même jour pour 18 éléments de la caserne ayant pu mener à terme la formation. Une petite séance de démonstration des connaissances acquises durant la formation, prenait également part à la cérémonie.
Arnaud R.
La coopération entre le Corps des Sapeurs Pompiers de la ville d’Antananarivo et le Département de la Vendée en France a encore donné ses fruits. Une Coopération décentralisée qui a déjà existé depuis plus d’une décennie, selon les explications. En effet, l’on a assisté hier à la caserne des soldats des feux de Tsaralalàna, à la cérémonie de remise des dons de deux nouveaux véhicules (un véhicule d’incendie FPTL et un véhicule de commandement VLOD) et plus de cent tonnes de petits matériels. Une activité issue de la cinquième convention entre l’Etat malgache et la République française à travers ce Département de la Vendée, si la première aurait été établie depuis 1998, à la demande des autorités malgaches, juste après l’incendie du Palais de la Reine. Ainsi, à travers ces différentes conventions, de nombreuses activités entre les deux Etats auraient été établies, entre autres, l’amélioration des qualités des interventions, des créations de nouvelles antennes, la structuration d’un Etat-major et des formations spécialisées, etc. Par ailleurs, à travers cette 5e convention qui va s’étaler jusqu’à l’année prochaine, des formations spécifiques ont été également menées par cinq instructeurs de la Vendée. Ce, durant plus de trois semaines et qui avaient pour but de renforcer les capacités professionnelles des cadres du Corps de ces soldats du feu d’Antananarivo, ainsi d’augmenter la maîtrise des fonctions des responsables des interventions, sur le plan matériel et technologique. Dans ce sens, des attestations ont été délivrées ce même jour pour 18 éléments de la caserne ayant pu mener à terme la formation. Une petite séance de démonstration des connaissances acquises durant la formation, prenait également part à la cérémonie.
Arnaud R.
Amélioration des infrastructures par les candidats députés : «Une autorisation auprès de la CUA avant tout», dixit Zo Andriantsilavo
« J’aimerais que la campagne de députation puisse durer plus longtemps, voire six mois, pour que les candidats députés puissent pérenniser leur contribution quant à l’amélioration des infrastructures à Tana. Cela parce que je sais à quel point ils aiment le pays. Toutefois, avant de commencer leurs travaux, il faudrait tout d’abord demander une autorisation auprès des différents responsables de la CUA. Et ce n’est pas moi qui vais leur apprendre cela, vu qu’ils vont entrer dans le secteur de la législation. Ils doivent bien savoir que toute chose est régie par des lois. Je souligne bien que cette ville est encore sous la direction du SG, du Directeur du Cabinet, et des différents départements de la CUA, auxquels l’on peut s’adresser en cas de nécessité », dixit Zo Andriantsilavo, Directeur des Travaux et de la Maintenance des Infrastructures (DTMI) au sein de la CUA, quant aux différentes activités d’amélioration des infrastructures à réaliser un peu partout par les candidats députés. Un genre de mise en garde de sa part.
Respect. En effet, deux raisons l’auraient poussé à faire cette déclaration. D’une part, en demandant cette autorisation, les candidats devront verser leur contribution citoyenne auprès de la voirie. Ce qui aiderait la CUA à développer encore plus ses activités. Et d’autre, cela permettra aux départements concernés d’effectuer des contrôles, avant, pendant et après les améliorations de ces infrastructures. « Sur ce, je leur adresse mes vifs remerciements pour leurs actions en faveur de la ville d’Antananarivo. Mais avant tout, il faut qu’il y ait un respect mutuel entre nous les différents responsables », conclut-il. En tout cas, lui de reconnaître que nombreuses sont les infrastructures qui ont dû se détériorer, vu leur âge, surtout en ces temps de pluie. Pourtant, lui de rassurer que la CUA fait tout ce qui est de son pouvoir pour y remédier.
Arnaud R.
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