Circulation : Des kilomètres de bouchon paralysent Tanà
Trop, c’est trop. Les usagers de la route se plaignent à n’en plus finir de l’enfer de la circulation dans la capitale actuellement. Plus aucun quartier, aucun grand axe de circulation n’est épargné par les bouchons monstres qui paralysent la ville. Si le centre ville était le plus réputé pour ses embouteillages aux heures de pointe, les choses ont empiré depuis plusieurs jours, notamment depuis le début de ce mois de décembre. Les usagers des rues de Tanà restent pris dans des embouteillages pendant au moins plusieurs heures, même s’ils ne passent pas forcément par le centre ville. Outre les habituels marchands des rues qui squattent les chaussées, l’état des rues de Tanà, actuellement en dégradation avancée dans certaines portions de rue, les chaussées inondées, l’augmentation du flux de véhicules à l’approche des fêtes, sont autant de facteurs qui contribuent à la formation des kilomètres d’embouteillage.
Le chantier de réhabilitation du côté d’Andohatapenaka et 67ha, n’est pas pour arranger la situation. Les véhicules mettent entre 3h et 4h pour rallier Ivato à Tana et les habitants des quartiers situés sur cet axe quittent leur domicile avant 6h30 pour arriver en ville à…9h30 ! Sans commentaires !
Hanitra R.
Trop, c’est trop. Les usagers de la route se plaignent à n’en plus finir de l’enfer de la circulation dans la capitale actuellement. Plus aucun quartier, aucun grand axe de circulation n’est épargné par les bouchons monstres qui paralysent la ville. Si le centre ville était le plus réputé pour ses embouteillages aux heures de pointe, les choses ont empiré depuis plusieurs jours, notamment depuis le début de ce mois de décembre. Les usagers des rues de Tanà restent pris dans des embouteillages pendant au moins plusieurs heures, même s’ils ne passent pas forcément par le centre ville. Outre les habituels marchands des rues qui squattent les chaussées, l’état des rues de Tanà, actuellement en dégradation avancée dans certaines portions de rue, les chaussées inondées, l’augmentation du flux de véhicules à l’approche des fêtes, sont autant de facteurs qui contribuent à la formation des kilomètres d’embouteillage.
Le chantier de réhabilitation du côté d’Andohatapenaka et 67ha, n’est pas pour arranger la situation. Les véhicules mettent entre 3h et 4h pour rallier Ivato à Tana et les habitants des quartiers situés sur cet axe quittent leur domicile avant 6h30 pour arriver en ville à…9h30 ! Sans commentaires !
Hanitra R.
CUA : 3,3 milliards Ar pour l’assainissement de la ville
La signature de convention entre l’Union européenne, la CUA via le Samva, l’Apipa et l’ONG Lalana, d’une valeur de 3,3 milliards Ar, a eu lieu hier matin. Cette aide de l’UE porte sur les projets de réduction des risques d’inondation dans les bas quartiers de Tanà.
Une montée des eaux jusque dans la chaussée, dans des quartiers comme Andrefan’Ambohijanahary hier, cause des embouteillages monstres dans la ville. En réalité, ces montées des eaux usées ne font que favoriser tous les risques de maladies liées à l’insalubrité, d’autant plus que les tonnes d’ordures partout à Tanà ne font qu’augmenter tous ces risques. Aujourd’hui, ce sont toutes les catégories de population qui s’exposent à ces maladies. La commune urbaine d’Antananarivo est en ligne de mire quant à l’assainissement de la ville. Celle-ci, visiblement débordée, a donc fait appel aux bailleurs de fonds internationaux pour la soutenir dans ses tâches. L’Union européenne a donc offert une enveloppe de 3,3 milliards Ar afin de mettre en œuvre les projets de réduction des risques d’inondation dans les bas quartiers, pour une durée de 8 mois. Cette somme sera répartie entre la CUA via la Samva, le service chargé de l’assainissement et de la maintenance de la ville, l’Apipa et l’ONG Lalana.
Assainissement. La CUA projette donc de mettre tout en œuvre, pour les 2 prochains mois, à assainir la ville. Il s’agira d’actions d’urgence de maintenance des infrastructures du système de drainage et de curage des canaux de la ville. A plus long terme, il s’agira de réduire les risques d’inondation par le nettoyage et le curage de 80 km de canaux de drainage se déversant vers le canal Andriantany dont 115 ha de bassins tampon, mais aussi d’évacuer les déchets vers la décharge d’Andralanitra et la réparation des équipements mécaniques et électriques de 5 stations de pompage. Quant à l’APIPA, il s’agit du drainage de 50 km de canaux, 105 ha de bassins tampon et une station de pompage à nettoyer et 35 km de canaux de drainage à curer. L’ONG Lalana assurera la sensibilisation des habitants des 88 fokontany vulnérables des 6 arrondissements qui seront concernés par le projet. Mais un bon geste citoyen commence aussi par soi, en évitant de jeter des ordures dans les canaux.
Anjara Rasoanaivo
La signature de convention entre l’Union européenne, la CUA via le Samva, l’Apipa et l’ONG Lalana, d’une valeur de 3,3 milliards Ar, a eu lieu hier matin. Cette aide de l’UE porte sur les projets de réduction des risques d’inondation dans les bas quartiers de Tanà.
Une montée des eaux jusque dans la chaussée, dans des quartiers comme Andrefan’Ambohijanahary hier, cause des embouteillages monstres dans la ville. En réalité, ces montées des eaux usées ne font que favoriser tous les risques de maladies liées à l’insalubrité, d’autant plus que les tonnes d’ordures partout à Tanà ne font qu’augmenter tous ces risques. Aujourd’hui, ce sont toutes les catégories de population qui s’exposent à ces maladies. La commune urbaine d’Antananarivo est en ligne de mire quant à l’assainissement de la ville. Celle-ci, visiblement débordée, a donc fait appel aux bailleurs de fonds internationaux pour la soutenir dans ses tâches. L’Union européenne a donc offert une enveloppe de 3,3 milliards Ar afin de mettre en œuvre les projets de réduction des risques d’inondation dans les bas quartiers, pour une durée de 8 mois. Cette somme sera répartie entre la CUA via la Samva, le service chargé de l’assainissement et de la maintenance de la ville, l’Apipa et l’ONG Lalana.
Assainissement. La CUA projette donc de mettre tout en œuvre, pour les 2 prochains mois, à assainir la ville. Il s’agira d’actions d’urgence de maintenance des infrastructures du système de drainage et de curage des canaux de la ville. A plus long terme, il s’agira de réduire les risques d’inondation par le nettoyage et le curage de 80 km de canaux de drainage se déversant vers le canal Andriantany dont 115 ha de bassins tampon, mais aussi d’évacuer les déchets vers la décharge d’Andralanitra et la réparation des équipements mécaniques et électriques de 5 stations de pompage. Quant à l’APIPA, il s’agit du drainage de 50 km de canaux, 105 ha de bassins tampon et une station de pompage à nettoyer et 35 km de canaux de drainage à curer. L’ONG Lalana assurera la sensibilisation des habitants des 88 fokontany vulnérables des 6 arrondissements qui seront concernés par le projet. Mais un bon geste citoyen commence aussi par soi, en évitant de jeter des ordures dans les canaux.
Anjara Rasoanaivo
Ankadifotsy : Trano nirodana nahafaty olona telo
Omaly tokony ho tamin’ny iray ora maraina, tetsy Mandialaza-Ankadifotsy, no nitranga ity loza ity. Olona telo no indray namoy ny ainy vokatry ny firodanan’ny trano teo ankilany, teo ambonin’ny trano misy azy ireo raha araka ny fanamarihana azo. Mpianaka, renim-pianakaviana 38 taona niaraka tamin’ny zanany kely tokony ho eo amin’ny telo na efatra taona ary vehivavy iray hafa 22 taona no indray namoy aina vokatr’izany. Mbola nisy olona iray hafa ihany koa naratra. Lehilahy iray 26 taona no tapaka taolam-balahana raha araka ny vaovao azo teny an-toerana hatrany. Nifanome tànana ny fokonolona tamin’ny fisintonana ireo razana hivoaka tao amin’ilay toerana. Torak’izany ihany koa tamin’ny famonjena ny naratra. Loharanom-baovao hafa indray no nahafantarana fa nitondra vohoka ny iray tamin’ireo vehivavy isan’ny namoy ny ainy. Trano efa antitra ilay nirodana, ny rindrina roa tamin’ny dimy. Tonga teny an-toerana ny mpamonjy voina nanampy tamin’ny fisintonana ny razana sy ny fitondràna ny naratra teny amin’ny toeram-pitsaboana. Vao fanombohan’ny fotoam-pahavaratra amin’izao fotoana izao dia tsikaritra fa efa betsaka sahady ny voka-dratsy mitranga. Ankoatra ny fako sy ny loto etsy sy eroa mantsy dia efa tonga hatrany amin’ny famoizana aina sy faharatrana ny naterany. Tamin’ity herinandro ity fotsiny, ohatra, dia efa nisy ny olona roa naratra tetsy Ambohijatovo noho ny filatsahan’ny hazobe tampoka teo amin’ny arabe. Tetsy Mandrangombato koa, vehivavy roa torana tsy nahatsiaro tena ary voatery nentina teny amin’ny sampana famelomana aina vokatry ny fipoahan’ny varatra tao an-tranon’izy ireo. Mila jerena ny hazo, ny hamafin’ny rindrina ary ny fandri-baratra. Tsy ho ela intsony mantsy ny vanim-potoanan’ny andro ratsy dia ho avy. Raha izao dia efa mamono olona aty antanan-dehibe sahady ny rotsak’orana, mila mailo ny rehetra amin’ny fiarovana ny ainy…
D.R
Omaly tokony ho tamin’ny iray ora maraina, tetsy Mandialaza-Ankadifotsy, no nitranga ity loza ity. Olona telo no indray namoy ny ainy vokatry ny firodanan’ny trano teo ankilany, teo ambonin’ny trano misy azy ireo raha araka ny fanamarihana azo. Mpianaka, renim-pianakaviana 38 taona niaraka tamin’ny zanany kely tokony ho eo amin’ny telo na efatra taona ary vehivavy iray hafa 22 taona no indray namoy aina vokatr’izany. Mbola nisy olona iray hafa ihany koa naratra. Lehilahy iray 26 taona no tapaka taolam-balahana raha araka ny vaovao azo teny an-toerana hatrany. Nifanome tànana ny fokonolona tamin’ny fisintonana ireo razana hivoaka tao amin’ilay toerana. Torak’izany ihany koa tamin’ny famonjena ny naratra. Loharanom-baovao hafa indray no nahafantarana fa nitondra vohoka ny iray tamin’ireo vehivavy isan’ny namoy ny ainy. Trano efa antitra ilay nirodana, ny rindrina roa tamin’ny dimy. Tonga teny an-toerana ny mpamonjy voina nanampy tamin’ny fisintonana ny razana sy ny fitondràna ny naratra teny amin’ny toeram-pitsaboana. Vao fanombohan’ny fotoam-pahavaratra amin’izao fotoana izao dia tsikaritra fa efa betsaka sahady ny voka-dratsy mitranga. Ankoatra ny fako sy ny loto etsy sy eroa mantsy dia efa tonga hatrany amin’ny famoizana aina sy faharatrana ny naterany. Tamin’ity herinandro ity fotsiny, ohatra, dia efa nisy ny olona roa naratra tetsy Ambohijatovo noho ny filatsahan’ny hazobe tampoka teo amin’ny arabe. Tetsy Mandrangombato koa, vehivavy roa torana tsy nahatsiaro tena ary voatery nentina teny amin’ny sampana famelomana aina vokatry ny fipoahan’ny varatra tao an-tranon’izy ireo. Mila jerena ny hazo, ny hamafin’ny rindrina ary ny fandri-baratra. Tsy ho ela intsony mantsy ny vanim-potoanan’ny andro ratsy dia ho avy. Raha izao dia efa mamono olona aty antanan-dehibe sahady ny rotsak’orana, mila mailo ny rehetra amin’ny fiarovana ny ainy…
D.R
Bazar de Noël : 1 400 marchands participeront au Bazar de Noël
En cette veille des fêtes de Noël et de fin d’année, le traditionnel Bazar de Noël commencera dès le 15 décembre prochain, jusqu’au 4 janvier 2014. Il se tiendra à Mahamasina où 1 400 vendeurs ont déjà obtenu leurs emplacements.
Si les rues de Tanà, particulièrement celles d’Analakely, de Soarano et de Behoririka, sans oublier l’incontournable Tsaralalàna, se transforment déjà petit à petit en grand marché à ciel ouvert, celles de Mahamasina s’apprêtent déjà à recevoir les centaines, voire plus, de marchands pour le Bazar de Noël de cette année. Ainsi, la commune urbaine d’Antananarivo a fixé le Bazar de Noël officiel qui se tiendra du 15 décembre au 4 janvier 2014. Les marchands auront donc 18 jours pour écouler leurs marchandises. 1 400 vendeurs d’articles en tout genre se sont donc inscrits depuis le 9 décembre pour se voir octroyer une place pour ce fameux Bazar de Noël 2013. Chaque marchand aura un stand de 1,5 m², et sa place ne pourra être sous-louée ni attribuée à une tierce personne. Chaque marchand a payé 20 000 Ar pour toute la durée du Bazar de Noël, comprenant un droit d’inscription et un droit d’emplacement. La direction des Affaires économiques de la CUA, où se sont inscrits ces marchands, ont fait signer une lettre d’engagement veillant au respect du code de l’hygiène et de l’organisation générale du marché. Le port de badge sera obligatoire pour légitimer tout cela.
Insécurité. Mais si marché rime souvent avec insécurité et vol à la tire, la police municipale et la police des marchés se sont donné la main pour la sécurité des sites, du moins du mieux qu’ils peuvent. Car les voleurs à la tire sont partout, et avec la pauvreté qui s’accroît de jour en jour, un nouveau genre de voleur à la tire est apparu. Il est donc conseillé de rester prudent : monter les vitres de la voiture (malgré la chaleur) dans tout Analakely, Soarano et Behoririka, fermer les sacs et les porter par devant, éviter de converser au téléphone dans les lieux publics… bref, ne rien faire de manière à attirer les voleurs.
Enfin, il est rappelé qu’il est formellement interdit de vendre, ni d’étaler ses petites marchandises dans les zones suivantes : Gerb’0r – Cité des jardins Mahamasina – Primus de la ligne 184 – la rue menant vers la Morgue de l’Hôpital de Befelatanana – En face du Sénat et de la Mairie du IVe Arrondissement – l’Axe Ambohijatovo Analakely – les Axes Ambodifilao vers Soarano et Tsaralalàna vers Analakely – Devant et derrière l’Hôtel de Ville Analakely.
Anjara Rasoanaivo
En cette veille des fêtes de Noël et de fin d’année, le traditionnel Bazar de Noël commencera dès le 15 décembre prochain, jusqu’au 4 janvier 2014. Il se tiendra à Mahamasina où 1 400 vendeurs ont déjà obtenu leurs emplacements.
Si les rues de Tanà, particulièrement celles d’Analakely, de Soarano et de Behoririka, sans oublier l’incontournable Tsaralalàna, se transforment déjà petit à petit en grand marché à ciel ouvert, celles de Mahamasina s’apprêtent déjà à recevoir les centaines, voire plus, de marchands pour le Bazar de Noël de cette année. Ainsi, la commune urbaine d’Antananarivo a fixé le Bazar de Noël officiel qui se tiendra du 15 décembre au 4 janvier 2014. Les marchands auront donc 18 jours pour écouler leurs marchandises. 1 400 vendeurs d’articles en tout genre se sont donc inscrits depuis le 9 décembre pour se voir octroyer une place pour ce fameux Bazar de Noël 2013. Chaque marchand aura un stand de 1,5 m², et sa place ne pourra être sous-louée ni attribuée à une tierce personne. Chaque marchand a payé 20 000 Ar pour toute la durée du Bazar de Noël, comprenant un droit d’inscription et un droit d’emplacement. La direction des Affaires économiques de la CUA, où se sont inscrits ces marchands, ont fait signer une lettre d’engagement veillant au respect du code de l’hygiène et de l’organisation générale du marché. Le port de badge sera obligatoire pour légitimer tout cela.
Insécurité. Mais si marché rime souvent avec insécurité et vol à la tire, la police municipale et la police des marchés se sont donné la main pour la sécurité des sites, du moins du mieux qu’ils peuvent. Car les voleurs à la tire sont partout, et avec la pauvreté qui s’accroît de jour en jour, un nouveau genre de voleur à la tire est apparu. Il est donc conseillé de rester prudent : monter les vitres de la voiture (malgré la chaleur) dans tout Analakely, Soarano et Behoririka, fermer les sacs et les porter par devant, éviter de converser au téléphone dans les lieux publics… bref, ne rien faire de manière à attirer les voleurs.
Enfin, il est rappelé qu’il est formellement interdit de vendre, ni d’étaler ses petites marchandises dans les zones suivantes : Gerb’0r – Cité des jardins Mahamasina – Primus de la ligne 184 – la rue menant vers la Morgue de l’Hôpital de Befelatanana – En face du Sénat et de la Mairie du IVe Arrondissement – l’Axe Ambohijatovo Analakely – les Axes Ambodifilao vers Soarano et Tsaralalàna vers Analakely – Devant et derrière l’Hôtel de Ville Analakely.
Anjara Rasoanaivo
67 Ha : Fivarotana dimy kilan’ny afo
Tsy hay nofefena ny afo ary vetivety dia potika ny trano fihinanan’ny olona sakafo
Ny marainan’ny alatsinainy tokony ho tany amin’ny 2 ora tany ho any, nirehitra ny trano fivarotana miisa dimy eny amin’ny 67 Ha, eo akaikin’ny Bloc 6, tsy lavitra loatra ny biraon’ny paositra. Vokatr’izany haitrano izany, potika tanteraka tsy nisy azo noraisina ireo fivarotana ireo. Mpivarotra sakafo ny ankamaroan’ireo trano nirehitra ireo. Fotoana fikarakarana izany no nisehoan’ny loza. Ny loharanom-baovao re teny an-toerana no nahalalana fa afo avy tamin’ny fatana sariboa no nahatonga ny firehetana. Vetivety dia nitatra ny afo ary tsy voafehy intsony. Nantsoina ny mpamonjy voina ka vetivety ihany dia tonga teny an-toerana ry zareo. Nandritra ny 30 minitra teo ho eo no namonoana ny afo. Araka ny efa voalaza, tsy nisy azo noraisina ireo entana nirehitra ary mahatratra an-tapitrisa maro ny tetibidin’izany. Maro ny mpanjifa tonga misakafo amin’io toerana io manomboka voa maraina ka hatramin’ny alina.
r.s.
Tsy hay nofefena ny afo ary vetivety dia potika ny trano fihinanan’ny olona sakafo
Ny marainan’ny alatsinainy tokony ho tany amin’ny 2 ora tany ho any, nirehitra ny trano fivarotana miisa dimy eny amin’ny 67 Ha, eo akaikin’ny Bloc 6, tsy lavitra loatra ny biraon’ny paositra. Vokatr’izany haitrano izany, potika tanteraka tsy nisy azo noraisina ireo fivarotana ireo. Mpivarotra sakafo ny ankamaroan’ireo trano nirehitra ireo. Fotoana fikarakarana izany no nisehoan’ny loza. Ny loharanom-baovao re teny an-toerana no nahalalana fa afo avy tamin’ny fatana sariboa no nahatonga ny firehetana. Vetivety dia nitatra ny afo ary tsy voafehy intsony. Nantsoina ny mpamonjy voina ka vetivety ihany dia tonga teny an-toerana ry zareo. Nandritra ny 30 minitra teo ho eo no namonoana ny afo. Araka ny efa voalaza, tsy nisy azo noraisina ireo entana nirehitra ary mahatratra an-tapitrisa maro ny tetibidin’izany. Maro ny mpanjifa tonga misakafo amin’io toerana io manomboka voa maraina ka hatramin’ny alina.
r.s.
Circulation : Encore plus encombrée jusqu’aux fêtes
Circulation inextricable presque à longueur de journée pour les Tananariviens depuis la semaine dernière.
Les prochains jours, jusqu’aux fêtes, promettent d’être encore plus éprouvants pour les automobilistes et les usagers des taxis-be. Ils devront compter au moins deux tours d’horloge pour traverser le centre ville où les marchands des rues ont pris possession des chaussées, comme c’est déjà le cas à Analakely, Behoririka et autour du marché de la Petite Vitesse, tous devenus de vastes marchés à ciel ouvert. Ici, les véhicules ne circulent plus que sur une unique voie large de 2 m ! Les usagers des taxis-be s’attendent déjà au retour, dans les prochains jours, des anciennes pratiques à chaque période de fête de fin d’année : les taxis-be ne parcourent que la moitié de leur circuit et rebroussent chemin aux portes d’Analakely ou d’Anosy. Les usagers sont de ce fait, contraints de poursuivre leur parcours à pied. Mais quand cette situation se présente, ces derniers préfèrent cette alternative aux heures de trajet dans le véhicule.
Ailleurs que dans le centre ville, la situation n’est guère mieux car dans les zones plus excentrées, les mêmes embouteillages à n’en plus finir mettent les nerfs des automobilistes les plus patients à rude épreuve et leur font oublier toute civilité au volant ! Quant aux axes de sortie vers les périphéries, déjà fortement encombrés en temps ordinaires, ils le sont davantage durant la période des fêtes. D’Itaosy à Tanjombato et Andoharanofotsy en passant par Analamahitsy et Ambohitrarahaba, ou encore Talatamaty et Ivato, les usagers de la route se plaignent des impacts des embouteillages sur la vie économique. Pour la zone de Tana-ville, ils attendent avec impatience les premiers impacts des mesures destinées à alléger les embouteillages dans la capitale, proposées par la municipalité.
Hanitra R.
Circulation inextricable presque à longueur de journée pour les Tananariviens depuis la semaine dernière.
Les prochains jours, jusqu’aux fêtes, promettent d’être encore plus éprouvants pour les automobilistes et les usagers des taxis-be. Ils devront compter au moins deux tours d’horloge pour traverser le centre ville où les marchands des rues ont pris possession des chaussées, comme c’est déjà le cas à Analakely, Behoririka et autour du marché de la Petite Vitesse, tous devenus de vastes marchés à ciel ouvert. Ici, les véhicules ne circulent plus que sur une unique voie large de 2 m ! Les usagers des taxis-be s’attendent déjà au retour, dans les prochains jours, des anciennes pratiques à chaque période de fête de fin d’année : les taxis-be ne parcourent que la moitié de leur circuit et rebroussent chemin aux portes d’Analakely ou d’Anosy. Les usagers sont de ce fait, contraints de poursuivre leur parcours à pied. Mais quand cette situation se présente, ces derniers préfèrent cette alternative aux heures de trajet dans le véhicule.
Ailleurs que dans le centre ville, la situation n’est guère mieux car dans les zones plus excentrées, les mêmes embouteillages à n’en plus finir mettent les nerfs des automobilistes les plus patients à rude épreuve et leur font oublier toute civilité au volant ! Quant aux axes de sortie vers les périphéries, déjà fortement encombrés en temps ordinaires, ils le sont davantage durant la période des fêtes. D’Itaosy à Tanjombato et Andoharanofotsy en passant par Analamahitsy et Ambohitrarahaba, ou encore Talatamaty et Ivato, les usagers de la route se plaignent des impacts des embouteillages sur la vie économique. Pour la zone de Tana-ville, ils attendent avec impatience les premiers impacts des mesures destinées à alléger les embouteillages dans la capitale, proposées par la municipalité.
Hanitra R.
Insalubrité – temps de fêtes : Une hausse de 38 % des ordures selon la CUA
Des déchets partout à Tana. Un vrai dérangement pour la circulation, une source de maladies pour les habitants.
En temps normal, les ordures ramassées par les camions de la CUA seraient de 700 à 900 tonnes par jour, confie la CUA. Mais actuellement, (surtout pendant ces temps de fêtes) elles dépassent les 1 200 tonnes par jour, soit une hausse approximative de 38 %. Et comme toujours, les déchets laissés par les commerçants sont ceux qui se trouvent au premier plan, d’après les informations recueillies.« 50 % des déchets sont laissés par les commerçants », précise-t-on. Ces ordures sont devenues omniprésentes, presque à chaque coin de rue, gênant parfois la circulation, comme celles de Manjakaray, d’Andravoahangy, Petite-vitesse,… Et si l’on en fait un petit concours de hauteur, c’est sûr et certain que celles d’Andrefan’Ambohijanahary arrivera à battre la hauteur de la clôture en briques d’à coté. C’est pour dire à quel point les ordures sont trop embarrassantes. En plus, faut-il oublier qu’elles peuvent provoquer des épidémies, entre autres, la peste, la conjonctivite, le choléra,… rien que par les mauvaises odeurs qu’elles dégagent? En fait, vu les tonnes d’ordures par-ci par-là, il semble que la CUA est sur le point de faire une mission impossible, comme l’a affirmé d’ailleurs d’autres médias.
60 000 000 d’Ariary. En tout cas, la CUA avoue le grand manque de budget pour financer ses actions, surtout celles qui sont liées à l’enlèvement de ces milliers de tonnes de déchets. Du coup, ce manque de carburant est toujours évoqué. On sait actuellement que celle-ci loue une vingtaine de camions pour les ramassages d’ordures. Donc, il faudrait, selon les précisions, avoir plus de 2 500L de gasoil par jour pour les faire bouger. « Pourtant, ce sont encore des camions pas opérationnels à 100 % », a-t-on confié. Or, pour les plus de 450 bacs à ordures par jour à ramasser dans tout Tana, il en faudrait une quarantaine. Néanmoins, l’on vient d’apprendre hier, que la Commune urbaine d’Antananarivo vient d’obtenir un appui financier de la part de la Région Analamanga. Une aide estimée à soixante millions d’Ariary, pour financer le ramassage d’ordures. Mais aussi, l’on a appris que durant les temps de fêtes, la CUA rassure la population de prendre des mesures spéciales afin d’éviter les débordements d’ordures comme maintenant.
Arnaud R.
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